318 resultados para Col·legi Sant Tomàs de Vilanova (València)-Reglaments-S. XVIII


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Contrairement à l'opinion formulée dans la littérature, les motets de Victoria sont majoritairement homophoniques. Cette prééminence se manifeste notamment dans le premier livre de motets du compositeur (Venise, 1572), qui comporte plus de la moitié des pièces qu'il a laissées dans le genre. Dans cette publication, 58% de l'ensemble des sections qui composent les motets sont homophoniques. En outre, plus le nombre de voix des pièces est élevé (5, 6 et 8 voix, par opposition aux motets à 4 voix), plus l'homophonie est utilisée. Cependant, les débuts des motets sont majoritairement imitatifs. Deux types de sections homophoniques jouent un rôle de poids. Le premier fait intervenir des sous-sections basées sur le même sujet dans une combinatoire répétition/variation. Dans les motets à 6, une opposition de registre aigu/grave renforce le procédé. Le second type voit se succéder des sous-sections nouvelles qui reposent sur des unités textuelles non répétées. Les sections homophoniques déploient une grande variété d'écriture, qui va de l'extrême « simplicité » à une complexité marquée. L'immédiate succession de sections bien différenciées constitue un marqueur formel fort. L'écriture, quel que soit le degré de complexité, repose régulièrement sur des modèles de progression intervallique. Si l'homophonie est prépondérante, son utilisation conjointe avec l'imitation reste primordiale dans la conception du motet qu'a le compositeur. Ces deux facteurs participent de la « modernité » des pièces. Ils répondent aux préoccupations humanistes des érudits de la musique, à qui le recueil est destiné et appartiennent de ce fait à la musica reservata.

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Définies par une prévalence inférieure à 1⁄2000, lesmaladies rares toucheraient 5 à 6 % de la population,soit environ 500 000 personnes en Suisse. Une vasteenquête européenne a révélé pour la première foisavec précision les difficultés et les besoins despatients atteints, et montré que leur prise en chargen'est pas optimale. Des plans nationaux pour lesmaladies rares ont été développés ou vont l'être aucours de prochaines années dans la plupart des payseuropéens. La Suisse a un retard de plusieurs annéesdans ce domaine, mais des initiatives récentespourraient permettre de le combler si elles sontlargement soutenues. Les médicaments orphelins,destinés à un petit nombre de patients mais souventextrêmement coûteux, sont une source potentiellede tensions entre intérêt individuel et intérêt collectif.Entité éthique, sociale, économique, mais aussiscientifique et clinique, les maladies rares et leurstraitements confrontent aux limites des connaissanceset des ressources. Elles constituent un enjeu de santépublique et un défi que la Suisse est invitée à relever.

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A partir des notions de "sanitarisation du social" et de "politisation de la santé" proposées par D. Fassin, cet article met en évidence les écueils et effets potentiellement problématiques de l'évolution actuelle de la prise en charge préventive de la santé, notamment dans le domaine des dépendances où le sujet individuel occupe une place prédominante.

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Dans ce chapitre nous nous intéressons au fonctionnement de la concurrence en assurance santé dans le système suisse. Plus particulièrement, nous proposons d'analyser le rôle des consommateurs dans le fonctionnement de cette concurrence. Dans la première partie, nous décrivons rapidement les caractéristiques du système de compétition encadrée en Suisse. La seconde partie suggère que le système actuel souffre d'un certain nombre de dysfonctionnements révélés par la faible mobilité des assurés. La troisième partie analyse les raisons pour lesquelles les assurés ne font pas jouer la concurrence et suggère ainsi des pistes pour améliorer la régulation actuelle. [Auteure, p. 151-152]