2 resultados para Paródia

em Instituto Politécnico do Porto, Portugal


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Diderot est davantage un humaniste et un non-conformiste qui se préoccupe beaucoup de la stabilité et du confort de l‘existence humaine. Il croit que l‘homme est né pour vivre en société et qu‘il doit être heureux. Toute cette philosophie ressort de ses oeuvres dont l‘objectif est celui d‘aider les hommes à atteindre le bonheur: il s‘agit donc d‘une littérature engagée. La verve satirique de Diderot est le fil directeur d‘une oeuvre variée et diverse qui risque de décourager le lecteur paresseux. L‘élément satirique rassemble les articles de L‟Encyclopédie, les Salons et les oeuvres fictives de Diderot, comme par exemple, Le Neveu de Rameau, Jacques le Fataliste et son Maître et La Religieuse. Bien que L‟Encyclopédie soit une entreprise scientifique, Diderot cache, dans plusieurs articles, pour tromper la censure, des attaques virulentes contre la morale, la religion et ses institutions. Il critique aussi les superstitions et les croyances don‘t s‘entourent les religions. Dans les Salons, Diderot rédige des appréciations sur les tableaux de quelques peintres, parus dans plusieurs expositions. Mais Diderot ne les décrit pas en tant que technicien, il s‘en sert pour faire une parodie de ces peintures, utilisant très souvent un langage grossier et un style gaillard. La satire est le lien entre la non-fiction et la fiction. Dans ses oeuvres romanesques on trouve la satire sociale et littéraire : Diderot y met en question le genre romanesque traditionnel, par conséquent Le Neveu de Rameau, Jacques le Fataliste et son Maître et La Religieuse se caractérisent par un décousu apparent et désordonné – c‘est la forme amusante dont Diderot se sert pour révéler aux lecteurs que les romans traditionnels les trompent. La forme désorganisée sert aussi à montrer le manque de liberté dont l‘homme jouit – l‘homme n‘est qu‘un guignol manipulé par le destin. En effet, en « déconstruisant » le roman, Diderot oblige le lecteur à réfléchir sur la condition humaine et l‘illusion romanesque de telle façon que le lecteur ne sait plus ce qui est faux et ce qui est vrai, surtout dans le cas de La Religieuse.

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A tragicomédia Play Strindberg1 do autor suíço Friedrich Dürrenmatt já foi representada em Portugal por quatro vezes (1972, 1990, 2008 e 2015). Apesar de se tratar de uma peça com mais de cem anos na sua versão original do sueco August Strindberg, o número de vezes que o texto já subiu aos palcos portugueses suscita alguma curiosidade. Mas voltando cronologicamente um pouco atrás, sabemos que Dürrenmatt assiste, pela primeira vez, à representação da peça Dödsdansen (1900) [A Dança da Morte] de August Strindberg em 1948, em Basileia. No entanto, é apenas em 1968 que lê a peça e é a partir de Novembro desse mesmo ano que começa a escrever a sua versão (“Umarbeitung” [Refazer]2): Play Strindberg: Totentanz nach August Strindberg [Play Strindberg: A Dança da Morte segundo August Strindberg]3. A peça estreou no Basler Theater (Suíça) a 8 de Fevereiro de 1969 e é uma paródia à tragédia original de Strindberg, transformada numa tragicomédia, tão típica deste dramaturgo suíço. Do texto originário mantém apenas a estrutura base, como o próprio Dürrenmatt confirma: