273 resultados para Training (sports)
Resumo:
Football is a universal and an affordable game but we need to minimize the incidence of accidents among the increasing number of young football players. Our 11 year retrospective epidemiological study (1990-2000) of football injuries in children (N= 1000) was compared with those of adult players in the 2006 European Championship. This comparative study confirmed that the anatomical, biomechanical and biological conditions differ between adults and children and that they warrant particular attention to protect the latter vulnerable group against bone avulsions, overuse pathologies and fatigue-fractures. Injuries were shown to increase significantly with age up to 16 years (P=0.005). Children suffer mainly from contusions, fractures and sprain injuries. Head injuries were more common in boys (P=0.070), while girls were more prone to sprains. The types of injuries differ between adults and children (sprain versus fractures), the anatomical location of injuries is different (lower limbs in adults, lower and upper limbs in children), the circumstances of the injuries are different (contact in adults versus non-contact in children), and teenage girls have different types of injuries than teenage boys. An increased incidence of injuries is due to changes in the position of the center of gravity and in the morphotype during rapid growth. For these reasons it is mandatory to adapt the training to the age and sex of the players. It is unsafe to train children the same way as adults. The height, the weight and the speed of growth must be taken into account by the multidisciplinary team when organising the training programmes. -- Le football fait partie des sports les plus pratiqués au monde en raison de sa popularité et de son accessibilité économ ique. L'incidence des blessures liées à cette pratique doit être diminuée surtout chez les jeunes joueurs en raison de la croissance exponentielle du nombre de joueurs féminins et masculins. Une étude épidémiologique rétrospective sur 11 ans (1990-2000) a été réalisée chez les enfants victimes de blessures liées au football (N==1000), puis a été comparée aux données recueillies de l'UEFA lors d'un Championnat Européen en 2006 sur les lésions des joueurs adultes. Cette étude comparative confirme que les structures anatomiques, biologiques et les tensions biomécaniques chez l'enfant diffèrent de celles de l'adulte. Les enfants ont un risque plus élevé de souffrir d'avulsion osseuse et de fractures de fatigue que les adultes. Les blessures augmentent significativement avec l'âge jusqu'à 16 ans (P==0,005). Les traumatismes crâniens sont plus fréquents chez les garçons tandis que les entorses sont plus à risque chez les filles. Les adultes font plus souvent des entorses tandis que les enfants font plus de fractures. La localisation anatomique diffère également entre ces deux groupes (les membres inférieurs chez l'adulte et les membres inférieurs et supérieurs chez l'enfant). La circonstance des blessures diffère également (choc avec un autre joueur chez l'adulte et des blessures sans contact chez l'enfant). Chez les adolescents, les blessures des filles diffèrent de celles des garçons. L'augmentation chez les enfants de cette incidence est liée au déplacement lors de la croissance du centre de gravité, avec une maladresse accrue lors des phases de croissance. Pour toutes ces raisons, il est justifié d'adapter les entraînements de football en fonction de l'âge, du sexe et du morphotype. L'entrainement des enfants doit être différent de celui des adultes. Le poids, la taille et la vitesse de croissance doit être prise en compte dans des structures multidisciplinaires afin de permettre une meilleure longévité sportive des jeunes joueurs de football.
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Cet article a pour but d'identifier et de mieux comprendre les liens entre les motivations des pratiquantes de sports de remise en forme, les troubles du comportement alimentaire (TCA) et les troubles psychologiques associés (i.e., insatisfaction corporelle, dépendance à l'exercice physique). Au total, 1270 pratiquantes ont répondu à un questionnaire et 40 ont participé à un entretien semi-directif. Les motivations de perte de poids et/ou modification de l'apparence corporelle sont en lien avec les TCA et l'insatisfaction corporelle. La dépendance à l'exercice physique n'est pas systématique chez les femmes avec TCA. Les pratiquantes de sports de remise en forme motivées uniquement par la perte de poids et/ou la modification de l'apparence sont plus à risques dans levdéveloppement des TCA. The aim of this study was to identify and to better understand links between females' motives in fitness sports, eating disorders (ED) and associated psychological disorders (i.e. body dissatisfaction, exercise dependence). In all, 1270 women were asked by questionnaire and 40 by semi-structured interview. Weight loss/body appearance change motives are related to ED and body dissatisfaction. Exercise dependence are not systematic in women with ED. Fitness sports are at risk in the development of ED for women motivated only by weight loss/body appearance change motives
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PURPOSE: To compare hemoglobin mass (Hbmass) changes during an 18-d live high-train low (LHTL) altitude training camp in normobaric hypoxia (NH) and hypobaric hypoxia (HH). METHODS: Twenty-eight well-trained male triathletes were split into three groups (NH: n = 10, HH: n = 11, control [CON]: n = 7) and participated in an 18-d LHTL camp. NH and HH slept at 2250 m, whereas CON slept, and all groups trained at altitudes <1200 m. Hbmass was measured in duplicate with the optimized carbon monoxide rebreathing method before (pre-), immediately after (post-) (hypoxic dose: 316 vs 238 h for HH and NH), and at day 13 in HH (230 h, hypoxic dose matched to 18-d NH). Running (3-km run) and cycling (incremental cycling test) performances were measured pre and post. RESULTS: Hbmass increased similar in HH (+4.4%, P < 0.001 at day 13; +4.5%, P < 0.001 at day 18) and NH (+4.1%, P < 0.001) compared with CON (+1.9%, P = 0.08). There was a wide variability in individual Hbmass responses in HH (-0.1% to +10.6%) and NH (-1.4% to +7.7%). Postrunning time decreased in HH (-3.9%, P < 0.001), NH (-3.3%, P < 0.001), and CON (-2.1%, P = 0.03), whereas cycling performance changed nonsignificantly in HH and NH (+2.4%, P > 0.08) and remained unchanged in CON (+0.2%, P = 0.89). CONCLUSION: HH and NH evoked similar Hbmass increases for the same hypoxic dose and after 18-d LHTL. The wide variability in individual Hbmass responses in HH and NH emphasizes the importance of individual Hbmass evaluation of altitude training.