453 resultados para relation sociale
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L'atelier d'ergothérapie est un élément du cadre et de la temporalité de l'hôpital de jour qui s'inscrit dans la structure du Centre Thérapeutique de Jour pour Adolescents depuis sa création. Dégagé des exigences scolaires ou psychologiques, l'ergothérapie est un espace structuré qui offre des possibilités thérapeutiques multiples. Ce sont certainement les attentes modestes où la performance n'est pas une priorité, qui favorisent l'apprivoisement, la sécurité et l'investissement de l'atelier. Au fil des semaines et des mois, l'adolescent peut progressivement reprendre confiance en ses compétences, mieux s'organiser, voire développer une créativité inattendue. Au-delà de sa fonction stn1cturante dans un programme d'activité interne à l'hôpital de jour, l'atelier d'ergothérapie se déploie sur l'extérieur dans sa composante écologique et sociale. Adaptables au plus près des besoins de l'adolescent, les projets en ergothérapie peuvent se réaliser en individuel ou en groupe. La relation est au coeur du processus thérapeutique, elle s'appuie sur les éléments du cadre et de permanence de cet atelier qui la rendent moins menaçante. A travers des vignettes cliniques et des illustrations concrètes, nous montrerons comment l'atelier d'ergothérapie peut rejoindre de manière métaphorique certains des ingrédients indispensables au processus d'adolescence que l'espace ainsi dessiné est en mesure de soutenir voire de relancer.
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CONCLUSION: There are several factors that influence the final outcome when treating oral squamous cell carcinoma (OSCC). Invasive front phenomena and more importantly their clinicopathological translation can have a direct impact on survival, and subsequently on the decision for an adjuvant treatment. OBJECTIVES: In recent years, the concept of tumor-host interaction has been the subject of substantial efforts in cancer research. Tumoral behavior may be better understood when studying the changes occurring at the tumor-host interface. This study evaluated the influence of several clinicopathological features on the outcome of OSCCs. METHODS: The clinical records and pathology specimens of 54 patients with OSCC treated by primary resection were reviewed retrospectively. The pathologic features reviewed were: invasive front grading (IFG), stromal reaction, lymphovascular invasion (LVI), perineural invasion (PNI), margin status, and depth of invasion. RESULTS: High IFGs had a significant relationship with pT status and pN status. High IFGs were strongly correlated with nodal metastases (odds ratio (OR) = 4.77; confidence interaval (CI) = 1.37-16.64). Concerning survival, IFG had a strong impact on disease-free survival in patients treated unimodally, as did the depth of invasion in the same group. Lymphovascular involvement was found to have a negative impact on overall survival in patients treated multimodally.
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The dispersal strategy of ants generally makes use of a nuptial flight to bring together the sexes. The energy necessary to accomplish this flight comes from stored carbohydrates. However, in some species, one of the sexes does not fly and mating occurs in the nest. This is the case in Iridomyrmex humilis and Cataglyphis cursor, in which the virgin queens possess wings but not leave the natal nest. We show in this work that the winged females of these two species accumulate very little carbohydrate during the maturation period occuring between emergence and mating: expressed as a percentage of dry weight at the time of mating, the total carbohydrates reach only 3.2% in I. humilis and 2.1% in C. cursor. In contrast, the males of these species which fly, possess three to four times more carbohydrates (13.0% and 6.2%, respectively). These latter values are very similar to those found for both sexes of species employing nuptial flights, such several species of wood ants (Formica rufa, F. polyctena, F. lugubris ), Lasius (L. niger , L. flavus ) or Myrmica scabrinodis also studied here. It appears that the absence of the mating flight is associated with reduced levels of carbohydrates, specially glycogen
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Levels of circulating cardiac troponin I (cTnI) or T are correlated to extent of myocardial destruction after an acute myocardial infarction. Few studies analyzing this relation have employed a second-generation cTnI assay or cardiac magnetic resonance (CMR) as the imaging end point. In this post hoc study of the Efficacy of FX06 in the Prevention of Mycoardial Reperfusion Injury (F.I.R.E.) trial, we aimed at determining the correlation between single-point cTnI measurements and CMR-estimated infarct size at 5 to 7 days and 4 months after a first-time ST-elevation myocardial infarction (STEMI) and investigating whether cTnI might provide independent prognostic information regarding infarct size at 4 months even taking into account early infarct size. Two hundred twenty-seven patients with a first-time STEMI were included in F.I.R.E. All patients received primary percutaneous coronary intervention within 6 hours from onset of symptoms. cTnI was measured at 24 and 48 hours after admission. CMR was conducted within 1 week of the index event (5 to 7 days) and at 4 months. Pearson correlations (r) for infarct size and cTnI at 24 hours were r = 0.66 (5 days) and r = 0.63 (4 months) and those for cTnI at 48 hours were r = 0.67 (5 days) and r = 0.65 (4 months). In a multiple regression analysis for predicting infarct size at 4 months (n = 141), cTnI and infarct location retained an independent prognostic role even taking into account early infarct size. In conclusion, a single-point cTnI measurement taken early after a first-time STEMI is a useful marker for infarct size and might also supplement early CMR evaluation in prediction of infarct size at 4 months.
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RAPPORT DE SYNTHÈSE Introduction En médecine de premier recours, les plaintes physiques sont fréquemment associées à des troubles dépressifs, anxieux et somatoformes et peuvent les masquer. Il est fréquemment reporté que ces troubles mentaux ont tendance à être insuffisamment diagnostiqués. Par ailleurs, peu d'études ont été conduites en médecine de premier recours concernant la possible association entre facteurs de stress psychosociaux et troubles dépressifs, anxieux et somatoformes. Objectifs Les objectifs étaient de déterminer la prévalence des troubles dépressifs, anxieux et somatoformes chez des patients consultant avec une plainte physique en médecine de premier recours, ainsi que d'explorer la possible association entre ces troubles mentaux et des facteurs de stress psychosociaux. Méthodes Nous avons conduit une étude transversale, multicentrique parmi vingt et un cabinets médicaux en Suisse Romande et la Policlinique Médicale Universitaire de Lausanne. Les sujets étaient sélectionnés aléatoirement parmi des patients qui avaient présenté spontanément au moins une plainte physique et qui avaient consulté lors d'une demi- journée de consultation considérée pour l'étude. Les patients inclus ont rempli l'auto- questionnaire Patient Health Questionnaire (PHQ) entre novembre 2004 et juillet 2005. Nous avons utilisé la version française et validée du PHQ qui permet le diagnostic des principaux troubles mentaux selon les critères du DSM-IV et l'analyse de l'exposition aux facteurs de stress psychosociaux. Résultats Neuf cent dix-sept patients se présentant avec au moins une plainte physique ont été inclus. Le taux de troubles dépressifs, anxieux et somatoformes a été de 20,0% (intervalle de confiance [IC] à 95% = 17,4%-22,7%), 15,5% (IC 95% = 13,2%- 18,0%) et 15,1% (IC 95% = 12,8%~17,5%), respectivement. Les facteurs de stress psychosociaux ont été significativement associés aux troubles mentaux. Les patients avec une accumulation de facteurs de stress psychosociaux ont été le plus souvent déprimés, anxieux ou ont manifesté des troubles somatoformes, avec une augmentation par un facteur 2,2 (IC 95% = 2,0-2,5) pour chaque facteur additionnel. Conclusions Bien que la relation entre facteurs de stress psychosociaux et trouble dépressif soit bien établie, cette étude montre qu'il existe un lien entre ces facteurs de stress et les troubles dépressifs, anxieux et somatoformes. L'investigation de ces troubles mentaux chez des patients consultant avec un symptôme physique en médecine de premier recours est pertinente. D'autres explorations sont nécessaires pour investiguer le bénéfice potentiel d'une prise en charge intégrée des facteurs de stress psychosociaux sur la diminution des plaintes physiques et des troubles mentaux chez les patients que suivent les médecins de premier recours.