263 resultados para Saint-Vincent-et-les-Grenadines


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OBJECTIVE: To assess prescribing of anticoagulants in atrial fibrillation (AF) in the elderly, both a quantitative point of view (rate of anticoagulation) and qualitative (type of anticoagulation). Determinants of prescribing and non-prescribing were also analysed. METHODS: Prospective survey of practice, based on one clinical case and questionnaire conducted in 60 practitioners (20 cardiologists [C], 20 geriatricians [G] and 20 general practitioners [GP]). RESULTS: In reading the clinical case, 88.3% of physicians would have initiated a treatment; three types of treatments would have been chosen: AVK (68.3%), ODA (20.0%) and platelet antiaggregant (11.7%). Criteria taken into account to initiate anticoagulation varied according to the specialty. Cardiologists considered more the age criteria (C: 95.0%, G: 75.0%, MG: 60.0%; P<0.05), diabetes (C: 90.0%, G: 60.0%, MG: 55.0%; P<0.05), hypertension (C: 85.0%, G: 55.0%, MG: 60.0%; P<0.05) and female gender (C: 80.0%, G: 35.0%, MG: 25.0%; P<0.05). The quality of renal function was however a more secondary criteria (C: 15.0%, G: 5.0%, MG: 0.0%; P<0.05). General practitioners considered most frequently the presence of underlying heart disease (C: 35.0%, G: 5.0%, MG: 45.0%; P<0.05) as well as usual cardiovascular risk factors (overweight, dyslipidaemia; P<0.05). Risk of bleeding, however, was observed by 76.7% of physicians in the clinical situation presented (C: 70.0%, G: 75.0%, MG: 85.0%; P<0.05). CONCLUSION: This survey confirms that the FA remains under anticoagulated in the elderly and the barriers to the prescription of oral anticoagulation are often without rational basis.

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Violence against women (VAW) has become an issue for public action and a subject of controversy and debate in the public arena. The occurrences of VAW are - at least in part - reported by public authorities and public policies are designed to combat it, by means of prevention campaigns, setting up of shelters or counselling services. All these measures bring together a range of institutional and non-institutional actors. VAW is furthermore the focus of specific laws, but we know little about the emergence of the regulation of VAW in Switzerland. In this article, we will present preliminary results of the developpment of policies adressing domestic violence in the canton of Geneva, focusing on the political arena and analysing the definitional work done by two associations. These case studies show that the concept of gender violence has been marginalized and replaced by a new understanding of the phenomenon of gender violence, which is presented most often in a symmetrical, psychological and racialized way. Les violences faites aux femmes font l'objet de débats et de controverses et sont désormais un problème public qui réunit une pluralité d'acteurs institutionnels et non institutionnels. Outre diverses législations en la matière, de multiples actions et politiques publiques ont été élaborées dans des contextes variés, sous forme de campagnes de prévention, de création de refuges et de centres de conseils. Dans ce contexte, on ne sait que peu de choses de l'émergence de la régulation de ces violences en Suisse et des diverses formes qu'elle a prises. Cet article présente des résultats provisoires concernant la prise en charge des violences domestiques dans le canton de Genève, en se centrant sur la scène politique et en analysant le travail définitionnel effectué par deux associations hégémoniques dans le domaine. Ces études de cas permettent d'affirmer que le concept de violence de genre a été marginalisé et remplacé par une nouvelle compréhension du phénomène, présentée le plus souvent de façon symétrique, psychologique et racialisée.

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Objectif. Analyser les déterminants de la prolongation des séjours hospitaliers en service de soins de suite et réadaptation gériatrique (SSRG) et identifier les indicateurs du devenir des patients après leur sortie. Méthode. Étude rétrospective au CHRU de Strasbourg de l'ensemble des séjours de durée supérieure à 90 jours entre le 1 janvier 2012 et le 30 septembre 2013. L'ensemble des données sociodémographiques, descriptives des séjours et de l'état de santé des patients ont été analysées. Les patients ont été suivis 9 mois après leur sortie. Les réhospitalisations, l'admission en institution et le décès ont été informés par un contact téléphonique auprès du médecin traitant ou de la famille. Résultats. Quarante-six séjours ont été analysés. Les patients étaient à 68,0 % des femmes. La moyenne d'âge était de 82,9 ± 5,8 ans. Quatre-vingt-dix-huit pour cent d'entre eux vivaient à domicile avant l'admission en milieu hospitalier. Les raisons justifiant la prolongation étaient d'ordre médical (60,8 %), psychique (45,6 %), social (65,2 %) et liées à la difficulté de trouver une solution d'aval (58,7 %). À la fin de leur séjour, 9 patients ont pu regagner leur domicile et 37 ont été admis directement en institution. Durant la période de suivi, 17 patients ont été réhospitalisés au moins une fois et 3 jusqu'à trois fois. Au 9e mois, 9 patients étaient décédés dans un délai moyen de 75 jours après la sortie du SSRG. Les résultats des analyses unifactorielles et multivariées ont permis d'identifier des indicateurs d'évolution défavorable (décès et/ou réhospitalisation). Aucune des variables sociodémographiques ou de syndrome gériatrique n'a été identifiée. Par contre un « motif d'hospitalisation pour une maladie infectieuse », ou pour « un trouble de la marche ou une chute », une « prolongation du séjour en SSRG pour raison médicale » et un « séjour prolongé en court séjour » étaient les facteurs identifiés. Conclusion. Dans la tendance actuelle à améliorer la rentabilité de l'utilisation des ressources de santé, ces résultats rappellent qu'il est important de maintenir un juste équilibre entre utilisation raisonnée des ressources et les besoins spécifiques des patients âgés.

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L'incontinence urinaire (IU) se définit comme une élimination involontaire d'urine. Le programme transverse des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) sur la prévention et les traitements de I'IU avance l'hypothèse qu'environ 400'000 personnes, en Suisse en souf- frent. Parmi les personnes hospitalisées en réhabilitation et gériatrie, la proportion d'IU at- teindrait même 56%. Cette proportion s'élève encore dans des services de long séjour pour atteindre 70%. Malgré l'inconfort causé par l'IU et son lien avec un déclin fonctionnel, la litté- rature démontre que l'IU reste trop peu reconnue par les infirmières en soins gériatriques. Cette étude de type quantitatif descriptif corrélationnel vise à mesurer la prévalence de l'IU lors d'une admission en gériatrie et à évaluer le niveau d'implication infirmière dans la prise en compte de celle-ci. Le modèle de Classification Internationale du fonctionnement du han- dicap de la santé de l'Organisation mondiale de la santé est utilisé. L'implication infirmière est caractérisée par la présence explicite dans les dossiers patients d'un diagnostic infirmier, d'une prescription infirmière ou d'une intervention infirmière relatifs à l'IU. Après analyse de 100 dossiers sélectionnés au hasard au sein d'un département gériatrique d'un hôpital uni- versitaire, les résultats indiquent une prévalence de 72% d'incontinence. La majorité des personnes touchées sont des femmes (64%). Dans l'ensemble des dossiers de personnes présentant IU, on retrouve que 1,4% ont un diagnostic infirmier, 54% une prescription infir- mière, et 72%, une intervention infirmière. La grande majorité des interventions sont de type palliatif. Des corrélations montrent une association entre l'IU et l'âge et entre les préoccupa- tions infirmières et la raison principale d'admission. Ces résultats sont discutés en lien avec la littérature et des recommandations sont proposées pour améliorer la pratique clinique et favoriser la poursuite de la recherche infirmière dans ce domaine.

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Le but de cette étude était d'investiguer l'association entre l'alliance thérapeutique et le contrôle de substances, comme il est vécu par le patient. La théorie de King et le concept de l'alliance thérapeutique figuraient comme cadres théoriques. L'investigation se faisait à l'aide d'un questionnaire auto-administré, incluant l'instrument working alliance inventory (WAI) dans sa forme abréviée, traduit et validé en français, visant un échantillon de convenance (n=28). L'alliance thérapeutique était évaluée sur une échelle Likert à 12 questions, et les alliances thérapeutiques se sont révélées comme bonnes (x=61.68, max=84). Mais il y a une relation linéaire négative significative entre le degré à quel point les contrôles sont perçus comme pesants, évalués par une question supplémentaire sur une visual analog scale (VAS), et l'établissement d'une alliance thérapeutique (r =-0.67, p-value>0.001). De plus, la forme d'admission joue un rôle significatif, car dans cette étude, les patients admis sous pression de l'extérieur (n=7) ont de moins bonnes alliances (t, p-value=0.018) et vivent les contrôles comme plus pesants (Z, p-value=0.004) que les patients admis de leur propre gré (n=21). Malgré que ces résultats ne sont, vu le petit échantillon (n=28), pas généralisables, ils pourraient impliquer pour la pratique de repenser la prise d'urine et d'être sensibilisés aux conséquences possibles. Des options, comme l'introduction d'une supervision par caméra ou le retrait complet de l'infirmière de référence de toute sorte de contrôles, seraient imaginables. Au moins pour les personnes hospitalisées sous pression de l'extérieur et qui sont probablement, pour cette raison, plus susceptibles à tout dérangement de la relation.

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