[(18)F]FDG-PET/CT metabolic parameters as useful prognostic factors in cervical cancer patients treated with chemo-radiotherapy.

BACKGROUND: To compare the prognostic value of different anatomical and functional metabolic parameters determined using [(18)F]FDG-PET/CT with other clinical and pathological prognostic parameters in cervical cancer (CC). METHODS: Thirty-eight patients treated with standard curative doses of chemo-radiotherapy (CRT) underwent pre- and post-therapy [(18)F]FDG-PET/CT. [(18)F]FDG-PET/CT parameters including mean tumor standardized uptake values (SUV), metabolic tumor volume (MTV) and tumor glycolytic volume (TGV) were measured before the start of CRT. The post-treatment tumor metabolic response was evaluated. These parameters were compared to other clinical prognostic factors. Survival curves were estimated by using the Kaplan-Meier method. Cox regression analysis was performed to determine the independent contribution of each prognostic factor. RESULTS: After 37 months of median follow-up (range, 12-106), overall survival (OS) was 71 % [95 % confidence interval (CI), 54-88], disease-free survival (DFS) 61 % [95 % CI, 44-78] and loco-regional control (LRC) 76 % [95 % CI, 62-90]. In univariate analyses the [(18)F]FDG-PET/CT parameters unfavorably influencing OS, DFS and LRC were pre-treatment TGV-cutoff ≥562 (37 vs. 76 %, p = 0.01; 33 vs. 70 %, p = 0.002; and 55 vs. 83 %, p = 0.005, respectively), mean pre-treatment tumor SUV cutoff ≥5 (57 vs. 86 %, p = 0.03; 36 vs. 88 %, p = 0.004; 65 vs. 88 %, p = 0.04, respectively) and a partial tumor metabolic response after treatment (9 vs. 29 %, p = 0.0008; 0 vs. 83 %, p < 0.0001; 22 vs. 96 %, p < 0.0001, respectively). After multivariate analyses a partial tumor metabolic response after treatment remained as an independent prognostic factor unfavorably influencing DFS and LRC (RR 1:7.7, p < 0.0001, and RR 1:22.6, p = 0.0003, respectively) while the pre-treatment TGV-cutoff ≥562 negatively influenced OS and DFS (RR 1:2, p = 0.03, and RR 1:2.75, p = 0.05). CONCLUSIONS: Parameters capturing the pre-treatment glycolytic volume and metabolic activity of [(18)F]FDG-positive disease provide important prognostic information in patients with CC treated with CRT. The post-therapy [(18)F]FDG-PET/CT uptake (partial tumor metabolic response) is predictive of disease outcome.

Monitoring of the training load and recovery parameters in competitive swimmers

Nombreux sont les groupes de recherche qui se sont intéressés, ces dernières années, à la manière de monitorer l'entraînement des sportifs de haut niveau afin d'optimaliser le rendement de ce dernier tout en préservant la santé des athlètes. Un des problèmes cardinaux d'un entraînement sportif mal conduit est le syndrome du surentraînement. La définition du syndrome susmentionné proposée par Kreider et al. est celle qui est actuellement acceptée par le « European College of Sport Science » ainsi que par le « American College of Sports Medicine», à savoir : « An accumulation of training and/or non-training stress resulting in long-term decrement in performance capacity with or without related physiological and psychological signs and symptoms of maladaptation in which restoration of performance capacity may take several weeks or months. » « Une accumulation de stress lié, ou non, à l'entraînement, résultant en une diminution à long terme de la capacité de performance. Cette dernière est associée ou non avec des signes et des symptômes physiologiques et psychologiques d'inadaptation de l'athlète à l'entraînement. La restauration de ladite capacité de performance peut prendre plusieurs semaines ou mois. » Les recommandations actuelles, concernant le monitoring de l'entraînement et la détection précoce du syndrome du surentrainement, préconisent, entre autre, un suivi psychologique à l'aide de questionnaires (tel que le Profile of Mood State (POMS)), un suivi de la charge d'entraînement perçue par l'athlète (p.ex. avec la session rating of perceived exertion (RPE) method selon C. Foster), un suivi des performances des athlètes et des charges d'entraînement effectuées ainsi qu'un suivi des problèmes de santé (blessures et maladies). Le suivi de paramètres sanguins et hormonaux n'est pas recommandé d'une part pour des questions de coût et de faisabilité, d'autre part car la littérature scientifique n'a, jusqu'ici, pas été en mesure de dégager des évidences à ce sujet. A ce jour, peu d'études ont suivi ces paramètres de manière rigoureuse, sur une longue période et chez un nombre d'athlète important. Ceci est précisément le but de notre étude.