6 resultados para L’ordre juridique Santoméen
em ReCiL - Repositório Científico Lusófona - Grupo Lusófona, Portugal
Resumo:
A mundialização ou globalização tende a fixar as regras jurídicas transnacionais mas deixa subsistir os sistemas de direito nacionais. O autor interroga-se sobre o contributo de uma globalização americanizada e a profissão de tradutor.
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Certaines idées reçues sur l’intraduisibilité entraînent généralement une vision défaitiste chez les étudiants pendant leur formation. L’article propose de s’interroger sur quelques-uns de ces clichés qui seraient de l’ordre du préjugé, afin de réactiver tous les potentiels de l’activité traduisante.
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Les concepts, les notions, les langages qui en découlent, sont intimement lies aux systèmes et aux contextes qui alimentent la forme et la vie du musée. Depuis que la question se pose, où va la muséologie qui a emprunté la voie du changement dans les années 70, 80 et 90, une réflexion sur les principaux vecteurs de transformation de l’institution dex fois séculaire s’impose. Bien que la plupart des musées et de ses dérivatifs (60%) possédant une crédibilité dans le monde occidental , malgré les réformes de modernisation introduites ( attention aux publics, presentation améliorée ) demeurent attachés à la tradition qui en determine l’image, on peut affirmer, sans se tromper, qu’un pan considerable de la muséologie de la période post-moderne (20% en terme de volume d’activité ) est à peine reconnaissable, si on se réfère à la periode antérieure à la deuxième moitié du 20ème siècle. Le concept de MUSEE, dans deux champs antagonistes ou complémentaires, selon l’angle d’analyse, soit la muséologie entrée de plein pied dans les industries culturelles de l ‘ère des communications, et la muséologie (ou l’anti-musée) ayant adopté le parti-pris de l’intervention sociale, véhicules de systèmes idéologiques et organisationnels rompant radicalement avec un passé recent, se partageant entre la mondialisation globalisante et les aspirations du mouvement alter-mondialiste puissant dans la tradition associative. Tributaires d’une part des luttes libératrices (60/70), de la contestation des valeurs, d’autre part des technologies (80/90), de la globalisation (90. ), ces musólogies ( systéme binaire ) prennent la vedette à l’aide de changements irréversibles dans l’ordre des functions du musée.
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Le thème proposé “ Musées et Société “ n’est pas nouveau. Il a déjà été traité ad noseam en d’innombrables circonstances, sauf, peut-être, sous l’angle explicite de l’engagement :Quelles actions ? L’ambition de “ saisir la mudance “ répond à une nécessité de tous les moments dans un monde où tout et rien évoluent à un rythme diabolique. Comment donc, dans ces circonstances, ajuster l’action du musée, une institution culturelle relativement lourde, si on la compare aux autres medias de communication, très attachée encore à ses traditions séculaires dont elle s’enorgueillit, soumise, par ailleurs aux changements qui bouleversent tous les aspects de son fonctionnement , voire de sa mission, fortement attirée qu’elle est par la société du spectacle, tentée, par ailleurs, d’y réagir en se rapprochant de la vie quotidienne des populations par l’action communautaire fondue dans le travail muséologique ? Le MINOM, dont la vocation est de questionner tout en agissant, est à la recherché du point de vue à partir duquel il peut interroger et agir. Quel est exactement son champ d’action, le dénominateur commun qui rassemble, mobilise, attire ses adhérents, issus de cultures, d’origines et d’idéologies diverses ? On a souvent campé l’organisation dans les alternatives, soit dans des positions qui puissant faire contrepoids aux systèmes dominants, étouffant la créativité, la maîtrise d’oeuvre individuelle: La liberté d’être et d’exprimer par soi-même. Serait-ce donc que, globalement, le MINOM aurait rejoint, sans tout à fait s’en rendre compte, la plateforme altermondiste, dans tout ce qu’elle représente d’expérimentations sociaux et d’utopies, d’ un nouvel humanisme fondé sur le partage, le dialogue ? Le XIIe Atelier devrait nous amener à préciser, par l´échange et la prospectrice (ambition partagée par le dernier Atelier ) , là où nous nous situons, comme groupe ( noyau central et périphérique ) à l’intérieur de la mouvance, à l’échelle locale et mondiale. Les actions les plus appropriées pour traduire, dans le cadre de l’action muséologique nos représentations de l’être humain se débattant à ‘intérieur de la biosphère, seront nécessairement, il faut l’espérer, à l’ordre du jour de nos résolutions. Le MUSÉE – FORUM –SOCIAL ns serait-il pas, en fin de compte, le modèle à partager, dans les prochaines années, par l’ensemble de la communauté Minomienne? Lieu d’appropriation continue de la mouvance, il est, croyons-nous, le laboratoire de l’expérimentation citoyenne, un lieu de représentations interdisciplinaires résultant de la convivialité et des interactions globales des inter-changes sociétaires.
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a gestation du mouvement, étendue sur une période cruciale de treize années environ (l972, Santiago et l’Ecomusée – 1985, fondation du Mouvement, à Lisbonne) s’est inscrite au coeur du changement des sociétés, de la rénovation du discours muséologique, qu’il fut de droite ou de gauche, dans la transformation radicale du musée, entré dans l’ère des communications, fut il communautaire ou spectaculaire. Le Mouvement véhicule dès lors, la contestation de l’ordre établi, cherchant à l’ enrichir de nouvelles propositions, notamment sur le plan social, éducatif et politique, sous-entendant l’entièreté de ses interventions. Bien qu’il ne prétende pas se présenter comme un front unitaire, mais tributaire des multiples tendances progressistes qui s’y côtoient, s’y entrecroisent, s’y entrechoquent, le mouvement trouve en premier lieu sa meilleure expression, conciliatrice, dans le concept révolutionnaire de l’Ecomusée. L’Ècomuséologie, telle qu’entendue à son origine, reprenant à son compte les acquis de la vie démocratique et de la libération collective, refuse la contrainte de la règle, les cloisonnements imposés. Le musée est ainsi collectivisé.
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La gestation du mouvement, étendue sur une période cruciale de 13 années environ (l972, Santiago et l’Ecomusée l985, fondation du Mouvement, à Lisbonne ) s’est inscrite au coeur de la mudance des sociétés, de la rénovation du discours muséologique, qu’il fut de droite ou de gauche, dans la tranformation radicale du musée, entré dans l’ère des communications, fut il communautaire ou spectaculaire: Le Mouvement véhicule dès lors la contestation de l’ordre établi, cherchant à l’ enrichir de nouvelles propositions, notament sur le plan social, éducatif et politique sous entendant l’entièreté de ses interventions. Bien qu’il ne prétende pas se présenter comme un front unitaire, tributaire des multiples tendances progressistes qui s’y côtoient, s’y entrecroisent, s’y entrechoquent, le mouvement trouve en premier lieu sa meilleure expression, conciliatrice, dans le concept révolutionnaire de l’Ecomusée. L’écomuséologie, telle qu’entendue à son origine, reprenant à son compte les acquis de la vie démocratique et de la libération collective, refuse la contrainte de la règle, les cloisonnements imposés. Le musée est ainsi collectivisé. L’écomusée franchit plusieurs étapes, qualifiées de générations selon la recherche suivie de pratiques évolotives, poussant le principe de l’autonomie et de l’égalité dans ses retranchements les plus incisifs.