6 resultados para Langue française
em Consorci de Serveis Universitaris de Catalunya (CSUC), Spain
Resumo:
La police est « une administration, une force publique qui veille au maintien de la sécurité publique» . De la même manière la Loi organique des forces et corps de sécurité espagnole, rappelle que toute force portant le nom de police se doit d’avoir pour fonction principale « le maintien de la sécurité publique ». Ainsi, France et Espagne partagent la même vision de la police. De même la définition de la « Coopération », « action de participer à une œuvre commune, politique d’entente et d’échanges entre deux États » ou encore la définition de la Coopération internationale, « politique d’aide économique, technique et financière des pays développés en faveur des pays en développement » sont admises par tous les pays. Néanmoins la façon de coopérer est propre à chaque pays, et dans le cas de la coopération policière, à chaque corps de police. Certains font plus de la coordination (« harmonisation d’activités diverses dans un souci d’efficacité ») d’autres considèrent qu’ils font plutôt de la collaboration (« participer à une œuvre avec d’autres »). En réalité, ces trois termes, coordination, coopération et collaboration, sont tellement proches qu’il est parfois difficile de les distinguer, surtout les deux derniers. En effet pour définir une collaboration on dit aussi que c’est « une politique de coopération active avec l’occupant ennemi ». On comprend alors que Sanchez Moron estime que la collaboration et la coopération sont des « sous-espèces » du concept général de coordination qu’ils font plutôt de la collaboration (« participer à une œuvre avec d’autres »). En réalité, ces trois termes, coordination, coopération et collaboration, sont tellement proches qu’il est parfois difficile de les distinguer, surtout les deux derniers. Dès lors, traiter de la coopération policière internationale peut s’avérer complexe, car il est difficile d’établir des limites au sujet, de définir ce qui est ou non de la coopération policière internationale. Cela est d’autant plus difficile que les sources documentaires sur la coopération policière, bien qu’existantes, ne sont pas toutes de première jeunesse. Et concernant la place et le rôle de l’Espagne dans celle-ci les sources documentaires sont réduites à un très faible nombre, et sont inexistantes sur les Mossos d’Esquadra. Par ailleurs, sans même se spécialiser dans la coopération internationale, les recherches parues sur les Mossos d’Esquadra sont très peu nombreuses, très rarement de moins de vingt ans et encore plus difficile à trouver en langue française. Michel DAUGE écrivait dans l’introduction de sa recherche sur les Mossos d’Esquadra, : « Les polices autonomes espagnoles, que ce soit la catalane, et dans une moindre mesure la basque, si elles constituent un domaine peu exploré en Espagne (sujet tabou que la classe politique évite d’aborder) demeurent totalement méconnues en France.
Resumo:
En este trabajo académico se realiza una descripción teórica de la metodología de búsqueda de equivalentes en el ámbito del esquí cross, fruto de la colaboración con la Office Québécoise de la Langue Française y el IULA. Asimismo, se detallan y ejemplifican los problemas que surgieron durante el proceso. Finalmente, se incluye una reflexión teórica sobre la relación de la terminología con los estudios de Traducción e Interpretación.
La Géographie française et le risque d'inondation: de la géographie physique à la géographie humaine
Resumo:
Les inondations, comme tous les risques naturels, ont été un thème qui est revenu souvent au long de l'histoire de la géographie française, mais toujours — et contrairement à ce qui se passe dans la géographie anglo-saxonne —, en relation à la géographie physique. Dans cet article, nous voulons expliquer les raisons de la présence de la géographie physique dans le traitement du risque d'inondation : nous mettons en relation les différents moments de la géographie française avec l'analyse du risque d'inondation et révisons le contenu des références aux inondations entre les géographes ou écoles géographiques les plus représentatifs
Resumo:
La novelista y cineasta Assia Djebar (seudónimo de Fatima-Zohra Imalayène, nacida en Cherchell, Argelia, en 1936) fue elegida por los miembros de la Académie Française el 16 de junio de 2005 para formar parte de esta prestigiosa institución. Djebar, en tanto que mujer, engrosa la magra cuota de féminas en la Académie, que alcanza con ella un raquítico 10% (Djebar es la cuarta mujer, frente a 36 hombres). Sin embargo, lo más novedoso de su incorporación a la Académie Française no es su sexo sino su origen argelino. Francia ha mantenido y todavía mantiene una relación de amor y odio con su ex-colonia más afrancesada y más rebelde (la guerra de la independencia argelina duró casi diez años y costó miles de vidas). Los argelinos, por su parte, comparten esa fascinación y ese rechazo ¿comprensible: la guerra terminó hace tan sólo cuatro décadas y muchos de sus supervivientes todavía siguen vivos¿ hacia su ex-metrópolis, que en el plano cultural continúa ejerciendo una influencia innegable. La prueba de este sentimiento ambiguo es la reacción de la intelectualidad argelina al reconocimiento de la obra de Djebar que significa su elección para ingresar en la Académie: después de ignorarla e incluso despreciarla, el país se enorgullece de su hija predilecta y se apropia de su triunfo y, al mismo tiempo, lo desproporcionado de su reacción la asimila a la del alumno aplicado felicitado por su maestro.
Resumo:
La novelista y cineasta Assia Djebar (seudónimo de Fatima-Zohra Imalayène, nacida en Cherchell, Argelia, en 1936) fue elegida por los miembros de la Académie Française el 16 de junio de 2005 para formar parte de esta prestigiosa institución. Djebar, en tanto que mujer, engrosa la magra cuota de féminas en la Académie, que alcanza con ella un raquítico 10% (Djebar es la cuarta mujer, frente a 36 hombres). Sin embargo, lo más novedoso de su incorporación a la Académie Française no es su sexo sino su origen argelino. Francia ha mantenido y todavía mantiene una relación de amor y odio con su ex-colonia más afrancesada y más rebelde (la guerra de la independencia argelina duró casi diez años y costó miles de vidas). Los argelinos, por su parte, comparten esa fascinación y ese rechazo ¿comprensible: la guerra terminó hace tan sólo cuatro décadas y muchos de sus supervivientes todavía siguen vivos¿ hacia su ex-metrópolis, que en el plano cultural continúa ejerciendo una influencia innegable. La prueba de este sentimiento ambiguo es la reacción de la intelectualidad argelina al reconocimiento de la obra de Djebar que significa su elección para ingresar en la Académie: después de ignorarla e incluso despreciarla, el país se enorgullece de su hija predilecta y se apropia de su triunfo y, al mismo tiempo, lo desproporcionado de su reacción la asimila a la del alumno aplicado felicitado por su maestro.
Resumo:
Julià-Bernat Alart (1824 – 1880, Vinçà) fou un arxiver, historiador i filòleg rossellonès de primer ordre. Entre molts treballs que va dur a terme, hem volgut treure a la llum uns primers resultats sobre l’inèdit Essai de dictionnaire historique de la langue catalane. Es tracta d’un recull de 14.639 cèdules lexicogràfiques que consten d’una paraula catalana amb una o més documentacions antigues. Gràcies a aquest material, hem pogut demostrar que l’Essai aporta nova informació lingüística i històrica que no recullen cap dels dos diccionaris històrics de referència del català ―el DCVB i el DECat―, com ara nous lemes o atestacions primerenques