2 resultados para Lutte contre la pauvreté

em Universidad de Alicante


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La steppe algérienne est confrontée depuis plusieurs décennies à un problème de dégradation induit par l’effet combiné de facteurs anthropiques et naturels. Les résultats obtenus dans la lutte contre ce phénomène, malgré les moyens mobilisés, restent très mitigés et révèlent l’inefficacité des approches et méthodes adoptées. Toute action de préservation et de réhabilitation de la steppe doit reposer dans un premier temps sur un diagnostic permettant d’identifier et d’évaluer le poids de chaque facteur dégradant. Parmi les facteurs souvent soulignés on note le climat, le parcours, le défrichement et la pratique d’une agriculture pluviale sans une justification ni estimation de cet impact. Le diagnostic ciblant et classant les principaux facteurs de régression des formations steppique de Stipa tenacissima est l’objectif assigné à cette publication. La démarche retenue traitera de l’état des formations steppiques face aux pressions pour une identification des facteurs causaux de cette situation et une évaluation de leur impact futur.

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On se propose, à travers cette étude de cartographier la végétation halo résistante et halophile de deux zones de l’Algérie occidentale l’une au Nord (région de Hammam Boughrara) et l’autre au Sud (région du Chott El-Gharbi). Une comparaison de ces deux zones d’un point de vue physionomique a été menée, afin de mettre en évidence la diversité phytoécologique de ces peuplements. Les données bioclimatiques montrent que les zones d’étude sont toutes deux caractérisées par une longue période de sécheresse estivale variant de 6 à 7 mois. D’un autre côté, l’approche édaphique montre une texture limono-sableuse à sableuse aussi bien au Nord qu’au Sud. Par contre la salinité est nettement plus accentuée au Sud atteignant 1350 μ.S/cm. La carte physionomique de la végétation de la zone nord fait apparaitre la dominance de formations pures à Tamarix gallica L. (27,13%) ou à Atriplex halimus L. (37,99%), et de formations en mosaïques, où les deux genres se trouvent mêlés (16,87%). Au niveau de la zone sud deux grandes unités physionomiques se distinguent: les groupements à Salsola vermiculata L. (24 %) et les groupements à Lygeum spartum L. (6 %). Les groupements à Artemisia herba– alba Asso. occupent par contre de petites surfaces (2 %) de qualité moyenne à médiocre. Les peuplements à Arthrocnemum glaucum (Del.) Ung. quant à eux, se répartissent tout autour de la daya du Chott El-Gharbi, où la salinité est à son maximum, en constituant un tapis végétal assez dense (1 %).