231 resultados para Llull, Ramon, 1232 o 3-1315 o 6


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIVE: To evaluate the population and economic impact of implementing the new Joint National Committee (JNC) or European Society of Hypertension (ESH)/European Society of Cardiology (ESC) hypertension guidelines in the Swiss population. METHODS: Cross-sectional, population-based sample (6708 participants) collected between 2003 and 2006 in the city of Lausanne, Switzerland. Blood pressure categories were defined according to both the JNC (JNC-7 and JNC-8) and the ESH/ESC (2007 and 2013) guidelines. RESULTS: The proportion of participants aged 35-60 years eligible for drug treatment was 25.6% [95% confidence interval (CI) 24.4-26.9%] and 24.8% (95% CI 23.6-26.0%) for the JNC-7 and the JNC-8 guidelines, respectively; for participants aged 60-75 years, the values were 62.3% (95% CI 60.1-64.5%) and 46.8% (95% CI 44.5-49.0%), respectively. Shifting from the JNC-7 to the JNC-8 guidelines would lead to an annual saving of 163.6 million Swiss francs (187.7 million US dollars or 134.5 million European euro). The proportion of participants aged 35-75 years without chronic kidney disease, diabetes mellitus or reported history of cardiovascular disease and eligible for treatment was 30.2% (95% CI 29.0-31.4%) for the ESH/ESC 2007 and 2013 guidelines. For participants with chronic kidney disease, diabetes mellitus or reported history of cardiovascular disease, the values were 73.6% (95% CI 70.8-76.3%) and 55.6% (95% CI 52.5-58.8%), respectively. Shifting from the ESH/ESC 2007 to the ESH/ESC 2013 guidelines would lead to an annual saving of 86.9 million Swiss francs (99.5 million US dollars or 71.4 million European euro). CONCLUSION: In Switzerland, shifting from the JNC-7 to the JNC-8 guidelines or from the ESH/ESC 2007 to the ESH/ESC 2013 guidelines would decrease the prevalence of patients eligible for treatment and increase the percentage of treated patients within blood pressure goals. Both strategies lead to potential savings in antihypertensive drug treatment.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Comme impôt général sur la consommation, la TVA est omniprésente. Si le principe de base de cet impôt est simple, son application concrète s'avère des plus complexes. De nombreuses exceptions, exonérations et délimitations soulèvent continuellement des questions difficiles, lesquelles se posent avant tout aux contribuables eux-mêmes en raison du principe de l'auto-imposition. Près de cinq ans se sont désormais écoulés depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle loi sur la TVA le 1er janvier 2010. De premières expériences ont été faites, de nombreuses directives administratives ont été édictées, de la jurisprudence a été rendue en la matière. Le nouveau commentaire se penche de manière approfondie sur ces nouveautés, de même que sur l'essentiel de la doctrine publiée. Il informe le praticien de manière pertinente, précise et complète sur tous les sujets importants du droit de la TVA et lui fournit des réponses concrètes aux questions posées dans la pratique. Les commentaires sont rédigés en partie en français et en partie en allemand.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le tabagisme est associé à un risque augmenté de développer un diabète de type 2. Arrêter de fumer devrait donc diminuer le risqué de diabète. Seulement, les études concernant le risque métabolique à l'arrêt du tabac sont discordantes. Par ailleurs, les effets métaboliques du tabac et de l'arrêt du tabac diffèrent probablement selon le sexe, avec notamment un effet différent du tabac sur la santé des femmes, et une prise pondérale plus importante à l'arrêt que chez les hommes. Notre étude vise à évaluer le risque métabolique à l'arrêt du tabac, chez les femmes et les homes séparément. Nous avons utilisé les données de l'étude de cohorte prospective CoLaus, qui évalue différents facteurs de risque cardiovasculaire chez des sujets choisis de manière aléatoire, dans la population Lausannoise entre 35 et 75 ans, suivis sur 5.5 ans en moyenne. Parmi ceux avec une glycémie à jeun normale au départ, nous avons divisé les participants en quatre groupes selon leur statut tabagique : non fumeurs, personnes ayant arrêté de fumer depuis plus de 5 ans, celles ayant arrêté depuis moins de 5 ans, et fumeurs actifs. Nous avons mesuré les incidences de glycémie à jeun altérée (5.6-6.99 mmol/l) et de diabète (glycémie à jeun ≥ 7 mmol/l et/ou traitement pour le diabète) durant le période de suivi, stratifiées par sexe. Puis le risque d'incidence de glycémie altérée et de diabète a été calculé avec trois niveaux d'ajustement pour les facteurs confondants pour un risque métabolique. Nous avons inclus 3166 participants, dont 63% de femmes. Au total, 26.3% étaient fumeurs, 6.5% ex-fumeurs depuis moins de 5 ans et 23.5% ex-fumeurs depuis plus de 5 ans. Durant le suivi, 1311 (41.4%) personnes ont développé une glycémie à jeun altérée (33.6% des femmes, 54.7% des homes), et 47 (1.5%) ont développé un diabète (1.1% des femmes, 2.1% des hommes). Les personnes ayant arrêté de fumer n'avait pas de risque significativement plus élevé de développer une glycémie à jeun altérée ou un diabète que les fumeurs, après ajustement pour l'âge, l'éducation, l'hypercholestérolémie, la prise d'alcool, l'activité physique, la prise de poids, le BMI initial et le BMI d'arrivée dans les différents modèles d'ajustement. L'analyse de l'interaction du sexe avec ces résultats est également négative. Les analyses de sensibilité ont montré que l'exclusion des personnes ayant changé de statut tabagique durant le suivi ne changeait pas ces résultats. Nous avons refait les analyses en incluant les participants ayant une glycémie altérée au début du suivi, mais le risque d'incidence de diabète n'est pas plus élevé chez les ex-fumeurs que chez les fumeurs non plus dans cette population. Sur demande d'un reviewer, nous avons également refait les analyses avec la glycémie en continue (valeurs de base et valeurs à 5.5 ans), et la glycémie moyenne n'était pas différente par groupe de tabagisme. En conclusion, dans cette population européenne d'âge moyen, avec une prévalence basse d'obésité et une prise de poids modérée durant le suivi, nous n'avons pas trouvé de risque significativement plus élevé de développer un diabète en arrêtant de fumer, et ce pour les deux sexes. L'arrêt du tabac doit donc être encouragé chez toutes les fumeuses et tous les fumeurs.