22 resultados para 12930-073


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L'image que l'on associe traditionnellement au Valais ressort plutôt de ses paysages alpins ou de ses agriculteurs de montagne que de ses industries. Celles-ci forment pourtant un maillon essentiel dans l'histoire du développement du canton. Au Moyen Age déjà, la prospection du fer, du plomb et surtout de l'argent donnait lieu a de sévères concurrences. Mais c'est l'arrivée des grandes industries chimiques et métallurgiques, vers 1900, qui a provoqué la reconversion en masse de centaines de paysans en ouvriers d'usines. Dans la complexité d'un marché devenu mondial, ces industries ont dû évoluer, certaines ont disparu, d'autres sont en passe de l'être. C'est ce regard sur un Valais méconnu qu'une dizaine d'historiens, avec l'oeil complice de plusieurs photographes, proposent à votre lecture.

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Rapport de synthèse : Plusieurs investigateurs ont démontré que l'utilisation d'une antibiothérapie prophylactique lors d'interventions neurochirurgicales en terrain non infecté (chirurgie propre) réduisait le taux d'infection. Toutefois, ces taux d'infections sont très variables en fonction des types de chirurgie et de la durée des interventions. Les craniotomies, la mise en place ou le remplacement de shunt ventriculo-cardiaque, l'extirpation de méningiomes intracrâniens et les interventions d'une durée de plus de quatre heures sont grevées d'un taux d'infections post-opératoires plus élevé. Si une prophylaxie antibiotique est maintenant reconnue et utilisée dans ce type de chirurgie, il n'a jamais été démontré que cette pratique amène un bénéfice dans les cas de chirurgie pour hernie discale. Des études ont montré que de nombreux organismes potentiellement pathogènes pouvaient être collectés et cultivés à proximité voire dans le champ opératoire. Malgré ces observations, le taux d'infections post-opératoires reste peu important (entre 1-4% selon les centres). Il n'est actuellement pas possible de distinguer le rôle respectif d'une antibiothérapie prophylactique et des pratiques d'asepsie habituelles (y compris l'usage de solutions de rinçage antiseptiques) dans la faible incidence des infections post-opératoires en ce qui concerne la chirurgie des hernies discales. Lorsque des opérations de chirurgie dite «propre » sont grevées d'un taux de complications aussi bas, une prophylaxie antibiotique n'est généralement pas recommandée, en raison d'un rapport coût-bénéfice défavorable. Le but de cette étude est d'évaluer la nécessité d'une antibiothérapie prophylactique par une céphalosporine de seconde génération (cefuroxime 1,5 g intraveineuse) dans la prévention des infections post-opératoires au cours d'une chirurgie pour hernie discale. Il s'agit d'un essai clinique prospectif, contrôlé contre placebo en insu réciproque, à répartition aléatoire. L'étude a été conduite dans les services de neurochirurgie de l'Hôpital Universitaire de Genève et du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois de Lausanne. L'ensemble des patients admis dans ces deux services pour une opération de hernie discale et ayant donné leur consentement ont été inclus dans l'étude qui s'est déroulé sur une période de 6 ans. Mille trois cent soixante-neuf patients opérés pour une hernie discale ont été inclus dans cet essai et 132 patients ont été exclus de l'analyse pour diverses raisons. Au total 1'237 patients ont été analysés, respectivement 613 et 624 patients dans le groupe cefuroxime et le groupe placebo. Les patients des deux groupes présentaient des caractéristiques identiques. Nous n'avons objectivé aucun effet secondaire indésirable attribuable à la cefuroxime ou au placebo. Huit (1.3%) patients du groupe cefuroxime et 18 patients (2.8%) du groupe placebo ont développé une infection du site opératoire (P=0.073). Neuf des patients infectés dans le groupe placebo présentaient une infection profonde du site opératoire (spondylodiscite, abcès épidural) et aucun dans le groupe cefuroxime (P<0.01). Tous les patients avec infection profonde du site opératoire ont été traités par antibiothérapie par voie intraveineuse pour au moins 4 semaines et il a été procédé à une reprise chirurgicale chez deux patients. Ces résultats montrent qu'il faut traiter 69 patients avec une antibiothérapie prophylactique de cefuroxime pour prévenir une infection du site opératoire. En conclusion, l'administration d'une dose de cefuroxime 1.5 g intraveineuse comme prophylaxie lors d'opération de hernie discale, permet de réduire significativement le risque d'infection profonde du site opératoire.

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BACKGROUND: A previous individual patient data meta-analysis by the Meta-Analysis of Chemotherapy in Nasopharynx Carcinoma (MAC-NPC) collaborative group to assess the addition of chemotherapy to radiotherapy showed that it improves overall survival in nasopharyngeal carcinoma. This benefit was restricted to patients receiving concomitant chemotherapy and radiotherapy. The aim of this study was to update the meta-analysis, include recent trials, and to analyse separately the benefit of concomitant plus adjuvant chemotherapy. METHODS: We searched PubMed, Web of Science, Cochrane Controlled Trials meta-register, ClinicalTrials.gov, and meeting proceedings to identify published or unpublished randomised trials assessing radiotherapy with or without chemotherapy in patients with non-metastatic nasopharyngeal carcinoma and obtained updated data for previously analysed studies. The primary endpoint of interest was overall survival. All trial results were combined and analysed using a fixed-effects model. The statistical analysis plan was pre-specified in a protocol. All data were analysed on an intention-to-treat basis. FINDINGS: We analysed data from 19 trials and 4806 patients. Median follow-up was 7·7 years (IQR 6·2-11·9). We found that the addition of chemotherapy to radiotherapy significantly improved overall survival (hazard ratio [HR] 0·79, 95% CI 0·73-0·86, p<0·0001; absolute benefit at 5 years 6·3%, 95% CI 3·5-9·1). The interaction between treatment effect (benefit of chemotherapy) on overall survival and the timing of chemotherapy was significant (p=0·01) in favour of concomitant plus adjuvant chemotherapy (HR 0·65, 0·56-0·76) and concomitant without adjuvant chemotherapy (0·80, 0·70-0·93) but not adjuvant chemotherapy alone (0·87, 0·68-1·12) or induction chemotherapy alone (0·96, 0·80-1·16). The benefit of the addition of chemotherapy was consistent for all endpoints analysed (all p<0·0001): progression-free survival (HR 0·75, 95% CI 0·69-0·81), locoregional control (0·73, 0·64-0·83), distant control (0·67, 0·59-0·75), and cancer mortality (0·76, 0·69-0·84). INTERPRETATION: Our results confirm that the addition of concomitant chemotherapy to radiotherapy significantly improves survival in patients with locoregionally advanced nasopharyngeal carcinoma. To our knowledge, this is the first analysis that examines the effect of concomitant chemotherapy with and without adjuvant chemotherapy as distinct groups. Further studies on the specific benefits of adjuvant chemotherapy after concomitant chemoradiotherapy are needed. FUNDING: French Ministry of Health (Programme d'actions intégrées de recherche VADS), Ligue Nationale Contre le Cancer, and Sanofi-Aventis.

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BACKGROUND: Oral contraceptives are known to reduce the incidence rate of endometrial cancer, but it is uncertain how long this effect lasts after use ceases, or whether it is modified by other factors. METHODS: Individual participant datasets were sought from principal investigators and provided centrally for 27 276 women with endometrial cancer (cases) and 115 743 without endometrial cancer (controls) from 36 epidemiological studies. The relative risks (RRs) of endometrial cancer associated with oral contraceptive use were estimated using logistic regression, stratified by study, age, parity, body-mass index, smoking, and use of menopausal hormone therapy. FINDINGS: The median age of cases was 63 years (IQR 57-68) and the median year of cancer diagnosis was 2001 (IQR 1994-2005). 9459 (35%) of 27 276 cases and 45 625 (39%) of 115 743 controls had ever used oral contraceptives, for median durations of 3·0 years (IQR 1-7) and 4·4 years (IQR 2-9), respectively. The longer that women had used oral contraceptives, the greater the reduction in risk of endometrial cancer; every 5 years of use was associated with a risk ratio of 0·76 (95% CI 0·73-0·78; p<0·0001). This reduction in risk persisted for more than 30 years after oral contraceptive use had ceased, with no apparent decrease between the RRs for use during the 1960s, 1970s, and 1980s, despite higher oestrogen doses in pills used in the early years. However, the reduction in risk associated with ever having used oral contraceptives differed by tumour type, being stronger for carcinomas (RR 0·69, 95% CI 0·66-0·71) than sarcomas (0·83, 0·67-1·04; case-case comparison: p=0·02). In high-income countries, 10 years use of oral contraceptives was estimated to reduce the absolute risk of endometrial cancer arising before age 75 years from 2·3 to 1·3 per 100 women. INTERPRETATION: Use of oral contraceptives confers long-term protection against endometrial cancer. These results suggest that, in developed countries, about 400 000 cases of endometrial cancer before the age of 75 years have been prevented over the past 50 years (1965-2014) by oral contraceptives, including 200 000 in the past decade (2005-14). FUNDING: Medical Research Council, Cancer Research UK.

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Objectif : Abstract Le but de cette étude consiste à étudier un éventuel lien entre le dosage du traitement de substitution par la Méthadone® pendant la grossesse et les issues obstétricales (rupture prématurée des membranes, menace d'accouchement prématuré), ainsi que néonatales (telles que le retard de croissance intrautérin, l'adaptation néonatale, le sevrage néonatal aux opiacés et l'hypoglycémie néonatale). Nous évaluerons également le développement psychomoteur de l'enfant à court terme (jusqu'à 18 mois de vie) via l'échelle de Griffiths. Méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective sur 50 femmes enceintes sous Méthadone® suivies au CHUV et ayant accouché entre les années 2000 et 2010, ainsi que sur leurs enfants suivis par l'Unité du Développement du CHUV et évalués moyennant l'échelle du développement psychomoteur appelée Griffiths (il s'agit de 26 enfants entre 6-9 mois et 20 entre 18-19 mois). Pour ce faire, nous avons parcouru les différentes archives du CHUV (informatiques et papiers) dans un premier temps. Ces données ont été ensuite saisies dans un tableau Excel avant d'être analysées via STATA. Résumé des résultats : En fonction du dosage de la Méthadone®, 27% (dose plus faible) à 47 % (dose plus élevée) des femmes de notre collectif accouchent prématurément (p = 0.139). 48 % de leurs nouveau-nés présentent un retard de croissance intra-utérin (RCIU). Ce risque est d'autant plus élevé que la Méthadone est faiblement dosée (p = 0.073). Inversement au RCIU, le risque d'hypoglycémie néonatale croît avec la dose maternelle de Méthadone® (p = 0.148). La survenue du syndrome de sevrage néonatal aux opiacés ainsi que sa durée sont significativement plus importantes lorsque le dosage maternel de Méthadone est élevé (p = 0.022 ; p = 0.0118) ou lors de la prise concomitante de benzodiazépines (p = 0.004 ; p = 0.0129). La prise d'autres substances illicites a elle aussi tendance à prolonger le sevrage (p = 0.065). Entre 6-9 mois de vie, il y a plus de microcéphalie (périmètre crânien inférieur au P10) lorsque les enfants reçoivent une dose plus faible in utéro (p = 0.005). Le développement psychomoteur est quant à lui plus favorable lorsque le traitement de substitution est fortement dosé (p = 0.039) et que l'enfant vit chez sa mère biologique (p = 0.050) ou bénéficie d'un contact maternel régulier (p = 0.008). L'effet du dosage de la Méthadone® (p = 0.683) et du lieu de vie (p = 0.211) sur le développement psychomoteur ont néanmoins tendance à s'estomper entre 18-19 mois de vie. Conclusions : Bien qu'un traitement de substitution par la Méthadone hautement dosé augmente la survenue et la durée du syndrome de sevrage néonatal aux opiacés, il y a maintenant des indices pour un meilleur outcome de l'enfant lorsque la substitution est importante (moins de RCIU, de microcéphalie et un développement psychomoteur plus favorable). A propos de l'issue néonatale, tous les enfants nés de mères toxicodépendantes semblent être à risque d'hypoglycémie néonatale. Implications pratiques : Il serait désormais préférable d'augmenter les doses de substitution des futures mères toxicomanes d'autant plus lorsque celles-ci le réclament et tous leurs enfants devraient bénéficier d'une alimentation précoce et de contrôles glycémiques, même s'ils sont eutrophiques.