From architecturology to architecturological research

This paper presents a genesis of the French research field of Architecturology, from its creation to the current researches developed from it, at ARIAM-LAREA (National School of Architecture of Paris-la-Villette Laboratory of modeling for computer aids of cognitive activity of conception). Architecturology has been thought at the creation of French Schools of Architecture that has been initiated with the French movement of 1968 May. Its major aim is to build specific knowledge on architecture for learning architecture. The first book of the beginnings of this scientific field is “Sur l’espace architectural” written by Ph. Boudon and published in 1971. It’s currently constituted with a scientific systemic language and a paradigm that help to explain cognitive activity of design named by it, conception. This scientific language has been published in “Enseigner la conception architecturale: cours d’architecturologie” written by Ph. Boudon, Ph. Deshayes, F. Pousin and F. Shatz, and published in 1994 and in 2000, in “Echelle(s)” published in 2002 and which gathers different articles of Ph. Boudon and, in different articles of the team of LAREA - Ph. Boudon, Ph. Deshayes, F. Pousin, F. Shatz and C. Lecourtois. From this scientific language and the paradigm of Architecturology, I develop methods for extending the field of knowledge of this point of view by doing researches in architecture. These methods are gathered into the concept of Applied Architecturology. In 2005, LAREA has merged with a research team interested in Computer Aided Design, named ARIAM. To create ARIAM-LAREA, we have built a new research program on Computer Aided Conception where we use Applied Architecturology for 1) producing new knowledge on implications of Computer in cognitive activity of design and 2) developing new software to Support some operations of conception. This paper exposes my current research work and three theses that I co-lead at ARIAMLAREA on this object.

Le changement et les institutions culturelles et muséologiques : L’ICOM et le changement

Je remercie Raul Mendez Lugo, le Président de MINOM et Alfredo Tinoco, le Président de MINOM-Portugal… Mesdames et messieurs, amis et collègues, c’est un honneur de représenter le Conseil international des musées aujourd’hui ici à Lisbonne pour l’ouverture d’un atelier qui promet d’être fructueux et instructif de tous les points de vue, notamment en nous esquissant les grandes lignes d’actions à mener en plus étroite collaboration. Parmi les musées que les participants à cet atelier pourraient visiter dimanche, nous prenons note du “Museu nacional do azulejo” et de l’écomusée “Ecomuseu do Seixal”. D’une part, un musée national présente à un public international une forme d’artisanat traditionnel et mondialement connu par des moyens muséologiques contemporains et d’autre part une communauté qui a fondé et qui gère l’écomusée s’attache à son patrimoine au sein de son territoire.

Projet d’un musée de la vie quotidienne dans la région de Tataouine

Il s’agit dans ce projet de présenter quelques repères préliminaires pour la création d’un musée de la vie quotidienne dans la région de Tataouine au sud est-tunisien. L’objectif de notre investigation s’appuie sur quelques composantes du programme écomuséale et la muséologie sociale, dont les concepts, du développement global/patrimoine durable/écologie/tourisme culturel, s’avèrent indispensables pour « relire » cet héritage « vernaculaire ». La question du patrimoine se situant ainsi dans un champs pluridimensionnel, et rejoint la problématique territoriale/spatiale dans ses principaux termes : sauvegarde, mise en valeur et développement.

Série d'essais consacrés à la typologie elle-même du renouvellement muséologique, une première tentative, nuancée depuis, reproduite dans "documents pour discussion" (rencontre de santa cruz de rio, septembre 2004)

....est l’expression d’une communauté humaine, laquelle se caractérise par le partage d’un territoire, d’une culture vivante, de modes de vie et d’activités communes...Il est enfin un outil dynamique du développement de cette communauté, dont le mat´riau principal est le patrimoine au sens le plus large... (Hugues de Varine, Les Racines du futur, 2002). «Celui qui rassemble, autour d’activités culturelles et muséales, des personnes de la communauté, suffisament représentatives, désireuss de réfléchir, par une démarche démocratique (l’action communautaire) orientée vers l’action, sur l’identité collective, sur les problèmes d’épanouissement collectif, sur la recherche de pistes de solution fondées sur l’esprit coopératif (P.Mayrand).