5 resultados para LACUNY Dialogues
em Instituto Politécnico do Porto, Portugal
Resumo:
Dans Fin de partie, Beckett se révèle de nouveau un maître du théâtre de l’âme, mais d’une façon pas du tout conventionnelle. On doit classer cette pièce dans l’antithéâtre parce qu’elle manque d’intrigue, il n’y a que de situations cycliques toujours répétées, le temps ne veut pas passer, c’est plutôt un moment éternel, les personnages manquent de consistance et d’individualité : ils sont davantage des incarnations d’attitudes humaines, et ils parlent un langage décousu, un bourdonnement dépourvu de sens. Bien que tous ces aspects contribuent à l’ambiguïté de la pièce, rien n’y est laissé au hasard : tout sert à communiquer l’incommunicable. La scène se passe dans un lieu clos, avec une lumière crépusculaire qui suggère la fin du jour. Les personnages et les objets se trouvent dans des poubelles (Nagg et Nell) ou couverts par des draps : peu à peu, les objets et les personnages se dévoilent d’une façon fragmentée. C’est Clov qui nous dit qu’il s’agit de la fin de quelque chose, mais déjà le décor, la lumière, la déchéance physique des personnages et les dialogues à peine esquissés suggèrent un stage final qui n’en finit plus, qui devient un moment éternel, car la mort, elle non plus, ne se présente pas comme une solution pour le problème de notre existence absurde. Et nous voilà de nouveau face à face avec l’absurdité de la condition humaine, où l’homme se sent privé de toute certitude et incapable de découvrir un sens à son existence. Le tragique de la condition humaine, et le désir de lui mettre fin est le fil conducteur de Fin de partie. Les personnages montrent tout au long de la pièce que la condition humaine est intolérable et qu’ils sont écrasés par la routine et l’ennui. Ils se sentent perdus et abandonnés par un dieu quiconque, un monstre qui a créé la nature humaine. La vie est une pile de moments infernaux ; tout le monde est dans l’attente de quelqu’un ou d’un événement qui puisse changer son cours. Mais rien ne change, les personnages sont trop passifs – Clov se prépare pour son voyage, cependant, au lieu de partir, il reste là, immobile, jusqu’à la fin. Mais c’est juste pour ce danger que Beckett veut nous alerter : si nous ne faisons pas usage de notre liberté en nous recréant par une succession de choix, nous serons damnés, c’est-à-dire, condamnés à vivre dans le désespoir, le néant, l’absurde – la vie sera toujours un infini recommencement de rien.
Resumo:
O texto expressa uma reflexão sobre a obra Triste Fim de Policarmo Quaresma, escrita em 1915, por Lima Barreto, escritor realista, brasileiro. Busca identificar nas narrativas e ações do seu narrador, um homem comum, as revoltas, mas também as esperanças dos homens comuns no recém criado regime republicano. Enfoca ainda que, apesar dos episódios narrados, dos personagens serem construções ficcionais do autor, nos remetem a personagens, diálogos e espaços do Rio de Janeiro que evocam a historia de um regime ditatorial de Floriano Peixoto, no alvorecer da Republica. Nesse regime, mostra o autor, que a insegurança, a insatisfação e o medo tomaram conta da população do Rio de Janeiro no começo do século XX. E Policarpo Quaresma, o personagem narrador da obra, sofrera as injustiças e arbitrariedades da ditadura do Marechal Floriano Peixoto. Diante disso, revela sua dor e plena desolação com a Republica, forma de governo pelo qual lutara e que ajudara a criar. Por fim, o texto procura mostrar que embora a literatura seja tecida com adornos da ficção, ela traduz a sociedade e o tempo no qual ela foi produzida, além de mostrar que o positivismo sustentava a pratica política da Republica brasileira.
Resumo:
Mestrado em Ensino Precoce do Inglês
Resumo:
This essay aims to confront the literary text Wuthering Heights by Emily Brontë with five of its screen adaptations and Portuguese subtitles. Owing to the scope of the study, it will necessarily afford merely a bird‘s eye view of the issues and serve as a starting point for further research. Accordingly, the following questions are used as guidelines: What transformations occur in the process of adapting the original text to the screen? Do subtitles update the film dialogues to the target audience‘s cultural and linguistic context? Are subtitles influenced more by oral speech than by written literary discourse? Shouldn‘t subtitles in fact reflect the poetic function prevalent in screen adaptations of literary texts? Rather than attempt to answer these questions, we focus on the objects as phenomena. Our interdisciplinary undertaking clearly involves a semio-pragmatic stance, at this stage trying to avoid theoretical backdrops that may affect our apprehension of the objects as to their qualities, singularities, and conventional traits, based on Lucia Santaella‘s interpretation of Charles S. Peirce‘s phaneroscopy. From an empirical standpoint, we gather features and describe peculiarities, under the presumption that there are substrata in subtitling that point or should point to the literary source text, albeit through the mediation of a film script and a particular cinematic style. Therefore, we consider how the subtitling process may be influenced by the literary intertext, the idiosyncrasies of a particular film adaptation, as well as the socio-cultural context of the subtitler and target audience. First, we isolate one of the novel‘s most poignant scenes – ‗I am Heathcliff‘ – taking into account its symbolic play and significance in relation to character and plot construction. Secondly, we study American, English, French, and Mexican adaptations of the excerpt into film in terms of intersemiotic transformations. Then we analyze differences between the film dialogues and their Portuguese subtitles.
Resumo:
Dissertação de Mestrado apresentada ao Instituto de Contabilidade e Administração do Porto para a obtenção do grau de Mestre em Tradução e Interpretação Especializadas, sob orientação do Doutor Manuel Moreira da Silva Esta versão não contém as críticas e sugestões dos elementos do júri