575 resultados para Prise alimentaire
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Weight gain is a side effect often associated with progestin-only contraceptives. A recently published Cochrane review focuses on this issue that has been addressed in only few studies of good quality. Here we discuss the results of this review in the context of three clinical cases. With progestin-only contraceptives the weight gain is less than often thought, especially after six or twelve months of treatment. Some results are rather reassuring, especially those in obese women and during the post-partum period. This should help improve the compliance of women who fear gaining weight with this type of hormonal contraception.
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Wound care made great progress during last years related to several factors. The first is an awakening of the importance of wounds. The progress made in the comprehension of the physiopathology of wounds led to innovations in all stages of this complex process which is the wound healing. Autologus platelet concentrate producing growth factors are in use to stimulate the first phase of the healing. The second phase which is the phase of proliferation and secretion is currently better managed with new categories of bandages which are true local treatments. The nutrition became one of the pillars of wound treatments especially among old patients. The reconstructive surgery took great steps since the physiology and the vascular anatomy of the skin and soft tissues are better known. Finally the bio-engineering has entered the treatment of the wound there is more than 20 years ago and methods have improved and become more reliable
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Introduction : Les lésions malpighiennes intraépithéliales de bas grade (LSIL) sont un diagnostic rencontré fréquemment lors des frottis de dépistage du cancer du col utérin. Leur prise en charge reste controversée. Au CHUV, avant 2009, un test HPV était effectué chez toutes les femmes avec un diagnostic de L-SIL et seules les patientes avec un test HPV positif pour les hauts risques (HR) étaient adressées en colposcopie. Actuellement, suivant les guidelines européennes de 2006, l'attitude est de faire une colposcopie à toutes les patientes avec un diagnostic initial de L-SIL, sans faire préalablement un test HPV. Cette démarche semble efficiente chez les jeunes patientes, mais pas chez les plus de 30 ans chez qui la prévalence de tests HPV HR positifs est inférieure. Plus de 40% des femmes de plus de 30 ans seraient référées inutilement en colposcopie car elles ne seraient pas infectées par un HPV HR et n'auraient pas de risque d'évolution de leur L-SIL vers une lésion de haut grade. Buts : Comparer les deux différentes prises en charge des femmes de plus de 30 ans présentant un diagnostic de L-SIL, soit celle qui était en vigueur au CHUV avant 2009 et la prise en charge actuelle. Etudier le rôle et l'utilité du test HPV et de la colposcopie dans le suivi de ces femmes. Méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective, monocentrique. Nous avons étudié le dossier de toutes les femmes de plus de 30 ans ayant eu une cytologie avec un diagnostic initial de L-SIL du col de l'utérus au CHUV entre le 01.01.09 et le 31.12.10, soit 61 patientes. Résultats : Parmi les 61 femmes inclues dans notre étude 60 ont eu un test HPV effectué lors du diagnostic de L-SIL, dont seuls 29 (48,33%) étaient positifs pour les hauts risques. Comparé aux femmes avec test HPV négatif pour HR, les femmes positives pour HPV HR ont eu un taux inférieur d'évolution spontanément résolutive de leur lésion et un taux supérieur de conisation ou vaporisation du col. Cinq des femmes inclues dans l'étude ont eu une évolution de leurs lésions vers une pathologie plus avancée, dont 4 vers un CIN2 et 1 vers un CIN3. Ces cinq cas étaient positifs pour HPV HR. Conclusion : Les nouvelles guidelines en vigueur au CHUV concernant la prise en charge des femmes avec diagnostic de L-SIL n'étaient pas encore appliquées en 2010, en effet le test HPV a été effectué chez presque la totalité de ces patientes. Ces nouvelles guidelines ne semblent pas être applicables aux femmes de plus de 30 ans, chez qui la prévalence du HPV HR est inférieure, et qui risquent alors de subir des examens complémentaires invasifs, sans qu'il y ait de réel bénéfice sur le pronostic de leur pathologie.
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Henoch-Schönlein purpura is a well known paediatric disease characterized by the classic triad: purpura, arthritis and abdominal pain. Short term prognosis is excellent and is mostly dependant on abdominal complications. Long term morbidity depends essentially on the severity of renal involvement which occurs in 35% of cases. Microhematuria and light proteinuria are the only signs in 80% of cases. The remaining 20% presents with nephrotic or nephritic syndrome and acute renal insufficiency. Among patients with Henoch-Schönlein nephritis the risk of developing renal insufficiency varies between 11-30% of cases. Currently, the follow up guidelines are multiple and the optimal treatment of nephritis is controversial; this is what this article proposes to discuss.
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There is a sustained controversy in the literature about the role and utility of self-monitoring of blood glucose (SMBG) in type 2 diabetes. The study results in this field do not provide really useful clues for the integration of SMBG in the follow-up of the individual patient, because they are based on a misconception of SMBG. It is studied as if it was a medical treatment whose effect on glycemic control is to be isolated. However, SMBG has no such intrinsic effect. It gains its purpose only as an inseparable component of a comprehensive and structured educational strategy. To be appropriate this strategy cannot be based on the health care professionals' view on diabetes only. It rather has to be tailored to the individual patient's needs through an ongoing process of shared reflection with him.
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RÉSUMÉ Objectifs : Evaluer l'intérêt des examens paracliniques prescrits dans les morts du foetus in utéro pour aboutir à l'établissement d'un nouvel algorithme de prise en charge du bilan des morts in utero. Matériel et méthodes : Analyse rétrospective d'une série de 106 morts in utero recensées entre septembre 1989 et décembre 1998 dans le département de gynécologie - obstétrique du CHUV (maternité de type 3) à Lausanne. Nous avons défini la mort in utero à partir de la date limite de viabilité foetale. Seules les grossesses de 24 semaines ou plus ont été inclues dans cette série. Nous avons exclu les morts in utero survenues en cours d'interruption thérapeutique de grossesse ainsi que les cas présentant un dossier incomplet. La classification étiologique utilisée est celle décrite par Fretts. L'analyse a porté sur les différents examens demandés, ainsi que sur l'évaluation de leur pertinence dans l'établissement du diagnostic étiologique de chaque cas. La recherche de facteurs de risque significatifs a également été prise en considération. Nous avons comparé notre prise en charge aux données de la littérature, afin de proposer un nouvel algorithme. Résultats : L'étiologie de la mort foetale a pu être définie dans 90% des cas. Les causes principales en étaient les retards de croissance in utero (19,8 %), les anomalies congénitales et chromosomiques foetales (18,9%), les infections (15,1%), le décollement placentaire (7,5%), la prééclampsie (5,6%), le diabète maternel (3,8%). Le 18,9% restant se répartissant par petits nombres entre diverses autres causes. Dans 10,4% des cas nous n'avons pas trouvé d'explication à la mort in utero. Les examens les plus profitables dans le bilan de la mort in utero était l'autopsie foetale, qui était anormale dans 92,7% des cas examinés, l'anatomopathologie placentaire, anormale dans 93% des cas et le babygramme (radiographie du squelette foetal), pathologique dans 53% des cas. La sérologie maternelle infectieuse était informative dans 6,6% des cas. Conclusion : Nous présentons un protocole de prise en charge du bilan de la mort in utero différencié en fonction des circonstances entourant l'événement, afin de limiter les examens superflus.
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Résultats d'une revue systématique publiée dans Diabetes Care