Participation and performance trends in 6-hour ultra-marathoners – a retrospective data analysis of worldwide participation from 1991-2010

Participation trends in 6-hour ultra-marathons held word-wide were investigated to gain basic demographic data on 6-hour ultra-marathoners and where these races took place. Participation trends and the association between nationality and race performance were investigated in all 6-hour races held worldwide between 1991 and 2010. Participation increased linearly in both women and men across years. The annual number of finishes was significantly higher in men than in women (P=0.013). The male-to-female ratio remained stable at ~4 since 1991. Runners in age group 45-49 years showed the largest increase in participation for both men (800 participants in 18 years) and women (208 participants in 16 years). Europe attracted most of the runners from other continents (166 runners), more than all other continents combined (55 runners). European runners also showed the best top ten performances (73±3 km for women and 77±11 km for men), while African (with 65±9 km for men) and South American (54±4 km for women and 65±2 km for men) runners showed the weakest. To summarize, participation in 6-hour ultra-marathons increased across years. Most of the development took place in Europe and in athletes in the age group 45-49 years. Europe also attracted the most diverse field of athletes with runners from all other continents. European runners accounted for the most runners and achieved the best top ten performances.

Investigación sobre el uso de los términos ración, porción, equivalencia, intercambio y medidas caseras en nutrición humana y dietética

Los docentes de diversas asignaturas de la titulación de Grado en Nutrición Humana y Dietética han detectado que existe una confusión entre los alumnos del Grado en cuanto al significado y uso de diversos términos usados en la preparación y valoración de dietas y menús. Estos términos son: ración, porción, equivalencia, intercambio y medida casera de alimentos. Se piensa que el origen de esta confusión radica en el uso poco cuidadoso de los términos en diferentes asignaturas atribuyéndole, en ocasiones, el mismo significado, hecho que podría inducir a errores en la percepción de los alumnos. El presente trabajo muestra los resultados preliminares del intento por poner solución a este problema. En una primera aproximación se procedió a tratar de establecer claramente las definiciones y usos de los términos citados y en qué materia se debían estudiar con profundidad. A partir de este análisis se puede extraer la conclusión que la falta de unificación en la terminología relacionada con las medidas de alimentos en España crea una gran confusión en la información que los docentes emiten y que los estudiantes interpretan. Esta confusión es importante puesto que se puede transmitir a pacientes, así como introducir sesgos importantes en los estudios epidemiológicos.

Monnaies émises par des «rebelles». Quelques remarques sur des frappes monétaires «non officielles» en Ifrîqiya et en al-Andalus au IXe siècle

Ce texte a pour objectif d’attirer l’attention sur un fait numismatique qui ne nous semble pas avoir été très souvent traité, celui des monnaies émises par des chefs politiques « rebelles » à une autorité normalement reconnue, dans un cas les Aghlabides de Kairouan, et dans l’autre les émirs omeyyades de Cordoue. L’étude de ce genre de monnaies devrait pouvoir aider à étudier, à partir des frappes réalisées en temps de crise politique, la question très importante de la légitimité du pouvoir dans l’Islam, et peut-être aussi celle des rapports de la frappe de monnaie avec les activités économiques. On n’attendra cependant pas de révélations des données très partielles et limitées qui vont suivre. Elles ne concernent en effet que deux frappes de dirhams correspondant chronologiquement au troisième siècle de l’Hégire qui, de 815 à 912, couvre pour l’essentiel le IXème siècle de l’ère chrétienne. L’une des monnaies date de son début (209 H/824-825), l’autre de sa fin (293 H/905-906). La première est Ifriqiyenne, la seconde andalouse; les deux, on l’a dit, sont frappées durant une époque de crise, et il peut être intéressant de les mettre en parallèle, sans prétendre en tirer de conclusions très nouvelles et de très grande portée, car il ne s’agit que de deux cas particuliers, auxquels la relative rareté de telles émissions, le fait qu’elles ont été peu étudiées et que les circonstances de la frappe des deux exemplaires présentés sont assez bien connues, incite tout de même à prêter quelque intérêt. La frappe andalouse pose par ailleurs un problème particulier, dans la mesure où elle correspond à un moment (entre les années 290/900 et 316/929) où le pouvoir omeyyade semble ne plus frapper de monnaies, ou pratiquement pas.