4 resultados para Vide
em ReCiL - Repositório Científico Lusófona - Grupo Lusófona, Portugal
Resumo:
Le silence est une composante fondamentale de la création artistique, aussi bien dans le domaine musical qu’au cinéma. La notion de silence atteint toutefois un espace limite dans le domaine littéraire, comme le note Gilles Deleuze en évoquant le « silence dans les mots », la « limite asyntaxique » qui n’est pas « extérieure au langage » dans la poésie d’Antonin Artaud ; cette même notion devenant plus problématique encore dans le domaine de l’autobiographie, traditionnellement informative. Nous posons tout d’abord la question de savoir comment l’auteur, se racontant lui-même, sa vie, son parcours, peut choisir de ne donner à lire qu’un silence plus ou moins long, et sembler ainsi renoncer à sa tâche, pour ensuite étudier le poème « Agrippa—A Book of the Dead » (1992) de l’écrivain américain William Gibson (né en 1948). Inspiré par la découverte d’un album de photos appartenant à son père, l’auteur y évoque les souvenirs de son enfance en Virginie. La singularité d’« Agrippa » réside surtout dans les mécanismes mis en oeuvre lors de sa lecture : à l’origine seulement disponible sur disquette, un programme d’ « encryption » ou « bombe logique » efface le texte au fur et à mesure que l’ordinateur le déchiffre, afin de n’être lu qu’une fois seulement, laissant la place au vide, au silence. Nous proposons ici d’étudier le poème « Agrippa » en démontrant comment la disparition progressive du texte a, dans le travail d’écriture de Gibson, une portée originale. L’objectif de l’étude est de montrer que Gibson se sert du poème pour proposer une révolution littéraire où l’art « quitte le cadre », où « le mot écrit quitte la page » de façon concrète et effective pour soumettre au lecteur un questionnement, esthétique, philosophique, voire théologique fécond – Maurice Blanchot arguant que Dieu communique « seulement par son silence ».
Resumo:
Em sintonia com o espírito do sapere aude kantiano (ouse ou atreva-se a saber), mas tendo em Nietzsche e Heidegger a ausência de um centro absoluto ou o lieu vide que o iluminismo foi incapaz de domesticar, reconhecer e incarnar, este breve texto procura explicar o regresso do religioso, o seu significado e algumas das suas mais imediatas implicações políticas, sócio-económicas e teológicas, depois que este começou a ser debatido há cerca de duas décadas em Capri (Itália), e com uma constante referência ao pensamento de Michel Foucault, Jacques Derrida, e a alguns dos seus mais importante intérpretes, nestas áreas, como John D. Caputo, Jeremy Carrette e outros. Sem poder negar ou afirmar a possibilidade de Deus, o artigo sugere uma nova forma de conceber e de corporizar uma relação pós-moderna entre o humano e o divino, livre de qualquer dualismo, e manifesta numa constante afirmação e subversão de nós mesmos, pela prática do diálogo livre e aberto com o tout autre em cada rosto.
Resumo:
1. Beneficencia y Estado Social. Prestaciones sociales y cargas familiares. 2. Atención prestada por uno mismo a sus propias necesidades. 3. Alimentos resultantes de diversas instituciones. 4. Matrimonio, alimentos y pensiones compensatorias. 5. Liberalidades de uso y donaciones. 6. La obligación legal de alimentos entre parientes; alimentos y auxilios necesarios para la vida. 7. Alimentantes, orden establecido para ellos y pluralidad de los mismos. 8. Modo de prestar los alimentos. 9. Montante, modificación y extinción de la obligación alimenticia. 10. Los alimentos y el impuesto sobre la renta. 11. A modo de epílogo. Alimentos, limosnas y obras de misericordia.