19 resultados para Stereoscopic television
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This contribution addresses the anti-minaret referendum accepted by the Swiss people in 2009, using data drawn from the main television news program in French-speaking Switzerland. The analysis tries to point out ambiguities in the media coverage of this referendum and to show how increasing the Muslims' visibility worked against their public recognition. The clarification of the concept of visibility pays attention to the ways in which certain actors (politicians of the nationalist right) force others (the Muslims of Switzerland) to appear in the public sphere, creating controversy and publicizing their identity aspirations. This investigation leads to an inquiry on the normative conditions necessary for democratic debate. Cette contribution revient sur l'initiative anti-minarets acceptée par le peuple suisse en 2009, à partir de matériau provenant du principal journal de la Télévision suisse romande. L'analyse tente de ressaisir les ambiguïtés inhérentes à la médiatisation de cette initiative et de montrer comment la visibilisation des musulmans a joué en défaveur de leur reconnaissance publique. L'élucidation du concept de visibilité se veut attentive à certaines formes d'instrumentalisation par des acteurs (des politiciens de la droite nationaliste) qui en forcent d'autres (les musulmans de Suisse) à apparaître dans l'espace public, afin de susciter une controverse et publiciser leur programme identitaire. L'enquête débouche sur une interrogation relative aux conditions normatives nécessaires à la tenue d'un débat démocratique.
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(1) Surpoids chez les enfants suisses et associations avec certaines caractéristiques chez les enfants et leurs parents Le but de cette étude était de mesurer la prévalence du surpoids et de l?obésité chez les enfants de sixième année du canton de Vaud (âge moyen de 12 ans) et les facteurs associés au surpoids. Les données ont été récoltées lors d?une étude menée par l?Institut universitaire de médecine sociale et préventive. Tous les enfants scolarisés en 6ème année à l?école publique du canton de Vaud entre septembre 2005 et mai 2006 étaient éligibles à participer à cette étude. Le taux de participation a atteint 76% (soit 5207 enfants de 12,3 ans en moyenne). Le poids et la taille des enfants ont été mesurés à l?école par des assistants de recherche et les enfants ont rempli, en classe, un questionnaire structuré sur leur mode de vie (notamment : temps quotidien passé à regarder la télévision, à jouer à des jeux sur écran; fréquence de la pratique de diverses activités physiques; fréquence de la consommation de fruits ou de légumes). Des informations sur les parents (niveau d?éducation, nationalité, poids et taille) ont été récoltées au moyen d?un questionnaire structuré envoyé par courrier à ceux-ci. Nous avons utilisé les critères de l?International Obesity Task Force, qui définit les valeurs-seuils de l'indice de masse corporelle pour le surpoids et pour l?obésité, par age et par sexe. La prévalence du surpoids (obésité incluse) dans la population était de 15% chez les garçons et de 12% chez les filles, et la prévalence de l?obésité était de 2% dans les deux sexes. Nous avons trouvé que le surpoids était associé de façon indépendante avec le temps passé à regarder la télévision, ainsi qu?avec certaines caractéristiques des parents, comme le surpoids, un bas niveau d?éducation et une nationalité étrangère. En conclusion, un enfant sur sept est en surpoids ou obèse dans le canton de Vaud. Ces chiffres indiquent un important défi de santé publique, même si cette prévalence dans le canton de Vaud est, actuellement, moindre que dans beaucoup d?autres pays d?Europe, et bien moindre qu?en Amérique du Nord. Les associations entre le surpoids infantile et le temps passé à regarder la télévision, ainsi que les associations avec des variables liées au milieu socio-culturel des parents indiquent plusieurs pistes d?intervention pour prévenir le surpoids chez les enfants. Il est probable que les mesures de prévention ne devraient pas se limiter aux approches individuelles, mais devraient aussi inclure des mesures structurelles sur l?environnement social, physique et économique visant à réduire les facteurs obésogènes dans la société.<br/><br/>Objective: The objective was to assess the prevalence of overweight and obesity in children in a canton of Switzerland and the association with various characteristics of the parents and the children. Research Methods and Procedures: A cross-sectional survey was conducted in all children of the sixth school grade of the canton of Vaud, Switzerland. Weight and height were measured, and selected lifestyle variables were assessed with a self-administered semiquantitative questionnaire. Information on children?s parents was gathered through a mailed structured questionnaire. Overweight and obesity were based on the International Obesity Task Force criteria. Results: Of 6873 eligible children, 5207 (76%) participated (2621 boys, 2586 girls; mean age, 12.3 years; standard deviation, 0.5 year). The prevalence of overweight (including obesity) was 15.0% (95% confidence interval, 13.7% to 16.4%) in boys and 12.4% (11.1% to 13.7%) in girls, and the prevalence of obesity was 1.8% (1.3% to 2.3%) and 1.7% (1.2% to 2.2%), respectively. In both univariate and multivariate analyses, overweight was strongly associated with high television viewing time and selected characteristics of the parents (overweight, low educational level, and foreign nationality). Discussion: The prevalence of pediatric overweight and obesity was lower in this region of Switzerland than in several European countries. The correlates of overweight found in this region suggest areas for potential interventions.
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A nyone traveling to the United States from countries other than New Zealand will be surprised by the prevalence of health-related advertisements on television, including ads for drugs. Typically, these TV ads follow a pattern: an ad for a burger at only 99 cents, followed by one for a proton-pump inhibitor, then an ad on healthy home-cooked food delivered directly to your home and an ad for a home-based abdominal workout DVD, followed by an ad for a lipid-lowering drug. There are, however, nuances. After 8 pm, the visitor might encounter an ad for the "little blue pill." This sequence sometimes includes an ad featuring antihistamines for allergic rhinitis in spring and one promoting antidepressants in the winter. Such direct-to-consumer advertising (DTCA) of prescription drugs is usual business in the United States and New Zealand but is prohibited in the rest of the world. Why? Because DTCA for prescribing drugs has pros and cons (discussed elsewhere,1-3 including in JGIM4) that are balanced differently in different countries. Constitutional factors-such as the First Amendment protections on speech, including commercial speech, in the United States5 -as well as patient and population safety considerations, which all differ across countries, modulate reactions to DTCA. Additionally, lack of robust data on the impact of DTCA on prescription drug use adds to the confusion. Evidence, though limited, suggests that DTCA increases drug sales. However, whether the increase in sales corrects existing underuse or encourages over/misuse is not clear.