4 resultados para Espèce monogame
em Universidad de Alicante
Resumo:
El gasterópodo marino Patella ferruginea se encuentra incluido en los Catálogos Español y Andaluz de Especies Amenazadas en la categoría “En peligro de extinción”. En 2008 fue aprobada la Estrategia de Conservación Nacional de la especie que establece la realización de un seguimiento de la población cada cuatro años. En Andalucía se ha realizado en 2010 el seguimiento de la especie empleando dos tipos de metodología: los “Controles de crecimiento”, mediante marcaje de ejemplares, y los “Censos exhaustivos” en “Tramos” de costa, para intentar detectar todos los individuos presentes. En el censo de 2010 se han muestreado unos 21 km de costa en 34 localidades, un 5% del litoral andaluz con presencia de la especie, lo que constituye un esfuerzo considerable, pero asumible para el control periódico de la misma. La densidad media detectada es muy baja, de 0,048 ind./m. El mayor número de individuos se encuentra en Cádiz y la población mejor estructurada en la isla de Alborán. Se estima que el tamaño actual de la población en Andalucía ronda los 1.800 ejemplares, lo que constituye un aumento con respecto a inventarios anteriores. Sin embargo, el contingente es muy reducido para garantizar la supervivencia de la especie. La categoría de protección propuesta por el Libro Rojo de los Invertebrados de Andalucía, “En peligro crítico” (MORENO y ARROYO, 2008), debe considerarse, por lo tanto, la más adecuada para la lapa ferruginosa siguiendo los criterios de valoración de la UICN (2001).
Resumo:
European fishery off Mauritania (one of the most productive and most intensively exploited regions in the world) targeted to small pelagic fish accounts for 30% of the total catches in the area. The Instituto Español de Oceanografía (IEO), through its Centro Oceanográfico de Canarias, follows up the activity of these vessels that land at Spanish port (Las Palmas de Gran Canaria, Spain), under the European Project Data Collection (Regulation (EC) 1543/2000). One of the target groups in this fishery is Trachurus spp, commercially named “JAX”. During 2008 and 2009, several samples of this group from these landings were analysed, and Caranx rhonchus was the second species of importance. The mixture of these species in the landings of this UE fleet should be determined to improve the data provided to the international Working Groups responsible for assessment of those resources.
Resumo:
La conservation des groupements à Pistacia atlantica dans la région de Béchar est actuellement menacée par une forte pression humaine et animale. Ce travail consiste à proposer une analyse phyto-écologique fine en se basant sur la dynamique de végétation et les inventaires floristiques. Les explications sont étayées par une analyse statistique (AFC) afin de mieux cerner les facteurs écologiques prépondérants. Nous savons très bien que Pistacia atlantica est une espèce d’avenir pour l’Algérie occidentale, son adaptation au stress écologique lui permet une dynamique et une remontée biologique certaine. Cette espèce peut vivre dans des endroits très secs, de 700 à 1200m d’altitude où la pluviométrie ne dépasse guère les 100 mm/an, avec une température maximale de 42°C et un quotient pluviothermique (Q2) supérieur à 7. La diversité floristique du groupement à Pistacia atlantica est très particulière du fait de sa caractérisation biologique, systématique et phytogéographique. Cet examen fait ressortir l’importance des espèces Saharienne-Endémiques grâce à une adaptation et une résistance plus favorables sous bioclimat typiquement saharien.
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La zone sur laquelle porte notre contribution est localisée dans le Nord-Ouest Algérien. Cette étude est consacrée à l’analyse de la diversité biologique et la dynamique des formations végétales des matorrals des versants sud des monts de Tlemcen. L’utilisation de la méthode aire-espèce de Braun Blanquet nous a permis de dégager une liste de 149 espèces à partir de 150 relevés fl oristiques effectués sur l’ensemble des stations d’étude. 4,69 % des espèces appartiennent aux for mations forestières et pré-forestières, avec une hauteur n’excédant pas 2 mètres; 13,42 % aux matorrals et 81,87 % aux pelouses. La conjugaison des facteurs de dégradation a entrainé une perturbation des écosystèmes locaux accompagnée d’une régression des aires de répartition de nombreux taxons. Deux facteurs majeurs peuvent être évoqués : – amplifi cation de l’impact humain lié à l’utilisation anarchique des écosystèmes (défrichement; coupe; surpâturages; bois de chauffe), – péjorations climatiques. L’analyse statistique des spectres biologiques nous a permis de mettre en évidence les modifications de la flore le long d’un gradient dynamique: forêt – pré forêt – matorral – pelouse. Plus des 3/4 des espèces recensées dans la zone d’étude appartiennent aux thérophytes et aux hemicryptophytes.