2 resultados para dishonest signer
Resumo:
De 1900 à 1966, Lionel Groulx, prêtre, historien, écrivain, conférencier, professeur, a signé 176 textes d'une vingtaine de pseudonymes différents. Le premier chapitre du mémoire résume d'abord les positions théoriques qu'ont adoptées des chercheurs comme Genette, Laugaa et Jeandillou en ce qui concerne la pseudonymie. Le récit de l'aventure pseudonyme de Groulx commence au deuxième chapitre, alors que le jeune professeur du College de Valleyfield, surtout pour éviter les représailles de son évêque, recourra à la pseudonymie pour signer des textes patriotiques. En 1915, Groulx quitte Valleyfield pour Montréal. Dès 1917, il collabore à l'Action française, dont il devient le directeur en 1920. Sans contredit, l'étude de la pseudonymie de Groulx de 1917 a 1929 prouve qu'il est bel et bien "L'Homme à tout faire" de la revue, comme le démontre le troisième chapitre. Le quatrième et dernier chapitre analyse la période 1930 à 1966. [Résumé abrégé par UMI]
Resumo:
Cette recherche, effectuée à l'automne 1987, auprès d'élèves en difficulté d'apprentissage au niveau collégial avait comme objectif principal de vérifier si les élèves qui avaient eu un suivi-intervention de groupe auraient respecté leurs conditions (contrats) plus que les élèves qui n'ont pas eu de suivi-intervention au cours de cette même période. Une approche de type expérientiel basée sur la théorie du double axe a été utilisée pour structurer l'apprentissage cognitif et affectif des élèves choisis. L'idée maîtresse de cette approche s'inspire d'auteurs américains, dont les concepts ont été repris par Limoges au Québec. Enfin une méthodologie utilisant la prise de conscience (affective et cognitive) a été employée pour stimuler l'expérience des participants en les aidant à nommer et à verbaliser ce qu'ils ont symbolisé au cours de l'expérience de groupe. Élèves ayant abandonné ou échoué la moitié ou plus de leurs cours à l'hiver 1987 (article 33). Les élèves avaient à signer un contrat stipulant le nombre de cours à réussir. Deux groupes d'élèves ont été choisis pour faire l'expérience i.e. le groupe expérimental. Les élèves qui n'ont eu aucune consultation individuelle ou de groupe formeront le groupe contrôle. Le groupe expérimental a été rencontré cinq fois durant la session et la durée des rencontres de groupe était de trois heures. Chacune des rencontres incluait des activités et des discussions autour d'une situation pédagogique insatisfaisante que vivaient les participants. De plus, chaque élève du groupe expérimental avait à faire des exercices d'intégration cognitive après chacune des rencontres et ce, autour des thèmes suivants: - réactions face au programme, - qu'est-ce que j'ai aimé? - qu'est-ce que je n'ai pas aimé? - ce que je retiens, - ce qui se dégage, - les apprentissages, les prises de conscience, - les sentiments, les craintes, les empêchements ... Pour sa part, le groupe contrôle n'a pas fait ces activités . Pour conclure, on a remarqué que les élèves qui ont eu un suivi-intervention ont respecté leur contrat dans une proportion nettement plus grande. En effet, le taux d'amélioration s'élève à 116% suite à cette intervention de groupe.