40 resultados para Pihlamägi, Maie: 80 aastat Eesti Vabariigi Justiitsministeeriumi 1918-1998
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The aim of this study was to examine the effect of an individualized overground walking interval training on gait performance [i.e., speed and energy cost (C(w))] in healthy elderly individuals. Twenty-two older adults were assigned to either a training group (TG; n=12, 73.4+/-3.9yr) or a non-training control group (CG; n=10, 70.9+/-9.6yr). TG participated in a 7-week individualized walking interval training at intensities progressing from 50 to 100% of ventilatory threshold (T (VE)). Aerobic fitness [maximal oxygen uptake (V O(2max)) and T (VE)], preferred walking speed (PWS), gross and net C(w) (GC(w) and NC(w), respectively) and relative effort (%V O(2max)) at PWS measured before training (PWS(1)) were assessed prior and following the intervention. All outcomes were measured on a treadmill. Significant improvements in GC(w) (-8%; P=0.007), NC(w) (-12%; P=0.003), relative effort (%V O(2max): -12%; P<0.001) and PWS (+12%; P<0.001) were observed in TG but not in CG (P>0.71). V O(2max) and T (VE) remained unchanged in both groups (P>0.57). Changes in GC(w) at PWS(1) (difference between GC(w) at PWS(1) measured pre and post intervention) were inversely correlated with changes in PWS (difference between pre and post PWS; r=-0.67; P=0.02). The decreased C(w) at PWS(1), with no concomitant improvement in aerobic fitness, represents the main contributing factor for the reduction of the relative effort at this speed. This also allows elderly people to increase their PWS post training. Therefore, the present walking training may be an effective way to improve walking performance and delay mobility impairment in older adults.
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À l'heure où la fascination esthétisante pour « l'horreur » semble gagner des adeptes en nombre toujours croissant, tant d'un point de vue historiographique que des différents usages publics et politiques qui en sont faits, cette contribution vise à repenser la guerre en tant qu'espace social signifiant. Elle s'inscrit en effet dans des dynamiques sociales et politiques « ordinaires ». Elle ne peut, dans cette optique, faire abstraction de la compréhension de l'ordre social existant avec son lot d'oppression, mais aussi de refus et de révolte. Cette contribution se propose d'envisager, à partir du cas italien, un cas limite trop souvent oublié dans l'historiographie européenne du premier conflit mondial, les pratiques mais aussi les représentations sociales du conflit, afin de saisir ce que la guerre peut apporter à la compréhension de la conflictualité sociale au début du XXe siècle. Mais aussi de chercher à savoir comment les « résistances » ouvertes ou celées qui s'expriment au cours de la guerre faite et vécue transforment le rapport des soldats à leur groupe social.
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Perfusion CT studies of regional cerebral blood flow (rCBF), involving sequential acquisition of cerebral CT sections during IV contrast material administration, have classically been reported to be achieved at 120 kVp. We hypothesized that using 80 kVp should result in the same image quality while significantly lowering the patient's radiation dose, and we evaluated this assumption. In five patients undergoing cerebral CT survey, one section level was imaged at 120 kVp and 80 kVp, before and after IV administration of iodinated contrast material. These four cerebral CT sections obtained in each patient were analyzed with special interest to contrast, noise, and radiation dose. Contrast enhancement at 80 kVp is significantly increased (P < .001), as well as contrast between gray matter and white matter after contrast enhancement (P < .001). Mean noise at 80 kVp is not statistically different (P = .042). Finally, performance of perfusion CT studies at 80 kVp, keeping mAs constant, lowers the radiation dose by a factor of 2.8. We, thus, conclude that 80 kVp acquisition of perfusion CT studies of rCBF will result in increased contrast enhancement and should improve rCBF analysis, with a reduced patient's irradiation.
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La durée moyenne de vie d'une population est l'un des principaux indicateurs de l'état de santé, en¦tous cas celui qui est le plus utilisé. Cette durée moyenne peut être estimée de plusieurs façons,¦chacune basée sur une table de mortalité différente. La plus répandue est celle calculée avec les¦tables de mortalité du moment. Une deuxième approche est la table de génération, qui estime la¦durée moyenne de vie des générations éteintes au moment de l'analyse. Enfin, la troisième approche¦est une table de cohorte (de survie), construite à partir d'individus suivis depuis un recensement.¦Cette dernière possibilité est récemment disponible en Suisse avec l'appariement des données¦fédérales provenant du recensement et de la mortalité, permettant une comparaison des durées¦moyennes de vie estimées selon trois approches différentes (moment, génération, cohorte). Vu les¦débats actuels sur l'accroissement de la longévité et la diminution rapide de la mortalité chez les¦personnes âgées et très âgées, nous nous sommes concentrés sur la comparaison des durées¦moyennes de vie chez les personnes de plus de 80 ans. Notre étude montre que la durée moyenne¦de vie issues des tables de cohorte est inférieure à celle estimée à partir des tables de génération.¦L'espérance de vie du moment est également en‐dessous de celle estimée par les tables de¦génération, mais dans une moindre proportion. Cette étude est la première à ce jour à comparer les¦tables de cohorte, de génération et du moment en Suisse.
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Introduction: Plusieurs études ont démontré qu'une injection unique de methylprednisolone était suivie d'une adsorption systémique significative (1) alors que cela ne semble pas être le cas si le produit est injecté par voie péridurale (2) Le but de ce travail est de comparer l'excrétion urinaire du produit, témoin de l'absortion sytémique après une injection unique de 80 mg de méthylprednisolone soit par voie intra-articulaire soit péridurale. Patients et Méthodes: 8 patients ont recu une injection de 80 mg methylprednisolone (4 par voie intra-articulaire 4 par voie péridurale).Ces dernières ont été pratiquées via le hiatus sacré sous contrôle fluoroscopique. Les injections intra articulaires ont été faites selon les repaires cliniques habituels dans les genoux. Les urines ont été prélevées 1 heure avant l'injection puis 4 x le premier jour, suivi de 3 receuils par semaine pendant 2 semaines. Les dosages urinaires comprennent la fraction libre et conjugée du stéroide. Ils ont été effectués dans le laboratoire d'analyse au centre universitaire romand de médecine légale. Résultats: Les résultats ont été exploités de facon à obtenir des cinétiques d'excrétion. Ils montrent de grandes différences individuelles surtout les patients ayant bénéficié d'une infiltration intra-articulaire. Après infiltrations intra-articulaires les concentrations maximales varient de 90 à 2500ng/ml pour la forme conjugée et de 60 à 4976 ng/ml pour la forme libre.La moyenne des taux individuels les plus élevés+ 3 SD est de 8269 ng/ml. Elles sont sigificativement inférieures après injection péridurale : pic maximaux de 40 à 483 ng/ml pour la forme conjugée et 40 à 80 ng/ml pour la forme libre. La moyenne des taux individuels les plus élevés est de 747 ng/ml. Dans les 2 cas le pic d'excrétion a lieu durant les 24 premières heures . L'éllimination est totale après 200 heures dans les deux situations. Conclusion: Cette étude confirme que l'absorption systémique de methylprednisolone est beaucoup plus faible après une infiltration péridurale que intra-articulaire, puisque son excrétion urinaire est moyenne 10 X inférieure. Le risque de complications systémiques secondaires à la corticothérapie est donc probablement négligeable après une infiltration péridurale.