2 resultados para Social carrying capacity
Resumo:
Résumé : La schizophrénie est un trouble mental grave qui affecte toutes les facettes de la vie de la personne. En outre, le manque de soutien social est un problème important qui contribue à l’aggravation de la maladie, notamment en influençant négativement la capacité d’adaptation. Chez les personnes atteintes de schizophrénie, la capacité à utiliser des stratégies d’adaptation adéquates et efficaces est essentielle afin d’améliorer la santé, le bien-être et la prévention des rechutes. Cette recherche utilise la conception de l’adaptation de Roy (2009). De nombreuses études confirment la présence de difficultés d’adaptation chez ces personnes. De plus, le processus d’adaptation lui-même reste mal connu. La question de recherche était : Quel est le processus d’adaptation des personnes vivant avec la schizophrénie lorsque leur soutien social est limité ? Cette question sous-tendait deux objectifs : 1) décrire le processus d’adaptation des personnes atteintes de schizophrénie dans un contexte de soutien social limité et 2) contribuer au développement du modèle de Roy dans le contexte des troubles mentaux graves. Le devis de recherche était la théorisation ancrée constructiviste, auprès de 30 personnes vivant avec la schizophrénie. Les données étaient composées d’entrevues et de résultats de trois questionnaires qui ont contribué à décrire de façon plus détaillée le profil des participants. Les résultats sont une modélisation du processus d’adaptation nommée « les filtres dans le processus d’adaptation des personnes vivant avec la schizophrénie ». Cette modélisation met en lumière le fait que le potentiel d’adaptation des personnes vivant avec la schizophrénie est affecté à la fois par des éléments de l’environnement social et des éléments inhérents à la maladie elle-même. Ces éléments altèrent la possibilité et la capacité à utiliser des stratégies d’adaptation adéquates et efficaces. Ces résultats de recherche pourraient permettre d’améliorer l’évaluation des personnes atteintes de schizophrénie et de diminuer les « inconnues » dans l’effet des interventions, tout comme de favoriser les actions visant à lutter contre les conditions sociales qui nuisent à l’adaptation.
Resumo:
Background: Impairments in social communication are the hallmark feature of autism spectrum disorder (ASD). Operationalizing ‘severity’ in ASD has been challenging; thus stratifying by functioning has not been possible. Purpose: To describe the development of the Autism Classification System of Functioning: Social Communication (ACSF:SC) and evaluate its consistency within and between parent and professional ratings. Methodology: (1)ACSF:SC development based on focus groups and surveys involving parents, educators and clinicians familiar with preschoolers with ASD; and (2)Evaluation of the intra- and inter-rater agreement of the ACSF:SC using weighted kappa(кw). Results: Seventy-six participants were involved in the development process. Core characteristics of social communication were ascertained: communicative intent; communicative skills and reciprocity; and impact of environment. Five ACSF:SC levels were created and content-validated across participants. Best capacity and typical performance agreement ratings varied as follows: intra-rater on 41 children was кw=0.61-0.69 for parents and кw=0.71-0.95 for professionals; inter-rater between professionals were кw=0.47-0.61 and between parents and professionals кw=0.33-0.53. Conclusions: Perspectives from parents, and professionals informed ACSF:SC development, providing common descriptions of the levels of everyday communicative abilities of children with ASD to complement DSM-5. Rater agreement demonstrates the ACSF:SC can be utilized with acceptable consistency in comparison to other functional classification systems.