224 resultados para Finances--Gestion du risque--Canada
Resumo:
Perioperative cardiac events occurring in patients undergoing non-cardiac surgery are a common cause of morbidity and mortality. Current guidelines recommend an individualized approach to preoperative cardiac risk stratification prior to non-cardiac surgery, integrating risk factors both for the patient (active cardiac conditions, clinical risk factors, functional capacity) and for the planned surgery. Preoperative cardiac investigations are currently limited to high-risk patients in whom they may contribute to modify the perioperative management. A multidisciplinary approach to such patients, integrating the general practitioner, is recommended in order to define an individualized peri-operative strategy.
Resumo:
Based on general concepts relating to risk perception, the authors summarize in this article today's knowledge of smoking risk perception. A pluridisciplinary approach (general internal medicine, public health and anthropology) allows an improved understanding of its complexity, its utility in every day clinical practice and of the questions still pending around its use and evaluation in research projects.
Resumo:
Introduction. - L'ostéoporose est caractérisée par une diminution dela densité minérale osseuse (DMO) et une détérioration de lamicroarchitecture osseuse (MO). En routine clinique, l'appréciationde la MO se fait de façon approximative en utilisant les facteurs derisque clinique (FRC). Il est maintenant possible d'estimer de façonsimple la MO en mesurant le Trabecular Bone Score (TBS) par réanalysed'une image DXA lombaire. TBS a une valeur diagnostiqueet pronostique indépendante des FRC et de la DMO. Le but de lacohorte lausannoise OstéoLaus est de combiner des éléments facilesà obtenir en routine clinique, à savoir les FRC et les éléments issusde la DXA (DMO, TBS, VFA) pour évaluer le risque fracturaire defaçon transversale puis prospective.Patients et Méthodes. - Nous avons constitué une cohorte d'environ1400 femmes entre 50 et 80 ans de la région lausannoise enrôléedepuis 7 ans dans une vaste cohorte (CoLaus, 6 700 participants)évaluant les facteurs génétiques et phénotypiques de maladies fréquentescardiovasculaires et psychiatriques. Le taux de participationà Ostéolaus est > 85%. Ces femmes sont vues entre mars 2010et décembre 2012. Elles passent un questionnaire, un ultrasonosseux du talon, une DXA de la colonne et de la hanche et une évaluationpar VFA (selon la méthode semi-quantitative de Genant) etle TBS. Nous rapportons les résultats préliminaires sur 631 participantes.Les données concernant les fractures (fx) vertébrales ne distinguentpas les origines traumatiques ou non.Résultats. - L'âge est de 67,4 ± 6,7 ans, l'IMC de 26.1 ± 4,6. Les donnéesbrutes de la colonne lombaire montrent une DMO à 0,943 ±0,168 (T-score -1,4 DS) et un TBS à 1,271 ± 0,103. La corrélationentre DMO et TBS est faible avec r2 = 0,16. La prévalence des fx vertébralesgrade 2/3, des fx ostéoporotiques majeures, et de toutes lesfx ostéoporotiques est de 8,4 %, 17,0 % et 26.0 % respectivement. LesORs (par diminution d'une déviation standard) ajustés pour l'âge etl'IMC sont pour la DMO de 1,8 (1,2-2,5), 1,6 (1,2-2,1), 1,3 (1,1-1,6),et pour TBS de 2,0 (1,4-3,0), 1,9 (1,4-2,5), 1.4 (1,1-1,7), respectivement.Le taux de fx avec DMO <þ- 2,5 DS se situe entre 35 et 37 %et le taux de fx avec un TBS < 1.200 entre 37 et 44 %. Par contre cetaux augmente entre 54 et 60 % si l'on combine une DMO < - 2,5 DSou un TBS < 1,200.Conclusion. - Ces données préliminaires confirment la faible corrélationentre la DMO et le TBS. Ajouter le TBS à la DMO permetd'augmenter significativement le nombre de participantes avec unefx ostéoporotique prévalente. Une mesure simple et peu irradiantepar DXA offre ainsi 3 informations complémentaires et pertinentespour la routine clinique : la DMO, la recherche des fractures vertébraleset le TBS.
Resumo:
Nous décrivons dans cet article la pratique de l'expertise psychiatrique pénale telle qu'elle est effectuée au centre d'expertises de l'Institut de psychiatrie légale du département de psychiatrie du CHUV à Lausanne. Y est notamment abordée la question de la place réservée à l'utilisation d'instruments d'évaluation du risque de récidive. Qu'ils soient actuariels ou à type de raisonnement clinique structuré, ces instruments nous paraissent pouvoir trouver à s'inscrire dans une démarche méthodologique rigoureuse, dans la mesure où celle-ci se déploie dans une perspective qui reste fondée sur la clinique.
Resumo:
Evidence-based medicine has enabled to approach disease in a more rational and scientific way. Clinical research has identified behaviours and risk factors that could cause disease often "silent" at the beginning, such as diabetes. Despite the clear impact of these evidences on public health, it seems that the individual risk perception level remains weak. To mention as well, the health professionals very often have a different views, which makes it difficult to communicate the risk with patients. In this article we describe the principles of risk perception, the diabetes related risk perception concerning cardiovascular complications, and suggest some practical strategies and tools which could improve risk communication in the everyday practice.
Resumo:
This epidemiologic investigation in three Swiss regions (Geneva, St. Gall-Appenzell, Vaud) included 5,193 women diagnosed as having a first primary breast cancer. The patients were followed up for ten years (the observation totalled 24,994 women-years). Overall, these results confirmed that the relative risk of a second breast cancer was greatly increased during the first year following the primary diagnosis, but this was largely due to simultaneously discovered contralateral tumours. Beyond the first year of follow-up, the relative risk of a second tumour was lower but still significantly greater than unity. No significant diminution of the excess risk was observed in the first 10 years of follow-up. Relative risk of a second breast cancer was generally higher before age 50, independently of the latency. The relative risk of a second breast cancer differed significantly from one region to another, possibly due to specific techniques of registration.