246 resultados para LIVE-ANIMAL ULTRASOUND
Resumo:
Screening mammography is the only imaging modality with proved decrease in breast cancer mortality. Ultrasound has been proposed as additional tool for screening. Controversies remain about the real value of sonography in this setting. In Caucasian women with dense breast, sonography improves significantly breast cancer detection, but also increases the false positive cases, biopsies and costs. A careful selection of women who may benefit from additional screening with sonography is mandatory.
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PURPOSE: We investigated the changes in physiological and performance parameters after a Live High-Train Low (LHTL) altitude camp in normobaric (NH) or hypobaric hypoxia (HH) to reproduce the actual training practices of endurance athletes using a crossover-designed study. METHODS: Well-trained triathletes (n = 16) were split into two groups and completed two 18-day LTHL camps during which they trained at 1100-1200 m and lived at 2250 m (P i O2 = 111.9 ± 0.6 vs. 111.6 ± 0.6 mmHg) under NH (hypoxic chamber; FiO2 18.05 ± 0.03%) or HH (real altitude; barometric pressure 580.2 ± 2.9 mmHg) conditions. The subjects completed the NH and HH camps with a 1-year washout period. Measurements and protocol were identical for both phases of the crossover study. Oxygen saturation (S p O2) was constantly recorded nightly. P i O2 and training loads were matched daily. Blood samples and VO2max were measured before (Pre-) and 1 day after (Post-1) LHTL. A 3-km running-test was performed near sea level before and 1, 7, and 21 days after training camps. RESULTS: Total hypoxic exposure was lower for NH than for HH during LHTL (230 vs. 310 h; P < 0.001). Nocturnal S p O2 was higher in NH than in HH (92.4 ± 1.2 vs. 91.3 ± 1.0%, P < 0.001). VO2max increased to the same extent for NH and HH (4.9 ± 5.6 vs. 3.2 ± 5.1%). No difference was found in hematological parameters. The 3-km run time was significantly faster in both conditions 21 days after LHTL (4.5 ± 5.0 vs. 6.2 ± 6.4% for NH and HH), and no difference between conditions was found at any time. CONCLUSION: Increases in VO2max and performance enhancement were similar between NH and HH conditions.
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Introduction : Le bloc transverse de l'abdomen (bloc TAP, Transversus Abdominis Plane) échoguidé consiste en l'injection d'anesthésique local dans la paroi abdominale entre les muscles oblique interne et transverse de l'abdomen sous contrôle échographique. Ceci permet de bloquer l'innervation sensitive de la paroi antérolatérale de l'abdomen afin de soulager la douleur après des interventions chirurgicales. Auparavant, cette procédure reposait sur une technique dite « à l'aveugle » qui utilisait des repères anatomiques de surface. Depuis quelques années, cette technique est effectuée sous guidage échographique ; ainsi, il est possible de visualiser les structures anatomiques, l'aiguille et l'anesthésique local permettant ainsi une injection précise de l'anesthésique local à l'endroit désiré. Les précédentes méta- analyses sur le bloc TAP n'ont inclus qu'un nombre limité d'articles et n'ont pas examiné l'effet analgésique spécifique de la technique échoguidée. L'objectif de cette méta-analyse est donc de définir l'efficacité analgésique propre du bloc TAP échoguidé après des interventions abdominales chez une population adulte. Méthode : Cette méta-analyse a été effectuée selon les recommandations PRISMA. Une recherche a été effectuée dans les bases de donnée MEDLINE, Cochrane Central Register of Controlled Clinical Trials, Excerpta Medica database (EMBASE) et Cumulative Index to Nursing and Allied Health Literature (CINAHL). Le critère de jugement principal est la consommation intraveineuse de morphine cumulée à 6 h postopératoires, analysée selon le type de chirurgie (laparotomie, laparoscopie, césarienne), la technique anesthésique (anesthésie générale, anesthésie spinale avec/ou sans morphine intrathécale), le moment de l'injection (début ou fin de l'intervention), et la présence ou non d'une analgésie multimodale. Les critères de jugement secondaires sont, entre autres, les scores de douleur au repos et à l'effort à 6 h postopératoires (échelle analogique de 0 à 100), la présence ou non de nausées et vomissements postopératoires, la présence ou non de prurit, et le taux de complications de la technique. Résultats : Trente et une études randomisées contrôlées, incluant un total de 1611 adultes ont été incluses. Indépendamment du type de chirurgie, le bloc TAP échoguidé réduit la consommation de morphine à 6 h postopératoires (différence moyenne : 6 mg ; 95%IC : -7, -4 mg ; I =94% ; p<0.00001), sauf si les patients sont au bénéfice d'une anesthésie spinale avec morphine intrathécale. Le degré de réduction de consommation de morphine n'est pas influencé par le moment de l'injection (I2=0% ; p=0.72) ou la présence d'une analgésie multimodale (I2=73% ; p=0.05). Les scores de douleurs au repos et à l'effort à 6h postopératoire sont également réduits (différence moyenne au repos : -10 ; 95%IC : -15, -5 ; I =92% ; p=0.0002; différence moyenne en mouvement : -9 ; 95%IC : -14, -5 ; I2=58% ; p<0. 00001). Aucune différence n'a été retrouvée au niveau des nausées et vomissements postopératoires et du prurit. Deux complications mineures ont été identifiées (1 hématome, 1 réaction anaphylactoïde sur 1028 patients). Conclusions : Le bloc TAP échoguidé procure une analgésie postopératoire mineure et ne présente aucun bénéfice chez les patients ayant reçu de la morphine intrathécale. L'effet analgésique mineure est indépendant du moment de l'injection ou de la présence ou non d'une analgésie multimodale.