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In this review, we first summarize the structure and properties of biological membranes and the routes of passive drug transfer through physiological barriers. Lipophilicity is then introduced in terms of the intermolecular interactions it encodes. Finally, lipophilicity indices from isotropic solvent systems and from anisotropic membrane-like systems are discussed for their capacity to predict passive drug permeation across biological membranes such as the intestinal epithelium, the blood-brain barrier (BBB) or the skin. The broad evidence presented here shows that beyond the predictive power of lipophilicity parameters, the various intermolecular forces they encode allow a mechanistic interpretation of passive drug permeation.

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La pierre et l'image. Etude monographique de l'église de Saint-Chef en Dauphiné: L'ancienne abbatiale de Saint-Chef-en-Dauphiné est située dans l'Isère, à 10 km de Bourgoin-Jallieu et à 2 km de l'ancienne voie romaine qui joignait Vienne à Aoste par le col du Petit-Saint-Bernard. L'abbaye dépendait, dès sa fondation, des archevêques de Vienne, dont la cité se trouvait à 70 km plus à l'ouest. Selon le récit de l'archevêque Adon de Vienne, écrit à la fin du IXe siècle, l'abbaye de Saint-Chef aurait été fondée au cours du VIe siècle par saint Theudère sur un territoire appartenant à sa famille, le Val Rupien. D'abord dédié à la Vierge le monastère est placé, dès l'époque carolingienne, sous le double patronage de la Vierge et du saint fondateur, dont les reliques furent déposées dans l'église. Sans doute détruite et abandonnée lors des guerres bosonides qui provoquèrent la ruine de Vienne (882), l'abbaye est restaurée quelques années plus tard par des moines venus de Champagne : en 887 les moines de Montier-en-Der, fuyant leur abbaye menacée par les invasions normandes, trouvent refuge à Saint-Chef. Afin de promouvoir la reconstruction de l'abbaye, l'archevêque Barnoin, soutenu par Louis l'Aveugle, roi de Bourgogne, lui offrent des privilèges d'exemption et plusieurs donations. Signe de la renommée et de la prospérité dont bénéficiait alors le monastère, Hugues, héritier de Louis l'Aveugle, y reçoit son éducation. Vers 925 ou 926, alors que la Champagne est à. nouveau pacifiée, les moines de Montier-en-Der regagnent leur abbaye d'origine après avoir reconstruit, selon les sources, le « petit monastère de Saint-Chef ». L'abbaye dauphinoise n'est pas pour autant abandonnée et reste vraisemblablement en contact avec les moines champenois : en 928, Hugues de Provence fait des donations importantes d l'abbaye qui est alors formellement placée sous la juridiction de l'Eglise de Vienne. En 962, le Viennois est intégré au royaume de Bourgogne puis, en 1032, au domaine impérial. Construction de l'abbaye : Après le départ des moines de Montier-en-Der, l'église dauphinoise a vraisemblablement été reconstruite par saint Thibaud, archevêque de Vienne entre 970 et l'an mil. Ayant peut-être reçu son éducation dans l'abbaye dauphinoise, il est enterré dans l'église qui, selon certaines sources, associe dès lors son patronage à celui du saint fondateur. Elevée en petit appareil irrégulier, la nef actuelle de l'église de Saint-Chef pourrait appartenir à cette phase de construction de l'église. Fils du comte Hugues de Vienne qui possédait d'importants territoires autour de Saint-Chef, Thibaud était aussi lié aux comtes de Troyes et de Champagne : ce sont ces liens qui expliquent la présence répétée de l'archevêque en Champagne et dans la région de Montier-en-Der. Or, à la même époque, l'église champenoise est reconstruite par le célèbre Adson, abbé de 968 à 992. Des ressemblances entre cette construction et celle de Saint-Chef suggèrent la réalisation, au Xe siècle, de deux églises-soeurs. L'église préromane de Montier-en-Der possédait, à. l'ouest, un massif à double étage et l'est, des tours jumelles s'élevant au-dessus des deux chapelles latérales entourant l'abside. Ce plan présente plusieurs points de comparaison avec l'église actuelle de Saint-Chef : on constate en particulier une équivalence au niveau des dimensions (largeur-longueur des nefs et le diamètre de l'abside), un choix identique pour l'emplacement du choeur et des entrées secondaires : à l'extrémité ouest du bas-côté nord et à l'extrémité orientale du bas-côté sud. Ces analogies nous aident à. restituer le plan de Saint-Chef, tel qu'il pouvait apparaître du temps de Thibaud : la partie orientale de l'église, alors élevée en petit appareil irrégulier comme la nef actuelle, était sans doute dépourvue de transept ; à l'image de l'église champenoise, des tours jumelles pouvaient toutefois s'élever au-dessus des deux chapelles orientales. Si notre hypothèse est exacte, le parti architectural adopté à Saint-Chef comme à Montier¬en-Der correspond au plan des églises monastiques réformées au Xe siècle par les abbayes de Fleury et de Gorze (dès 934). Dans ce type d'églises que l'on rencontre essentiellement dans l'ancienne Lotharingie, mais aussi dans une région proche de Saint-Chef, en Savoie, les tours orientales possédaient, à l'étage, des tribunes qui donnaient sur le choeur. La forme caractéristique de ces églises est déterminée par l'observance de coutumes liturgiques communes aux abbayes réformées. Ainsi, la règle établie par la réforme indiquait la nécessité d'espaces surélevés situés à l'est et à l'ouest de l'église : ces espaces avaient pour fonction d'accueillir les choeurs des moines dont les chants alternaient avec ceux des moines réunis au niveau inférieur, devant le sanctuaire. Par la suite, sans doute en raison de nouvelles pratiques liturgiques, la partie orientale de l'église de Saint-Chef, reconstruite en moyen appareil régulier, est augmentée d'un transept à quatre chapelles latérales. Les deux tours, si elles existaient, sont détruites pour être reconstruites aux extrémités du transept, abritant des chapelles hautes qui donnaient sur les bras du transept et le choeur. La vision latérale entre les deux tribunes est alors favorisée par l'alignement des baies des tribunes et des arcades du transept. Grâce à ce système d'ouverture, les choeurs des moines se voyaient et s'entendaient parfaitement. Ce système de tribunes orientales apparaît dans certaines églises normandes du XIe siècle ou dans d'autres églises contemporaines qui semblent s'en inspirer, telles que la cathédrale du Puy ou l'abbatiale de Saint-Sever-sur-l'Adour. L'importance croissante des chants alternés dans les offices semble avoir favorisé l'émergence d'une telle architecture. L'étude du décor sculpté, et notamment des chapiteaux ornant les différentes parties de l'édifice, permet de dater les étapes de transformation de l'abbatiale. L'aménagement des chapelles orientales semble remonter à la première moitié du XIe siècle ; l'installation des piliers soutenant le transept et les deux tours de l'édifice est datable des années 1060-1080. Par la suite, sans doute du temps de Guillaume de la Tour-du-Pin, archevêque de Vienne entre 1165 et 1170, le transept et la croisée sont surélevés et voûtés et des fenêtres viennent ajourer le mur pignon oriental. Les indices de datation tardives, rassemblés au niveau supérieur du transept, ont été utilisés par les spécialistes de l'architecture, tels Raymond Oursel et Guy Barruol, pour dater l'ensemble de l'église du XIIe siècle. Pourtant, dans d'autres études, Otto Demus, Paul Deschamp et Marcel Thiboud dataient les peintures de Saint-Chef de la seconde moitié du XIe siècle, soit un demi-siècle au moins avant la datation proposée pour l'élévation architecturale. Cette contradiction apparente se trouve désormais résolue par la mise en évidence de phases distinctes de construction et de transformations de l'édifice. Les peintures : Le décor peint de l'abbatiale est conservé dans trois chapelles du transept : dans la chapelle Saint-Theudère, à l'extrémité sud du transept, dans la chapelle Saint-Clément, à son autre extrémité, et dans la chapelle haute s'élevant au-dessus de celle-ci. Selon une dédicace peinte derrière l'autel, cette chapelle est dédiée au Christ, aux archanges et à saint Georges martyr. L'analyse stylistique permet de dater les peintures du troisième ou du dernier quart du XIe siècle : leur réalisation semble donc succéder immédiatement à l'élévation du transept et des deux tours que l'on situe, on l'a vu, dans les années 1060-1080. Au cours de cette étude, on a aussi relevé la parenté des peintures avec des oeuvres normandes et espagnoles : ces ressemblances s'affirment par certaines caractéristiques de style, mais aussi par le traitement de l'espace. Par exemple, l'alignement des anges sur la voûte, ou des élus sur le mur ouest de la chapelle haute de Saint-Chef, rappellent certains Beatus du XIe siècle, tels que celui de Saint-Sever antérieur à 1072. Dans la chapelle haute, la hiérarchie céleste est distribuée par catégories autour du Christ, représenté au centre de la voûte ; cette disposition se retrouve à Saint-Michel d'Aiguilhe au Xe siècle, ainsi que dans le premier quart du XIIe siècle à Maderuelo en Catalogne et à Fenouilla en Roussillon. D'autres rapprochements avec des oeuvres ottoniennes et carolingiennes ont aussi été observés, ainsi qu'avec certaines enluminures d'Ingelard, moine à Saint-Germain des Prés entre 1030 et 1060. L'iconographie: Le sens de l'image avait donné lieu à quelques études ponctuelles. Cette thèse a permis, d'une part, la mise en évidence d'un unique programme iconographique auquel participent les peintures des trois chapelles de l'abbatiale et, d'autre part, la découverte des liens entre le choix iconographique de Saint-Chef et certaines sources littéraires. Ces rapports ont par exemple été relevés pour la figure de l'ange conduisant saint Jean à la Jérusalem céleste, sur le voûtain ouest de la chapelle haute. La figure très soignée de l'ange, portant les mêmes vêtements que le Christ peint au centre de la voûte, présente sur son auréole quelques traces sombres qui devaient à l'origine dessiner une croix : ce détail fait de l'ange une figure du Christ, figure qui apparaît dans certaines exégèses apocalyptiques telles que le Commentaire d'Ambroise Autpert au Ville siècle, celui d'Haymon d'Auxerre au IXe siècle ou, au début du XIIe siècle, de Rupert de Deutz. Pour Ambroise Autpert, l'ange guidant saint Jean est une image du Christ amenant l'Eglise terrestre à la Jérusalem céleste, à laquelle elle sera unie à la fin des temps. Les deux figures symboliquement unies par le geste du Christ empoignant la main de saint Jean est une image du corps mystique de Jésus, le corps étant l'Eglise et la tête, le Christ qui enseigne aux fidèles. L'iconographie des peintures de la chapelle haute est centrée autour de l'oeuvre de Rédemption et des moyens pour gagner le salut, la Jérusalem céleste étant le lieu de destination pour les élus. Au centre de la voûte, le Christ présente ses deux bras écartés, en signe d'accueil. Sur le livre ouvert qu'il tient entre les genoux, les mots pax vobis - ego sum renvoient aux paroles prononcées lors de son apparition aux disciples, après sa Résurrection et au terme de son oeuvre de Rédemption. A ses pieds, sur le voûtain oriental, la Vierge en orante, première médiatrice auprès de son Fils, intercède en faveur des humains. Grâce au sacrifice du Christ et à travers la médiation de la Vierge, les hommes peuvent accéder à la Jérusalem céleste : les élus sont ici représentés sur le dernier registre du mur ouest, directement sous la Jérusalem ; un cadre plus sombre y indique symboliquement l'accès à la cité céleste. A l'autre extrémité du voûtain, Adam et Eve sont figurés deux fois autour de l'arbre de la connaissance : chassés du paradis, ils s'éloignent de la cité ; mais une fois accomplie l'oeuvre de Rédemption, ils peuvent à nouveau s'acheminer vers elle. Les peintures de la chapelle inférieure participent elles aussi au projet iconographique de la Rédemption. Sur la voûte de la chapelle, les quatre fleuves paradisiaques entouraient à l'origine une colombe. Selon l'exégèse médiévale, ces fleuves représentent les quatre temps de l'histoire, les vertus ou les quatre évangiles, diffusés aux quatre coins de la terre. Selon une tradition littéraire et iconographique d'origine paléochrétienne, ce sont aussi les eaux paradisiaques qui viennent alimenter les fonts baptismaux : l'association de la colombe, figure du Saint-Esprit et des fleuves du paradis suggère la présence, au centre de la chapelle, des fonts baptismaux. L'image de la colombe se trouve, on l'a vu, dans le prolongement vertical du Christ ressuscité, représenté au centre de la voûte supérieure. Or, selon une tradition qui remonte à Philon et Ambroise de Milan, la source des quatre fleuves, de la Parole divine diffusée par les quatre Evangiles, c'est le Christ. Dans son traité sur le Saint-Esprit, l'évêque de Milan place à la source de l'Esprit saint l'enseignement du Verbe fait homme. Il ajoute que lorsqu'il s'était fait homme, le Saint-Esprit planait au-dessus de lui ; mais depuis la transfiguration de son humanité et sa Résurrection, le Fils de Dieu se tient au-dessus des hommes, à la source du Saint-Esprit : c'est la même logique verticale qui est traduite dans les peintures de Saint-Chef, le Christ ressuscité étant situé au-dessus du Saint-Esprit et des eaux paradisiaques, dans la chapelle haute. Si les grâces divines se diffusent de la source christique aux hommes selon un mouvement descendant, l'image suggère aussi la remontée vers Dieu : en plongeant dans les eaux du baptême, le fidèle initie un parcours qui le ramènera à la source, auprès du Christ. Or, cet ascension ne peut se faire qu'à travers la médiation de l'Eglise : dans la chapelle Saint-Clément, autour de la fenêtre nord, saint Pierre et Paul, princes de l'Eglise, reçoivent la Loi du Christ. Dans la chapelle supérieure, ici aussi autour de la fenêtre septentrionale, deux personnifications déversaient les eaux, sans doute contenues dans un vase, au-dessus d'un prêtre et d'un évêque peints dans les embrasures de la fenêtre : c'est ce dont témoigne une aquarelle du XIXe siècle. Ainsi baignés par l'eau vive de la doctrine, des vertus et des grâces issue de la source divine, les représentants de l'Eglise peuvent eux aussi devenir sources d'enseignement pour les hommes. Ils apparaissent, en tant que transmetteurs de la Parole divine, comme les médiateurs indispensables entre les fidèles et le Christ. C'est par les sacrements et par leur enseignement que les âmes peuvent remonter vers la source divine et jouir de la béatitude. Si l'espace nord est connoté de manière très positive puisqu'il est le lieu de la représentation théophanique et de la Rédemption, les peintures de la chapelle sud renvoient à un sens plus négatif. Sur l'intrados d'arc, des monstres marins sont répartis autour d'un masque barbu aux yeux écarquillés, dont les dents serrées laissent échapper des serpents : ce motif d'origine antique pourrait représenter la source des eaux infernales, dont le « verrou » sera rompu lors du Jugement dernier, à la fin des temps. La peinture située dans la conque absidale est d'ailleurs une allusion au Jugement. On y voit le Christ entouré de deux personnifications en attitude d'intercession, dont Misericordia : elle est, avec Pax, Justifia et Veritas, une des quatre vertus présentes lors du Jugement dernier. Sur le fond de l'absidiole apparaissent des couronnes : elles seront distribuées aux justes en signe de récompense et de vie éternelle. L'allusion au Jugement et à l'enfer est la vision qui s'offre au moine lorsqu'il gagnait l'église en franchissant la porte sud du transept. S'avançant vers le choeur où il rejoignait les stalles, le moine pouvait presque aussitôt, grâce au système ingénieux d'ouvertures que nous avons mentionné plus haut, contempler les peintures situées sur le plafond de la chapelle haute, soit le Christ en attitude d'accueil, les anges et peut-être la Jérusalem céleste ; de là jaillissaient les chants des moines. De façon symbolique, ils se rapprochaient ainsi de leurs modèles, les anges. Dans ce parcours symbolique qui le conduisait de la mer maléfique, représentée dans la chapelle Saint¬Theudère, à Dieu et aux anges, les moines pouvaient compter sur les prières des intercesseurs, de la Vierge, des anges et des saints, tous représentés dans la chapelle haute. A Saint-Chef, l'espace nord peut-être assimilé, pour plusieurs aspects, aux Westwerke carolingiens ou aux galilées clunisiennes. Les massifs occidentaux étaient en effet le lieu de commémoration de l'histoire du salut : sites Westwerke étaient surtout le lieu de la liturgie pascale et abritaient les fonts baptismaux, les galilées clunisiennes étaient réservées à la liturgie des morts, les moines cherchant, par leurs prières, à gagner le salut des défunts. A l'entrée des galilées comme à Saint-Chef, l'image du Christ annonçait le face à face auquel les élus auront droit, à la fin des temps. Elevée au Xe siècle et vraisemblablement transformée dans les années 1060-1080, l'église de Saint-Chef reflète, par son évolution architecturale, celle des pratiques liturgiques ; son programme iconographique, qui unit trois espaces distincts de l'église, traduit d'une manière parfois originale les préoccupations et les aspirations d'une communauté monastique du XIe siècle. On soulignera toutefois que notre compréhension des peintures est limitée par la perte du décor qui, sans doute, ornait l'abside et d'autres parties de l'église ; la disparition de la crypte du choeur nuit aussi à l'appréhension de l'organisation liturgique sur cette partie de l'édifice. Seules des fouilles archéologiques ou la découverte de nouvelles peintures pourront peut-être, à l'avenir, enrichir l'état de nos connaissances.

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Purpose: The increase of apparent diffusion coefficient (ADC) in treated hepatic malignancies compared to pre-therapeutic values has been interpreted as treatment success; however, the variability of ADC measurements remains unknown. Furthermore, ADC has been usually measured in the whole lesion, while measurements should be probably centered on the area with the most restricted diffusion (MRDA) as it represents potential tumoral residue. Our objective was to compare the inter/intraobserver variability of ADC measurements in the whole lesion and in MRDA. Material and methods: Forty patients previously treated with chemoembolization or radiofrequency were evaluated (20 on 1.5T and 20 on 3.0T). After consensual agreement on the best ADC image, two readers measured the ADC values using separate regions of interest that included the whole lesion and the whole MRDA without exceeding their borders. The same measurements were repeated two weeks later. Spearman test and the Bland-Altman method were used. Results: Interobserver correlation in ADC measurements in the whole lesion and MRDA was as follows: 0.962 and 0.884. Intraobserver correlation was, respectively, 0.992 and 0.979. Interobserver limits of variability (mm2/sec*10-3) were between -0.25/+0.28 in the whole lesion and between -0.51/+0.46 in MRDA. Intraobserver limits of variability were, respectively: -0.25/+0.24 and -0.43/+0.47. Conclusion: We observed a good inter/intraobserver correlation in ADC measurements. Nevertheless, a limited variability does exist, and it should be considered when interpreting ADC values of hepatic malignancies.

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Inherited metabolic disorders are the cause of a small but significant number of sudden unexpected deaths in infancy. We report a girl who suddenly died at 11 months of age, during an intercurrent illness. Autopsy showed spongiform lesions in the subcortical white matter, in the basal ganglia, and in the dentate nuclei. Investigations in an older sister with developmental delay, ataxia, and tremor revealed L-2-hydroxyglutaric aciduria and subcortical white matter changes with hyperintensity of the basal ganglia and dentate nuclei at brain magnetic resonance imaging. Both children were homozygous for a splice site mutation in the L2HGDH gene. Sudden death has not been reported in association with L-2-hydroxyglutaric aciduria so far, but since this inborn error of metabolism is potentially treatable, early diagnosis may be important.

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Every year there are more immunocompromised patients with a better quality of life and, therefore, that travel more frequently. While traveling, patients may be exposed to several infections, such as traveler's diarrhea or malaria, which can be associated with a high rate of complications in this population. An appropriate strategy for the prevention of travel-related infections is essential, including education about hygiene measures, vaccinations and prescription of a tailored antimicrobial prophylaxis/stand-by treatment, according to the type of immunosuppression. Potential drug interactions, particularly between antimalaric and immunosuppressive drugs, must also be considered for decision taking. Collaboration between the general practitioner and the travel medicine and infectious diseases specialists is highly recommended to improve the management of these patients.

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OBJECTIVES:: For certain major operations, inpatient mortality risk is lower in high-volume hospitals than those in low-volume hospitals. Extending the analysis to a broader range of interventions and outcomes is necessary before adopting policies based on minimum volume thresholds. METHODS:: Using the United States 2004 Nationwide Inpatient Sample, we assessed the effect of intervention-specific and overall hospital volume on surgical complications, potentially avoidable reoperations, and deaths across 1.4 million interventions in 353 hospitals. Outcome variations across hospitals were analyzed through a 3-level hierarchical logistic regression model (patients, surgical interventions, and hospitals), which took into account interventions on multiple organs, 144 intervention categories, and structural hospital characteristics. Discriminative performance and calibration were good. RESULTS:: Hospitals with more experience in a given intervention had similar reoperation rates but lower mortality and complication rates: odds ratio per volume deciles 0.93 and 0.97. However, the benefit was limited to heart surgery and a small number of other operations. Risks were higher for hospitals that performed more interventions overall: odds ratio per 1000 for each event was approximately 1.02. Even after adjustment for specific volume, mortality varied substantially across both high- and low-volume hospitals. CONCLUSION:: Although the link between specific volume and certain inpatient outcomes suggests that specialization might help improve surgical safety, the variable magnitude of this link and the heterogeneity of hospital effect do not support the systematic use of volume-based referrals. It may be more efficient to monitor risk-adjusted postoperative outcomes and to investigate facilities with worse than expected outcomes.

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BACKGROUND: Recent studies suggest that inequalities in premature mortality have continued to rise over the last decade in most European countries, but not in southern European countries. METHODS: In this study, we assess long-term trends (1971-2011) in absolute and relative educational inequalities in all-cause and cause-specific mortality in the Turin Longitudinal Study (Turin, Italy), a record-linkage study including all individuals resident in Turin in the 1971, 1981, 1991 and 2001 censuses, and aged 30-99 years (more than 2 million people). We examined mortality for all causes, cardiovascular disease (CVD), all cancers and specific cancers (lung, breast), as well as smoking and alcohol-related mortality. RESULTS: Overall mortality substantially decreased in all educational groups over the study period, although cancer rates only slightly declined. Absolute inequalities decreased for both genders (SII=962/694 in men/women in 1972-1976 and SII=531/259 in 2007-2011, p<0.01). Among men, absolute inequalities for CVD and alcohol-related causes declined (p<0.05), while remaining stable for other causes of death. Among women, declines in absolute inequalities were observed for CVD, smoking and alcohol-related causes and lung cancer (p<0.05). Relative inequalities in all-cause mortality remained stable for men and decreased for women (RII=1.92/2.03 in men/women in 1972-1976 and RII=2.15/1.32 in 2007-2011). Among men, relative inequalities increased for smoking-related causes, while among women they decreased for all cancers, CVD, smoking-related causes and lung cancer (p<0.05). CONCLUSIONS: Absolute inequalities in mortality strongly declined over the study period in both genders. Relative educational inequalities in mortality were generally stable among men; while they tended to narrow among women. In general, this study supports the hypothesis that educational inequalities in mortality have decreased in southern European countries.

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BACKGROUND: Tuberculosis remains one of the world's deadliest transmissible diseases despite widespread use of the BCG vaccine. MTBVAC is a new live tuberculosis vaccine based on genetically attenuated Mycobacterium tuberculosis that expresses most antigens present in human isolates of M tuberculosis. We aimed to compare the safety of MTBVAC with BCG in healthy adult volunteers. METHODS: We did this single-centre, randomised, double-blind, controlled phase 1 study at the Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV; Lausanne, Switzerland). Volunteers were eligible for inclusion if they were aged 18-45 years, clinically healthy, HIV-negative and tuberculosis-negative, and had no history of active tuberculosis, chemoprophylaxis for tuberculosis, or BCG vaccination. Volunteers fulfilling the inclusion criteria were randomly assigned to three cohorts in a dose-escalation manner. Randomisation was done centrally by the CHUV Pharmacy and treatments were masked from the study team and volunteers. As participants were recruited within each cohort, they were randomly assigned 3:1 to receive MTBVAC or BCG. Of the participants allocated MTBVAC, those in the first cohort received 5 × 10(3) colony forming units (CFU) MTBVAC, those in the second cohort received 5 × 10(4) CFU MTBVAC, and those in the third cohort received 5 × 10(5) CFU MTBVAC. In all cohorts, participants assigned to receive BCG were given 5 × 10(5) CFU BCG. Each participant received a single intradermal injection of their assigned vaccine in 0·1 mL sterile water in their non-dominant arm. The primary outcome was safety in all vaccinated participants. Secondary outcomes included whole blood cell-mediated immune response to live MTBVAC and BCG, and interferon γ release assays (IGRA) of peripheral blood mononuclear cells. This trial is registered with ClinicalTrials.gov, number NCT02013245. FINDINGS: Between Jan 23, 2013, and Nov 6, 2013, we enrolled 36 volunteers into three cohorts, each of which consisted of nine participants who received MTBVAC and three who received BCG. 34 volunteers completed the trial. The safety of vaccination with MTBVAC at all doses was similar to that of BCG, and vaccination did not induce any serious adverse events. All individuals were IGRA negative at the end of follow-up (day 210). After whole blood stimulation with live MTBVAC or BCG, MTBVAC was at least as immunogenic as BCG. At the same dose as BCG (5×10(5) CFU), although no statistical significance could be achieved, there were more responders in the MTBVAC group than in the BCG group, with a greater frequency of polyfunctional CD4+ central memory T cells. INTERPRETATION: To our knowledge, MTBVAC is the first live-attenuated M tuberculosis vaccine to reach clinical assessment, showing similar safety to BCG. MTBVAC seemed to be at least as immunogenic as BCG, but the study was not powered to investigate this outcome. Further plans to use more immunogenicity endpoints in a larger number of volunteers (adults and adolescents) are underway, with the aim to thoroughly characterise and potentially distinguish immunogenicity between MTBVAC and BCG in tuberculosis-endemic countries. Combined with an excellent safety profile, these data support advanced clinical development in high-burden tuberculosis endemic countries. FUNDING: Biofabri and Bill & Melinda Gates Foundation through the TuBerculosis Vaccine Initiative (TBVI).

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Distinct molecular mechanisms integrate changes in ambient temperature into the genetic pathways that govern flowering time in Arabidopsis thaliana. Temperature-dependent eviction of the histone variant H2A.Z from nucleosomes has been suggested to facilitate the expression of FT by PIF4 at elevated ambient temperatures. Here we show that, in addition to PIF4, PIF3 and PIF5, but not PIF1 and PIF6, can promote flowering when expressed specifically in phloem companion cells (PCC), where they can induce FT and its close paralog, TSF. However, despite their strong potential to promote flowering, genetic analyses suggest that the PIF genes seem to have only a minor role in adjusting flowering in response to photoperiod or high ambient temperature. In addition, loss of PIF function only partially suppressed the early flowering phenotype and FT expression of the arp6 mutant, which is defective in H2A.Z deposition. In contrast, the chemical inhibition of gibberellic acid (GA) biosynthesis resulted in a strong attenuation of early flowering and FT expression in arp6. Furthermore, GA was able to induce flowering at low temperature (15°C) independently of FT, TSF, and the PIF genes, probably directly at the shoot apical meristem. Together, our results suggest that the timing of the floral transition in response to ambient temperature is more complex than previously thought and that GA signaling might play a crucial role in this process.