227 resultados para Diagnostic procedures
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Percutaneous ablative procedures allow curative treatment of stage BCLC 0 or BCLC A hepatocellular carcinoma, as well as liver metastases of colorectal cancer. Several methods exist including radiofrequency ablation, the most commonly used. These techniques can be used in combination with surgical excision or alone if surgery is contraindicated. They are associated with significantly reduced mortality as compared to surgery.
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L'étude porte sur 951 porteurs d'un cancer primaire bucco-pharyngo-laryngé, et révèle un taux de multifocalité du carcinome épidermoïde sur les voies digestive supérieure (bouche-pharynx-oesophage) et aérienne distale (larynx-trachée-bronches) s'élevant à 14,5 %. Les secondes localisations peuvent être simultanées (6,4 %) ou successives (8,1 %) à la découverte du premier cancer: dès la deuxième année du follow-up leur incidence dépasse celle des récidives. Elles se localisent tant au niveau ORL (8,5 %) qu'oesophagien (3 %) ou bronchique (3 %). Le cancer du voile présente un taux de multifocalité particulièrement élevé (51 %). Les auteurs décrivent un type d'endoscopie de dépistage (bucco-pharyngo-oesophago-laryngo-trachéobronchoscopie) dont la fiabilité repose sur une technicité spécifique d'une part, et sur la connaissance des caractéristiques propres aux secondes localisations d'autre part. Ce dépistage systématique permet de détecter les tumeurs secondaires à un stade le plus souvent précoce et encore asymptomatique.
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La rétinite pigmentaire (RP) et l'amaurose congénitale de Leber (LCA) sont deux maladies héréditaires classées dans le groupe des rétinopathies pigmentaires. Plus de 100 gènes ou loci ont étés identifiés dans les RP (comptant pour 60% des patients) et 14 gènes pour les LCA (responsables de 70% des cas). A elles-deux et en ne prenant que les plus fréquentes, ces maladies représentent 948 exons à analyser lorsqu'on recherche une mutation chez un patient. La recherche de mutations au moyen du séquençage génomique classique (séquençage selon Sanger) de tous les gènes de ces deux maladies implique des délais d'analyse importants et des coûts très élevés. La méthode de séquençage à haut débit (avec le séquenceur Roche GS Junior) permet grâce à une puce à ADN le séquençage simultané des 948 exons. Le but de mon travail de Master est de comparer ces deux approches afin de déterminer celle qui est la plus économique et la plus efficiente en temps. Pour cela, j'ai d'abord établi la liste de tous les gènes impliqués dans les RP et LCA, puis identifié tous les exons ainsi que les promoteurs et séquences 3' non traduites. J'ai ensuite calculé le coût théorique d'une analyse de tous les gènes avec chacune des méthodes. J'ai également estimé les coûts à facturer à l'assurance concernant le séquençage à haut débit sur la base des coûts facturables à l'assurance de la méthode Sanger et des bénéfices du laboratoire. Le séquençage des 948 exons par le séquençage à haut débit (avec le GS Junior) représente la technique de séquençage la plus économique et la plus efficiente en temps et constitue donc la méthode de choix dans le screening diagnostic des gènes impliqués dans les RP et LCA. Cette méthode est plus rapide, les réactifs et la machine sont moins coûteux et la laborantine peut analyser un nombre plus important d'exons en un temps moindre, donc elle coûtera moins cher au laboratoire. Cette méthode est donc d'un grand intérêt pour les patients, les assurances et le laboratoire. Cette nouvelle technique de séquençage soulève de nouvelles interrogations telles que la décision de savoir quelle information doit être donnée aux médecins, aux assurances et aux patients. Interrogations auxquelles il devient de plus en plus pressant de répondre.
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In hyperdiploid acute lymphoblastic leukaemia (ALL), the simultaneous occurrence of specific aneuploidies confers a more favourable outcome than hyperdiploidy alone. Interphase (I) FISH complements conventional cytogenetics (CC) through its sensitivity and ability to detect chromosome aberrations in non-dividing cells. To overcome the limits of manual I-FISH, we developed an automated four-colour I-FISH approach and assessed its ability to detect concurrent aneuploidies in ALL. I-FISH was performed using centromeric probes for chromosomes 4, 6, 10 and 17. Parameters established for automatic nucleus selection and signal detection were evaluated (3 controls). Cut-off values were determined (10 controls, 1000 nuclei/case). Combinations of aneuploidies were considered relevant when each aneuploidy was individually significant. Results obtained in 10 ALL patients (1500 nuclei/patient) were compared with those by CC. Various combinations of aneuploidies were identified. All clones detected by CC were observed by I-FISH. I-FISH revealed numerous additional abnormal clones, ranging between 0.1% and 31.6%, based on the large number of nuclei evaluated. Four-colour automated I-FISH permits the identification of concurrent aneuploidies of prognostic significance in hyperdiploid ALL. Large numbers of cells can be analysed rapidly by this method. Owing to its high sensitivity, the method provides a powerful tool for the detection of small abnormal clones at diagnosis and during follow up. Compared to CC, it generates a more detailed cytogenetic picture, the biological and clinical significance of which merits further evaluation. Once optimised for a given set of probes, the system can be easily adapted for other probe combinations.
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Mycoplasma hominis is a fastidious micro-organism causing genital and extragenital infections. We developed a specific real-time PCR that exhibits high sensitivity and low intrarun and interrun variabilities. When applied to clinical samples, this quantitative PCR allowed to confirm the role of M. hominis in three patients with severe extragenital infections.
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Résumé Le trouble de l'adaptation est un diagnostic très fréquent, mais étonnamment peu étudié et controversé. Il est, selon les études, considéré comme une forme mineure d'un trouble psychiatrique spécifique, comme une fragilité psychologique révélée par un événement stressant pour le sujet ou encore comme une forme précoce annonçant un trouble psychiatrique majeur. Ces trois points de vue ramènent en fait tous à la question de fond concernant son étiologie. L'objectif de cette étude est de montrer si le trouble de l'adaptation est un diagnostic clairement différencié dont l'existence est justifiée. Afin de tenter de répondre à cette question, il nous est apparu intéressant de comparer cette catégorie diagnostique à une autre catégorie diagnostique psychiatrique importante, le trouble dépressif majeur. Dans cette étude rétrospective nous avons sélectionné tous les patients avec un diagnostic de trouble de l'adaptation ou un trouble dépressif majeur parmi les patients hospitalisés à l'hôpital psychiatrique de Malévoz en Valais en 1993 (580). Elle est basée sur des diagnostics cliniques. Nous avons comparé leurs données socio-démographiques (âge, sexe, nationalité, état civil, activité professionnelle), leurs antécédents psychiatriques (hospitalisations antérieures, suivi psychiatrique ambulatoire, antécédents de tentamen), leurs hospitalisations ultérieures dans les 5 ans, leur hospitalisation actuelle (durée, tentamens, comorbidité) et les traitements médicamenteux prescrits (leur nombre et leur classe). Notre étude met en évidence certaines distinctions entre le trouble de l'adaptation et le trouble dépressif majeur: les patients souffrant de trouble de l'adaptation diffèrent des troubles dépressifs majeurs par le fait qu'ils sont plus fréquemment des hommes, célibataires et plus jeunes que ceux souffrant de trouble dépressif majeur; leur durée d'hospitalisation est plus courte, leur évolution entre les hospitalisations est meilleure et ils reçoivent moins de psychotropes. Nous ne pouvons cependant pas conclure à une distinction claire de ces deux catégories diagnostiques, ni que le trouble de l'adaptation n'est pas simplement lié à une moindre gravité. Nos résultats confirment par contre que ce diagnostic n'est pas non plus un diagnostic anodin (nombre élevé d'antécédents psychiatriques, de tentamens, d'hospitalisations psychiatriques ultérieures, importance des comorbidités de même que la lourdeur des traitements psychotropes prescrits (notamment la fréquence des neuroleptiques). A notre avis, les trois hypothèses étiologiques (forme mineure, trouble précoce ou fragilité psychologique spécifique révélée par un événement stressant) qui ont été évoquées peuvent être considérées comme plausibles suivant le point de vue que l'on choisit. Le diagnostic de trouble de l'adaptation révèle une des limitations de l'approche du DSM-Ill-R qui se veut athéorique. Le fait que dans sa définition même, le DSM-111-R évoque "qu'il faut souvent se référer au seul jugement clinique" le montre bien, un tel diagnostic renvoie inévitablement à une référence psychopathologique. Nous pensons qu'il est illusoire de vouloir se passer d'une telle référence qui elle seule permet d'appréhender justement la portée symbolique d'un événement donné pour un individu. Summary In this retrospective study we selected all the patients with a diagnosis of adjustment disorder (77) or major depressive disorder (125) among the patients hospitalised in the psychiatric hospital of Malevoz in Valais during the year 1993 (580). It is based on clinical diagnosis. Their social and demographic characteristics (age, sex, nationality, marital status, professional activity), their past psychiatric history (earlier psychiatric hospitalisations, ambulatory treatment and attempted suicide), their hospitalisations during the next 5 years, their index hospitalisation (length, attempted suicide, comorbidity) and their drug treatment (number and class of prescribed drugs) were compared. This survey confirms certain differences be-tween adjustment disorder and major depression disorder: patients suffering from adjustment disorder were more often men, not married, younger than those suffering from major depression; their hospitalisations were shorter with a better evolution between hospitalisations and they received less medication. However, the study does not allow to clearly distinguish between the two diagnoses or to conclude that adjustment disorder is not only a minor form of a specific psychiatric disorder. Yet it confirms that adjustment disorder is not a light diagnosis (importance of the psychiatric past, high number of past attempted suicides, rehospitalisations, number of comorbid disorders and weight of the prescribed psychotropic treatments among which neuroleptics were frequent). The three aetiological hypotheses that have been proposed (minor form of a specific disorder, specific psychological vulnerability revealed by a stress factor or precursor manifestation of a major psychiatric disorder) can still be considered as plausible. The diagnosis of adjustment disorder points to methodological limitations of the atheoretical approach of the DSM-III-R. The fact that, in its DSM-III-R definition, it is stated that the diagnosis of adjustment disorder has often to be based only on clinical judgment shows very well that such a diagnosis inevitably refers to a psychopathological theory. Indeed, the authors consider an approach without such a reference as difficult, a reference which remains the only way to appreciate accurately the symbolic weight of a given event for an individual person.
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Perfusion lung scan, whether associated with a ventilation lung scan or not, is frequently used in the diagnosis of pulmonary emboli. The characteristics of perfusion lung scan are reviewed. The added diagnostic value of standard chest X-ray and of ventilation scan is discussed, as well as its use in the intensive care unit.
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RATIONALE AND OBJECTIVES: To systematically review and meta-analyze published data about the diagnostic accuracy of fluorine-18-fluorodeoxyglucose ((18)F-FDG) positron emission tomography (PET) and PET/computed tomography (CT) in the differential diagnosis between malignant and benign pleural lesions. METHODS AND MATERIALS: A comprehensive literature search of studies published through June 2013 regarding the diagnostic performance of (18)F-FDG-PET and PET/CT in the differential diagnosis of pleural lesions was carried out. All retrieved studies were reviewed and qualitatively analyzed. Pooled sensitivity, specificity, positive and negative likelihood ratio (LR+ and LR-) and diagnostic odds ratio (DOR) of (18)F-FDG-PET or PET/CT in the differential diagnosis of pleural lesions on a per-patient-based analysis were calculated. The area under the summary receiver operating characteristic curve (AUC) was calculated to measure the accuracy of these methods. Subanalyses considering device used (PET or PET/CT) were performed. RESULTS: Sixteen studies including 745 patients were included in the systematic review. The meta-analysis of 11 selected studies provided the following results: sensitivity 95% (95% confidence interval [95%CI]: 92-97%), specificity 82% (95%CI: 76-88%), LR+ 5.3 (95%CI: 2.4-11.8), LR- 0.09 (95%CI: 0.05-0.14), DOR 74 (95%CI: 34-161). The AUC was 0.95. No significant improvement of the diagnostic accuracy considering PET/CT studies only was found. CONCLUSIONS: (18)F-FDG-PET and PET/CT demonstrated to be accurate diagnostic imaging methods in the differential diagnosis between malignant and benign pleural lesions; nevertheless, possible sources of false-negative and false-positive results should be kept in mind.
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Ce cas décrit la structure organisationnelle en place dans une régie régionale de la santé et des services sociaux, ainsi que le processus de prise de décision pour un dossier particulier : la mise en oeuvre d'un programme d'interruption volontaire de grossesses dans la région. L'objectif est d'illustrer comment la structure organisationnelle peut influencer (positivement ou négativement) la façon de traiter les dossiers et les résultats qui en découlent. [Auteurs]
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Les sinusites maxillaires sont des infections fréquentes de la sphère ORL. On retrouve une étiologie dentaire dans environ 10% des cas. L'extension des infections dentaires dans le sinus maxillaire est possible en raison de la proximité des racines des dents postérieures avec le bas fond sinusien. Une source odontogène doit être suspectée chez les patients ayant une anamnèse de douleur ou d'infection dentaires, de soins dentaires récents et qui présentent une sinusite unilatérale prolongée ou résistant à un traitement conservateur habituel. Les infections d'origine dentaire possèdent une flore bactérienne mixte. Le diagnostic et la prise en charge nécessitent un bilan radiologique précis. Le traitement doit prendre en charge conjointement la cause dentaire et la sinusite. Un geste chirurgical peut être indiqué dans un deuxième temps afin de restaurer la fonction sinusienne. Maxillary sinusitis are common infections. A dental origin is found in about 10% of the cases. The roots of the posterior maxillary teeth are adjacent to the sinus floor. Extensions of dental infections are therefore possible to the sinus. An odontogenic source should be considered in patients with a history of dental pain or recent oral surgery and those with extended unilateral sinusitis or unilateral sinusitis resistant to conventional treatment. Maxillary sinusitis of dental origin are polymicrobial infections. Conventional radiographs and CT-scans are required for the diagnosis and proper management. Dental treatments to remove the underlying cause combined with oral antibiotics to treat the infection are required. Endoscopic or open surgery may be necessary to complete the treatment and restore adequate sinusal function.