2 resultados para imputation
Resumo:
Ce mémoire a pour objectif d'observer les caractéristiques du paradigme du journalisme de communication dans la presse écrite québécoise en comparant 22 articles tirés des rubriques "faits divers", "politique", "international" et "environnement" des quotidiens Le Devoir et La Presse . Pour ce faire, nous présentons d'abord un aperçu de l'état actuel de la presse écrite, en pleine crise identitaire depuis les années 80 à la suite de l'arrivée des nouvelles technologies. Les bouleversements qui en ont découlé ont profondément transformé la manière de traiter l'information journalistique, si bien que les chercheurs Jean Charron et Jean de Bonville parlent d'un changement de paradigme -- du journalisme d'information vers le journalisme de communication. D'autres, comme Thierry Watine, préfèrent qualifier ce phénomène "d'hybridation des genres". En nous basant sur ces théories, nous avons retenu une série de caractéristiques propres au journalisme de communication à repérer au sein de notre corpus. Ainsi, nous dénombrons les caractéristiques du journalisme de communication dans chaque article pour ensuite comparer les résultats du Devoir et de La Presse. Par la suite, nous proposons quelques pistes de réflexion sur la place occupée par le journalisme de communication dans la presse écrite québécoise. En ce qui concerne les résultats généraux, Le Devoir et La Presse présentent des similitudes avec 254 caractéristiques au Devoir et 217 à La Presse. De plus, les deux journaux utilisent les quatre mêmes principales caractéristiques : l'évaluation, l'imputation, le registre familier et les métaphores. Par contre, les résultats du Devoir et de La Presse divergent quand nous les observons à l'échelle des rubriques. Enfin, notre étude démontre que les caractéristiques du journalisme de communication occupent une place prépondérante dans la presse écrite, sans pour autant évacuer complètement les caractéristiques du journalisme d'information.
Resumo:
Comme les résultats obtenus relativement à la relation entre l'utilisation de la capitalisation et le niveau d'endettement de l'entreprise sont difficiles à généraliser, ils ne permettent pas de conclure à l'existence d'une telle relation. Or, il a été démontré dans la littérature comptable, qu'en absence de normalisation, les entreprises endettées favorisent la méthode de capitalisation. Cela suggère donc que les critères énoncés par l'ICCA limitent le recours à la capitalisation. Les résultats obtenus relativement à la proportion des frais de développement capitalisés suggèrent qu'aucune relation n'existe entre la proportion capitalisée et le niveau d'endettement de l'entreprise. Cela suggère que les critères énoncés limitent le montant des frais de développement capitalisés. Par ailleurs, une association négative a été observée entre le recours à l'imputation et la taille des entreprises. Ce résultat est surprenant car les grandes entreprises sont vraisemblablement fructueuses et ont de bonnes chances de satisfaire les critères énoncés par l'ICCA. Cela suggère que les grandes entreprises se soustraient à l'obligation de capitaliser leurs frais de développement et que cela est vraisemblablement toléré par l'ICCA.