26 resultados para Condorcet, Marie Jean Antoine Nicolas de Caritat, Marquês de, 1743-1794
Resumo:
Aims: To evaluate the effectiveness and safety of Posterior Sub-Tenon (PST) Triamcinolone Acetonide (TA) injection for persistent macular oedema associated with non-ischemic Central Retinal Vein Occlusion (CRVO) or Branch Retinal Vein Occlusion (BRVO) in non-vitrectomized eye. Methods: Fourteen consecutive eyes of 14 patients characterized by macular oedema lasting more than 3 months and with a visual acuity of less than 20/40 were enrolled. Six eyes presented with BRVO, 8 eyes with CRVO. PST injection of 40 mg TA was performed in topical anaesthesia. All patients were phakic, and followed for at least 6 months. Snellen visual acuity converted to LogMAR units and anatomic responses were evaluated before, and at 1, 3, 6, and 12 (if required) months after injections and re-injection considered. Results: In the BRVO group, mean foveal thickness was 548.2±49.50 μm preoperatively, and 452.8±56.2 μm and 280.8±62.5 μm at 1 and 12 month follow-up, respectively. Statistical analysis showed significant differences between preoperative and postoperative measurements (P<.05, paired t test) 3 months after injections. Improvement of visual acuity by at least 0.2 LogMAR was seen in 3(50%) of the 6 eyes. No re-injection was needed. In the CRVO group, mean foveal thickness was 543.7±34.4 μm preoperatively, and 283.0±29.0 μm and 234.8±23.6 μm at 1 and 12 month follow-up, respectively. Statistical analysis showed significant differences between preoperative and postoperative measurements (P<.05, paired t test). Improvement of visual acuity by at least 0.2 LogMAR was seen in 7 eyes (88%). Mean number of re-injection was of 2.1±0.3. Intraocular pressure elevation of 22 mm Hg or higher was found in 2/14 eyes (14%). Cataract progression was noted in 5/14 eyes (36%). Conclusions: PST injection of TA appears to be as safe and effective treatment for chronic macular oedema associated due to both non-ischemic BRVO or CRVO, with a better efficacy in BRVO.
Resumo:
(Résumé de l'ouvrage) Les textes recueillis dans ces deux volumes sont des apocryphes, ce qui signifie qu'en dépit d'un contenu comparable à celui des Écritures ils n'appartiennent pas au canon. En effet, soit ils s'écartent de la doctrine officielle de l'Église en véhiculant des idées hétérodoxes, soit ils font trop appel au merveilleux, aspect dont l'Église s'est toujours méfiée. Mais rappelons que le canon des Écritures n'a pas été fixé tout de suite, son histoire court jusqu'à la quatrième session du Concile de Trente (1546). Ajoutons aussi qu'il y a toujours désaccord en la matière entre l'Église catholique et les Églises protestantes pour certains livres. Les textes réunis dans le premier tome relèvent de l'Antiquité chrétienne et recoupent différents genres bibliques : évangiles (auquel il convient d'adjoindre des écrits relatant la vie et la dormition de Marie, mère de Jésus), épîtres, Actes des apôtres, apocalypses (sur les derniers temps et l'au-delà). Ces pièces sont précieuses. Elles permettent une connaissance plus approfondie des premiers temps de l'Église et la compréhension de traditions - dans le domaine de la piété, de la liturgie ou de l'art - dont nous n'avons pas trace dans les textes canoniques. Les textes réunis dans le second tome sont, dans leur majorité, plus tardifs. Ce volume accorde, d'autre part, une place plus grande que le premier à des livres qui circulèrent dans des aires religieuses et linguistiques autres que le monde byzantin et l'Occident latin ; les traditions copte, arabe, éthiopienne, arménienne y sont bien représentées. Pour la plupart, ces écrits n'avaient encore jamais été publiés en langue française. Les écrits chrétiens que l'on dit « apocryphes » n'ont cessé d'être diffusés, récrits, adaptés. Ils furent le terreau de l'imaginaire chrétien, et une source d'inspiration pour les sculpteurs, les peintres, les écrivains, les musiciens et les cinéastes : le Bunuel de La Voie lactée se souvient des Actes de Jean. C'est que, face au discours régnant, institutionnel, ces textes ouvrent un espace à l'imagination. Ils se développent en quelque sorte dans les interstices des livres canoniques. Ils comblent des vides, inscrivent une parole dans les silences, donnent une voix aux personnages muets, un nom et un visage à ceux qui n'étaient que des ombres. Comme toute littérature, ils rusent avec le discours clos.
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(Résumé de l'ouvrage) Les textes recueillis dans ces deux volumes sont des apocryphes, ce qui signifie qu'en dépit d'un contenu comparable à celui des Écritures ils n'appartiennent pas au canon. En effet, soit ils s'écartent de la doctrine officielle de l'Église en véhiculant des idées hétérodoxes, soit ils font trop appel au merveilleux, aspect dont l'Église s'est toujours méfiée. Mais rappelons que le canon des Écritures n'a pas été fixé tout de suite, son histoire court jusqu'à la quatrième session du Concile de Trente (1546). Ajoutons aussi qu'il y a toujours désaccord en la matière entre l'Église catholique et les Églises protestantes pour certains livres. Les textes réunis dans le premier tome relèvent de l'Antiquité chrétienne et recoupent différents genres bibliques : évangiles (auquel il convient d'adjoindre des écrits relatant la vie et la dormition de Marie, mère de Jésus), épîtres, Actes des apôtres, apocalypses (sur les derniers temps et l'au-delà). Ces pièces sont précieuses. Elles permettent une connaissance plus approfondie des premiers temps de l'Église et la compréhension de traditions - dans le domaine de la piété, de la liturgie ou de l'art - dont nous n'avons pas trace dans les textes canoniques. Les textes réunis dans le second tome sont, dans leur majorité, plus tardifs. Ce volume accorde, d'autre part, une place plus grande que le premier à des livres qui circulèrent dans des aires religieuses et linguistiques autres que le monde byzantin et l'Occident latin ; les traditions copte, arabe, éthiopienne, arménienne y sont bien représentées. Pour la plupart, ces écrits n'avaient encore jamais été publiés en langue française. Les écrits chrétiens que l'on dit « apocryphes » n'ont cessé d'être diffusés, récrits, adaptés. Ils furent le terreau de l'imaginaire chrétien, et une source d'inspiration pour les sculpteurs, les peintres, les écrivains, les musiciens et les cinéastes : le Bunuel de La Voie lactée se souvient des Actes de Jean. C'est que, face au discours régnant, institutionnel, ces textes ouvrent un espace à l'imagination. Ils se développent en quelque sorte dans les interstices des livres canoniques. Ils comblent des vides, inscrivent une parole dans les silences, donnent une voix aux personnages muets, un nom et un visage à ceux qui n'étaient que des ombres. Comme toute littérature, ils rusent avec le discours clos.