2 resultados para Région locomotrice du mésencéphale

em Universidad de Alicante


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La conservation des groupements à Pistacia atlantica dans la région de Béchar est actuellement menacée par une forte pression humaine et animale. Ce travail consiste à proposer une analyse phyto-écologique fine en se basant sur la dynamique de végétation et les inventaires floristiques. Les explications sont étayées par une analyse statistique (AFC) afin de mieux cerner les facteurs écologiques prépondérants. Nous savons très bien que Pistacia atlantica est une espèce d’avenir pour l’Algérie occidentale, son adaptation au stress écologique lui permet une dynamique et une remontée biologique certaine. Cette espèce peut vivre dans des endroits très secs, de 700 à 1200m d’altitude où la pluviométrie ne dépasse guère les 100 mm/an, avec une température maximale de 42°C et un quotient pluviothermique (Q2) supérieur à 7. La diversité floristique du groupement à Pistacia atlantica est très particulière du fait de sa caractérisation biologique, systématique et phytogéographique. Cet examen fait ressortir l’importance des espèces Saharienne-Endémiques grâce à une adaptation et une résistance plus favorables sous bioclimat typiquement saharien.

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On se propose, à travers cette étude de cartographier la végétation halo résistante et halophile de deux zones de l’Algérie occidentale l’une au Nord (région de Hammam Boughrara) et l’autre au Sud (région du Chott El-Gharbi). Une comparaison de ces deux zones d’un point de vue physionomique a été menée, afin de mettre en évidence la diversité phytoécologique de ces peuplements. Les données bioclimatiques montrent que les zones d’étude sont toutes deux caractérisées par une longue période de sécheresse estivale variant de 6 à 7 mois. D’un autre côté, l’approche édaphique montre une texture limono-sableuse à sableuse aussi bien au Nord qu’au Sud. Par contre la salinité est nettement plus accentuée au Sud atteignant 1350 μ.S/cm. La carte physionomique de la végétation de la zone nord fait apparaitre la dominance de formations pures à Tamarix gallica L. (27,13%) ou à Atriplex halimus L. (37,99%), et de formations en mosaïques, où les deux genres se trouvent mêlés (16,87%). Au niveau de la zone sud deux grandes unités physionomiques se distinguent: les groupements à Salsola vermiculata L. (24 %) et les groupements à Lygeum spartum L. (6 %). Les groupements à Artemisia herba– alba Asso. occupent par contre de petites surfaces (2 %) de qualité moyenne à médiocre. Les peuplements à Arthrocnemum glaucum (Del.) Ung. quant à eux, se répartissent tout autour de la daya du Chott El-Gharbi, où la salinité est à son maximum, en constituant un tapis végétal assez dense (1 %).