364 resultados para Administration publique
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In order to fulfil their duties, Public health authorities have to rely on valid and recent data on the health status of populations. The CoLaus study helped to update our knowledge regarding the prevalence and management of the main cardiovascular risk factors in the Lausanne population. The results indicate that cardiovascular risk factor management is suboptimal and can still be improved, namely that specific population subgroups could benefit from targeted prevention measures. The CoLaus study also allowed to simulate the effect of different preventive strategies, thus enabling to choose the most (cost) effective ones, an important issue taking into account the current health budget restrictions.
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Needle-free procedures are very attractive ways to deliver vaccines because they diminish the risk of contamination and may reduce local reactions, pain or pain fear especially in young children with a consequence of increasing the vaccination coverage for the whole population. For this purpose, the possible development of a mucosal malaria vaccine was investigated. Intranasal immunization was performed in BALB/c mice using a well-studied Plasmodium berghei model antigen derived from the circumsporozoite protein with the modified heat-labile toxin of Escherichia coli (LTK63), which is devoid of any enzymatic activity compared to the wild type form. Here, we show that intranasal administration of the two compounds activates the T and B cell immune response locally and systemically. In addition, a total protection of mice is obtained upon a challenge with live sporozoites.
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Introduction générale : Depuis peu, la colère gronde au sein des actionnaires. Certains d'entre eux s'estiment écartés à tort de certaines décisions importantes et se plaignent de ne pouvoir exercer aucune influence sur la façon dont est gérée la société, dont ils sont pourtant propriétaires. Ce sentiment d'impuissance et même d'injustice est exacerbé par l'octroi, à certains dirigeants parfois peu scrupuleux, de rémunérations astronomiques et en décalage avec les résultats obtenus. Bien que l'assemblée générale soit, aux termes de l'art. 698 al. 1 CO, le pouvoir suprême de la société, les administrateurs et les directeurs donnent l'impression d'être omnipotents et exempts de toute responsabilité Certains actionnaires estiment en d'autres termes que les sociétés anonymes souffrent d'un manque de contrôle. Ce sentiment correspond-il à la réalité ? Notre étude tente de répondre à cette question en examinant l'éventuel rapport hiérarchique entre l'assemblée générale et le conseil d'administration, les devoirs de ce dernier, les conditions auxquelles il peut déléguer la gestion, enfin, la responsabilité de ses membres. Face à l'ampleur du sujet, nous avons été contraint d'effectuer des choix, forcément arbitraires. Nous avons décidé d'écarter la problématique des groupes de sociétés. De même, les législations sur les bourses, les banques et les fusions ne seront que mentionnées. Signalons enfin que certaines problématiques abordées par notre étude occupent actuellement le législateur. Nous avons dès lors tenu compte des travaux préparatoires effectués jusqu'à la fin de l'année 2008. Nous commencerons par étudier dans une première partie les relations et l'éventuel rapport hiérarchique entre l'assemblée générale, pouvoir suprême de la société, et le conseil d'administration, chargé d'exercer la haute direction et de gérer les affaires de la société. La détermination de leurs positions hiérarchiques respectives devrait nous permettre de savoir si et comment l'assemblée générale peut s'immiscer dans les compétences du conseil d'administration. Nous nous intéresserons ensuite à la gestion de la société, le législateur postulant qu'elle doit être conjointement exercée par tous les membres du conseil d'administration dans la mesure où elle n'a pas été déléguée. Or, comme un exercice conjoint par tous les administrateurs ne convient qu'aux plus petites sociétés anonymes, la gestion est très fréquemment déléguée en pratique. Nous examinerons ainsi les conditions formelles et les limites matérielles de la délégation de la gestion. Nous étudierons en particulier les portées et contenus respectifs de l'autorisation statutaire et du règlement d'organisation, puis passerons en revue la liste de compétences intransmissibles et inaliénables du conseil d'administration dressée par l'art. 716a al. 1 CO. Nous nous attarderons ensuite sur les différents destinataires de la délégation en insistant sur la flexibilité du système suisse, avant de considérer la problématique du cumul des fonctions à la tête de la société, et de nous demander si la gestion peut être déléguée à l'assemblée générale. Nous conclurons la première partie en étudiant la manière dont l'assemblée générale peut participer à la gestion de la société, et exposerons à cet égard les récentes propositions du Conseil fédéral. Dans une deuxième partie, nous constaterons que face à l'ampleur et à la complexité des tâches qui lui incombent, il est aujourd'hui largement recommandé au conseil d'administration d'une grande société de mettre en place certains comités afin de rationnaliser sa façon de travailler et d'optimiser ainsi ses performances. Contrairement aux développements menés dans la première partie, qui concernent toutes les sociétés anonymes indépendamment de leur taille, ceux consacrés aux comités du conseil d'administration s'adressent principalement aux sociétés ouvertes au public et aux grandes sociétés non cotées. Les petites et moyennes entreprises seraient toutefois avisées de s'en inspirer. Nous traiterons de la composition, du rôle et des tâches de chacun des trois comités usuels que sont le comité de contrôle, le comité de rémunération et le comité de nomination. Nous exposerons à cet égard les recommandations du Code suisse de bonne pratique pour le gouvernement d'entreprise ainsi que certaines règles en vigueur en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, états précurseurs en matière de gouvernement d'entreprise. L'étude des tâches des comités nous permettra également de déterminer l'étendue de leur propre pouvoir décisionnel. Nous aborderons enfin la problématique particulièrement sensible de la répartition des compétences en matière de rémunération des organes dirigeants. Notre troisième et dernière partie sera consacrée à la responsabilité des administrateurs. Nous exposerons dans un premier temps le système de la responsabilité des administrateurs en général, en abordant les nombreuses controverses dont il fait l'objet et en nous inspirant notamment des récentes décisions du Tribunal fédéral. Comme la gestion n'est que rarement exercée conjointement par tous les administrateurs, nous traiterons dans un deuxième temps de la responsabilité des administrateurs qui l'ont déléguée. A cet égard, nous nous arrêterons également sur les conséquences d'une délégation ne respectant pas les conditions formelles. Nous terminerons notre travail par l'étude de la responsabilité des administrateurs en rapport avec les tâches confiées à un comité de conseil d'administration. Comme le conseil d'administration a des attributions intransmissibles et inaliénables et que les principes d'un bon gouvernement d'entreprise lui recommandent de confier certaines de ces tâches à des comités spécialisés, il s'agit en effet de déterminer si et dans quelle mesure une répartition des tâches au sein du conseil d'administration entraîne une répartition des responsabilités.
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En France, la décentralisation et la territorialisation de l'action publique ont fait des sports de nature un objet d'action publique légitime en donnant naissance à de nouveaux outils de management public dédiés à la concertation et à la planification des usages de la nature. Nés de l'article 52 de la Loi sur le sport modifiée en 2000, la Commission Départementale des Espaces, Sites et Itinéraires relatifs aux sports de nature (CDESI) et le Plan Départemental des Espaces Sites et Itinéraires relatifs aux sports de nature (PDESI) sont des outils de concertation territoriale dédiés à la gestion publique des sports de nature au niveau départemental. Un enjeu de ce travail tient à l'appréhension des transformations de l'action publique en s'attachant à l'étude des dispositifs de concertation sur les sports de nature. Un deuxième enjeu de ce travail s'attache à mettre en évidence les effets de la concertation en analysant les interactions et les différents modes d'engagements des acteurs au cours de la « chose publique en train de se faire » (Cefaï, 2002). Les acteurs s'engagent non seulement dans la concertation comprise comme une activité sociale faite d'interactions, mais ils s'engagent également dans la concertation en tant que processus d'action publique. Aussi, un autre enjeu de ce travail est d'appréhender les effets de la concertation par une analyse processuelle des engagements (Fillieule, 2004) des acteurs et des organisations. En mobilisant les outils conceptuels de la sociologie interactionniste, de la sociologie pragmatique, ainsi que de la sociologie structuraliste, l'analyse des situations interactionnelles a notamment permis d'identifier les procédures de cadrage et les techniques dramaturgiques mises en oeuvre par les interactants, ainsi que les répertoires argumentatifs mobilisés par ces acteurs pendant l « 'épreuve » de la concertation. Les confrontations des points de vue et les justifications des prises de positions des acteurs peuvent faire évoluer la configuration initiale des jeux d'acteurs même si, pour certains, ces changements ne restent parfois qu'éphémères. Les organisations s'engagent dans la concertation en fonction de la revendication d'une légitimité qui est à comprendre comme une forme militantisme institutionnel s'articulant autour de la valorisation d'une expertise militante, environnementale, institutionnelle, ou encore de leur statut de partenaire institutionnel. In France, decentralization and territorialization of public action have made outdoor sports become an object of public policies justifiable by giving birth to new tools of public management dedicated to the public consultation, the dialogue, and the planning of the uses of the landscapes. Indeed, born of article 52 of the Law on sport modified in 2000, the Departmental committee for Spaces, Sites and Routes relative to natural sports ( CDESI) and the Departmental Plan of Spaces Sites and Routes relative to natural sports ( PDESI) are governance tools dedicated to the public management of outdoor sports for counties. A challenge of this work is to understand the changes of public policy by focusing on the study of mechanisms for consultation on outdoor sports. A second item of this work is to highlight the effects of cooperation by focusing on the analysis of interactions and actor's commitments during the "public thing in the making" (Cefaï, 2002). Actors commit themselves not only in the dialogue included as a social activity made by interactions, but they also take part to the dialogue included as a process of public action. Also, another issue of this work is to understand the effects of consultation by a processual approach of individual commitments (Fillieule, 2004) of actors and organizations. Using the conceptual tools of symbolic interactionism, pragmatic sociology, and structuralist sociology, the analysis of interactional situations has highlighted the framing work and procedures implemented by the interactants, as well as the dramaturgical techniques and argumentative directories which, they mobilize during the "test" of the consultation. Confrontation of viewpoints and justifications of interactants' positions can evolve from their initial configuration sets, even if for some of them these changes are sometimes ephemeral. Organizations involve themselves according to demands of legitimacy which, are to understand as a shape institutional militancy articulating around the valuation of a militant, environmental, institutional expertise, or still around their status of institutional partner.
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Background and objective: Patients in the ICU often get many intravenous (iv) drugs at the same time. Even with three-lumen central venous catheters, the administration of more than one drug in the same iv line (IVL) is frequently necessary. The objective of this study was to observe how nurses managed to administer these many medications and to evaluate the proportion of two-drugs associations (TDA) that are compatible or not, based on known compatibility data. Design: Observational prospective study over 4 consecutive months. All patients receiving simultaneously more than one drugs in the same IVL (Y-site injection or mixed in the same container) were included. For each patient, all iv drugs were recorded, as well as concentration, infusion solution, location on the IVL system, time, rate and duration of administration. For each association of two or more drugs, compatibility of each drug was checked with each other. Compatibilities between these pairs of drugs were assessed using published data (mainly Trissel LA. Handbook on Injectable Drugs and Trissel's Tables of Physical Compatibility) and visual tests performed in our quality control laboratory. Setting: 34 beds university hospital adult ICU. Main outcome measures: Percentage of compatibilities and incompatibilities between drugs administered in the same IVL. Results: We observed 1,913 associations of drugs administered together in the same IVL, 783 implying only two drugs. The average number of drugs per IVL was 3.1 ± 0.8 (range: 2-9). 83.2% of the drugs were given by continuous infusion, 14.3% by intermittent infusion and 2.5% in bolus. The associations observed allowed to form 8,421 pairs of drugs (71.7% drug-drug and 28.3% drug-solute). According to literature data, 80.2% of the association were considered as compatible and 4.4% incompatible. 15.4% were not interpretable because of different conditions between local practices and those described in the literature (drug concentration, solute, etc.) or because of a lack of data. After laboratory tests performed on the most used drugs (furosemide, KH2PO4, morphine HCl, etc.), the proportion of compatible TDA raised to 85.7%, the incompatible stayed at 4.6% and only 9.7% remain unknown or not interpretable. Conclusions: Nurses managed the administration of iv medications quite well, as only less than 5% of observed TDA were considered as incompatible. But the 10% of TDA with unavailable compatibility data should have been avoided too, since the consequences of their concomitant administration cannot be predictable. For practical reasons, drugs were analysed only by pairs, which constitutes the main limit of this work. The average number of drugs in the same association being three, laboratory tests are currently performed to evaluate some of the most observed three-drugs associations.
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[Table des matières] 1. Méthodologie. 1.1. Questions d'évaluation. 1.2. Collecte de l'information. 1.3. Validation. 1. 4. Analyse. 1.5. Utilité. 2. Planification de l'intervention en 2000, par domaine. 2.1. Clé de lecture des théories d'action. 2. 2. Les domaines de : la prévention, des thérapies et traitements, de la réduction des risques, de la formation, de la coordination, Campagne, migration et santé, de l'épidémiologie, de la recherche, de l'évaluation. 3. Evolution de la stratégie entre 1998 et 2000. 4. Théories d'action en 1998. 5. Dimensions de la théorie d'action globale 2000.
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Delta(9)-Tetrahydrocannabinol (THC) is frequently found in the blood of drivers suspected of driving under the influence of cannabis or involved in traffic crashes. The present study used a double-blind crossover design to compare the effects of medium (16.5 mg THC) and high doses (45.7 mg THC) of hemp milk decoctions or of a medium dose of dronabinol (20 mg synthetic THC, Marinol on several skills required for safe driving. Forensic interpretation of cannabinoids blood concentrations were attempted using the models proposed by Daldrup (cannabis influencing factor or CIF) and Huestis and coworkers. First, the time concentration-profiles of THC, 11-hydroxy-Delta(9)-tetrahydrocannabinol (11-OH-THC) (active metabolite of THC), and 11-nor-9-carboxy-Delta(9)-tetrahydrocannabinol (THCCOOH) in whole blood were determined by gas chromatography-mass spectrometry-negative ion chemical ionization. Compared to smoking studies, relatively low concentrations were measured in blood. The highest mean THC concentration (8.4 ng/mL) was achieved 1 h after ingestion of the strongest decoction. Mean maximum 11-OH-THC level (12.3 ng/mL) slightly exceeded that of THC. THCCOOH reached its highest mean concentration (66.2 ng/mL) 2.5-5.5 h after intake. Individual blood levels showed considerable intersubject variability. The willingness to drive was influenced by the importance of the requested task. Under significant cannabinoids influence, the participants refused to drive when they were asked whether they would agree to accomplish several unimportant tasks, (e.g., driving a friend to a party). Most of the participants reported a significant feeling of intoxication and did not appreciate the effects, notably those felt after drinking the strongest decoction. Road sign and tracking testing revealed obvious and statistically significant differences between placebo and treatments. A marked impairment was detected after ingestion of the strongest decoction. A CIF value, which relies on the molar ratio of main active to inactive cannabinoids, greater than 10 was found to correlate with a strong feeling of intoxication. It also matched with a significant decrease in the willingness to drive, and it matched also with a significant impairment in tracking performances. The mathematic model II proposed by Huestis et al. (1992) provided at best a rough estimate of the time of oral administration with 27% of actual values being out of range of the 95% confidence interval. The sum of THC and 11-OH-THC blood concentrations provided a better estimate of impairment than THC alone. This controlled clinical study points out the negative influence on fitness to drive after medium or high dose oral THC or dronabinol.