10 resultados para Consommateur

em Savoirs UdeS : plateforme de diffusion de la production intellectuelle de l’Université de Sherbrooke - Canada


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

De nos jours, les nations ne peuvent pas produire tout ce dont elles ont besoin, que cela soit du a un manque de savoir-faire, de technologie, de matières premières ou tout simplement parce que c'est plus rentable d'acheter un produit que de le fabriquer. Cette situation qu'on retrouve dans plusieurs pays, aussi industrialisés soient-ils, se traduit par l'intensification du commerce international et par l'accroissement du pouvoir des entreprises multinationales. Du côté du consommateur, celui-ci a l'embarras du choix quant aux produits importés et ces derniers occupent une part considérable de son panier d'achat. A titre d'exemple, en 1987 les consommateurs américains ont dépensé $160 billions en produits importés. Plus près de nous, le consommateur canadien ne peut pas se passer des produits étrangers, soit parce que le produit dont il a besoin n'est pas fabrique par son pays, soit parce que le produit est fabriqué par son pays mais qu'il n'est pas satisfait de la qualité, soit tout simplement pour satisfaire un besoin personnel (besoin d'appartenance ou d'estime de soi) en achetant un produit importé.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La mondialisation de l'économie et la globalisation des marchés ont modifié la relation entre l'entreprise et le consommateur. Alors que ce dernier profite d'une réduction des prix, d'une amélioration de la qualité des produits et d'une foule d'autres avantages issus de la concurrence internationale, les entreprises doivent travailler fort pour conserver ou augmenter leurs parts de marché dans cet environnement hautement concurrentiel. Dans un tel contexte, les études sur l'influence du pays d'origine d'un produit sur la perception des consommateurs sont d'une grande utilité. Elles permettent aux gestionnaires de mieux comprendre les consommateurs dans leurs choix, d'identifier les attributs du produit qu'ils considèrent importants et d'augmenter les ventes de l'entreprise. Dans le cadre du récent accord de libre-échange entre le Canada, le Mexique et les États-Unis (ALENA), cette étude menée au Mexique permet de répondre aux besoins des entreprises qui désirent exporter dans ce pays en les renseignant sur les caractéristiques des produits qui influencent le jugement des consommateurs mexicains. Les effets du pays de conception, du pays d'assemblage et de la provenance des pièces sur la qualité perçue ainsi que sur la valeur de l'achat sont étudiés à l'aide de profils de produits présentés aux consommateurs mexicains. Les produits utilisés sont l'automobile, le magnétoscope et les chaussures. Les résultats indiquent que les consommateurs utilisent surtout le pays de conception pour évaluer la qualité ou la valeur des automobiles et la provenance des pièces pour l'évaluation des magnétoscopes. Lorsqu'il s'agit d'évaluer la valeur d'achat des chaussures, les Mexicains se basent davantage sur la garantie. On observe, entre autres, que les Mexicains préfèrent davantage les produits assemblés au Mexique que ceux provenant du Canada. Enfin, le parallèle avec les résultats d'études antérieures permet de confirmer ou d'infirmer certains résultats. Les implications de ces derniers sont discutées par la suite.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Destruction de la couche d'ozone, effet de serre, encombrement des sites d'enfouissement, voilà des sujets d'actualité abordés quotidiennement dans les médias. La société de consommation qui a apporté le confort matériel au citoyen, aujourd'hui détruit son environnement et diminue sa qualité de vie. Peut-on rester de glace devant les eaux dans lesquelles il n'est plus permis de se baigner? Devant un soleil qui augmente les risques de cancer ? Devant la qualité de l'air qui se dégrade ? Le citoyen peut, de plus en plus, constater de fait la dégradation de son milieu de vie. Les préoccupations concernant l'environnement du citoyen, qui est aussi un consommateur, se traduisent-ils comportements d'achat ? Comme le mentionne Driscoll (1991), les responsables du marketing doivent déterminer les actions et les compromis que certains consommateurs sont prêts à faire lorsqu'ils achètent un produit. L'objectif de la présente étude est donc de clarifier l'influence du critère environnemental, par rapport au degré de connaissance et d'implication des sujets, sur la perception de la valeur du produit et sur l'intention d'achat du consommateur vis-à-vis les produits "verts". De plus, l'étude permettra d'évaluer l'efficacité de stratégie de prix, de marque, d'efficacité et d'écologie dans le cadre d'une planification de marketing pour les produits environnementaux. Pour réaliser ce travail trois produits sont évalués par un échantillon probabiliste de la ville de Sherbrooke, soit; piles AA, nettoyant tout usage et savon à lessive. Les répondants à l'étude ont été regroupés selon deux niveaux de connaissance et d'implication, soit faible ou élevé. Ce travail débute par une revue de la littérature, suivie de la description de la méthodologie utilisée. Pour sa part, le chapitre 5 se consacre à la présentation et à la discussion des résultats de l'étude. La conclusion présente les limites de l'étude et les implications pour les gens d'affaires.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Les consommateurs traitent une publicité imprimée à plusieurs niveaux dépendamment de leur motivation à le faire. Dans cette recherche, nous stipulons que l'adéquation entre la publicité et un schéma présent en mémoire va influencer la motivation du consommateur à traiter l'information publicitaire. Nous stipulons aussi que cette motivation va être modérée par le niveau d'implication du consommateur par la catégorie du produit annoncé dans l'annonce publicitaire. Une recherche expérimentale a donc été menée auprès de 202 personnes sur six annonces publicitaires imprimées: trois typiques et trois atypiques. Chaque unité expérimentale a évalué une publicité. Cette recherche, nous a permis de conclure que les publicités atypiques sont traitées plus en profondeur et sont mieux évaluées que les publicités typiques. D'autre part, nous montrons aussi que lorsqu'une publicité est typique et que le niveau d'implication du consommateur pour la catégorie de produit est élevé, la publicité est traitée plus en profondeur. Ainsi, l'effet modérateur de l'implication est appuyé. Les implications tant théoriques que pratiques de nos résultats sont discutées dans cette recherche.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

En marketing, tout commence avec le consommateur... Comme le mentionnent Lies A & Trout J. (1987), "vous goûtez ce que vous comptez goûter, vous retenez ce que vous désirez retenir..."(p. 30) En fait, à travers l'ensemble des stimuli auxquels il est soumis, le consommateur se crée une perception de la réalité. Cette perception correspond à sa propre réalité. Les perceptions des consommateurs sont fondées sur une grande quantité d'informations et cette affirmation ouvre la porte à un champ de recherche très vaste. Il est aisé de concevoir qu'il est non seulement fondamental de se questionner sur les raisons de l'évolution des perceptions dans l'esprit du consommateur (en vue de connaître leurs causes et leurs origines), mais il est également important de s'interroger sur ce qu'elles sont, tout simplement. Car, rappelons-le, ce sont sur elles que repose la réalité du consommateur. Ainsi la réalité évolue. Nos aïeux n'auraient pu imaginer que l'homme irait un jour sur la lune et que l'automobile existerait... Ce qui était vrai il y a cent ans ne l'est plus forcément aujourd'hui. Le monde a changé, le contexte est différent, bref, l'homme dit moderne ne pourrait concevoir retourner au mode de vie d'antan, avec toutes ses sources d'inconfort...

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Dans un contexte économique où globalisation des marchés et mondialisation des échanges commerciaux sont les mots d'ordre, nous assistons à une prolifération de produits hybrides ayant plus d'une origine nationale. Le made-in d'un produit n'a désormais plus de sens si on ne le scinde en deux concepts : le pays de conception où est "pensé" et conçu le produit et le pays d'assemblage où a lieu la fabrication physique du produit. Plusieurs recherches sur le made-in ont démontré que le pays de conception et le pays d'assemblage avaient effectivement une influence sur les évaluations de la qualité et de la valeur d'achat des produits par les consommateurs. L'objet de cette étude est de savoir si l'origine nationale a une influence sur un autre intervenant dans le processus d'achat : le vendeur et si cette influence est comparable à celle déjà observée chez le consommateur. 194 vendeurs d’appareils électroniques des villes de Montréal, Québec et Sherbrooke ont évalué des pays d'origine de niveaux de développement différents ainsi que la qualité et la valeur d'achat de trois catégories de produits : magnétoscopes, chaussures et automobiles. Chaque produit était caractérisé par cinq attributs : le pays de conception, le pays d'assemblage, la marque, la garantie et le prix. Les résultats obtenus ont été comparés à ceux issus d'une recherche antérieure sur l'influence du pays d'origine sur un échantillon de consommateurs (de Bussac, 1992). Cette étude comparative démontre notamment que les vendeurs, comme les consommateurs, associent des stéréotypes aux pays d'origine, stéréotypes qui influencent leur évaluation de la qualité et de la valeur d'achat des produits. Par ailleurs, la majorité des vendeurs interrogés pense que les consommateurs qu'ils rencontrent ne font pas de distinction entre pays de conception et pays d'assemblage. Il semble aussi que le pays d'origine est l'attribut du produit que les vendeurs utilisent le moins dans leur argumentation de vente.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Le traité du libre-échange entre les États-Unis et le Canada, l'intégration économique des 12 pays d'Europe et les changements politiques et socio-économiques survenus dans les pays de l'Est sont des exemples d'événements qui ont marqué la fin de la dernière décennie. Ces événements ont pour effet de modifier les règles du jeu de la concurrence internationale en matière de commerce et d'affecter directement les activités des entreprises oeuvrant aussi bien dans les marchés étrangers que domestiques. La firme doit avoir la capacité de connaître davantage le comportement de la clientèle-cible et celui de la concurrence afin de mieux adapter ses stratégies de marketing à cette nouvelle réalité. Les décisions auxquelles les exportateurs et les producteurs locaux ont toujours fait face ont trait à des variables stratégiques, entre autres le prix, le nom de la marque, la promotion, la distribution, le service et le lieu de fabrication ("Made-In"). Cette dernière variable a toujours été d'une grande importance pour les firmes ayant des opérations étrangères; en effet, elle touche deux aspects décisionnels à savoir, le coût d'installation des unités de production dans un pays étranger et la réputation ou l'image de ce dernier chez le consommateur. La présence de produits importés à côté des produits domestiques augmente l’éventail de choix du consommateur. Cependant, sa préférence pour un produit par rapport à un autre dépend de plusieurs éléments, soit des facteurs reliés au produit comme son prix compétitif ou sa qualité supérieure, ou bien des facteurs de personnalité, comme le besoin de prestige et d'appartenance.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Des nombreux chercheurs qui se sont intéressés au pays d'origine du produit, rares sont ceux qui se sont préoccupés d'entrevoir des liens avec l'origine nationale et culturelle du consommateur. Si on admet que l'importance du pays d’origine varie selon l'origine nationale du consommateur, il est normal, dans un souci de généralisation des résultats, d'envisager une étude en Afrique, région qui présente des caractères culturels et ethnographiques différents de ceux d'Amérique et d'Europe où des études sur le sujet ont été effectuées. La présente étude a été menée en Côte d'Ivoire, pays d'Afrique de l'ouest, afin d'étudier le comportement des ivoiriens vis-à-vis de deux concepts du marketing international: le pays de conception et le pays d'assemblage des produits. Des profils de produits, à partir desquels les consommateurs devaient évaluer la qualité perçue du produit ainsi que la valeur d'achat, ont été présentés aux participants à l'étude. L'expérience s'est avérée concluante, puisque les résultats ont clairement montré que le consommateur ivoirien fait une nette distinction entre pays d'assemblage et pays de conception; deux attributs sur lesquels il fonde son évaluation de la qualité perçue du produit et de la valeur d'achat des automobiles, des téléviseurs et des chaussures. Malgré le rôle modérateur des variables comme la garantie, la marque et le prix dans l’évaluation de la qualité perçue et de la valeur d'achat des produits, le pays d'origine demeure, dans la plupart des cas, l'indice informationnel le plus important pour le consommateur ivoirien, contrairement à ce qui a été trouvé ailleurs. Des implications "managériales" sont discutées ainsi que des axes de recherche pour l'avenir.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Il en va des organisations comme des personnes. Qu'on le veuille ou non, nous projetons tous une image auprès de nos interlocuteurs. Et c'est sur cette image que se fondent des décisions importantes : un consommateur va-t-il acheter un produit qu'il juge de mauvaise qualité ou trop cher, ou dont il ignore l'utilité? Une personne va-t-elle profiter d'un service public dont elle ignore l'existence? Nous vivons dans un monde de communication. Pour réussir, une organisation doit contrôler l'image qu'elle projette d'elle. Elle doit s'assurer d'être connue du public qui l'entoure. Elle doit faire comprendre ses produits, ses services et les objectifs qu'elle poursuit. De plus en plus d'organismes du secteur public et parapublic font maintenant appel à la recherche dans le but de leur permettre de prendre des décisions éclairées. Les institutions d'enseignement n'échappent pas à cette règle. Au cours des dernières années, la concurrence dans le secteur de l'enseignement secondaire s'est considérablement accrue. Même si la clientèle demeure aussi nombreuse dans les maisons d'enseignement privé de Montréal et de la Rive-Sud, il n'en demeure pas moins que les écoles publiques se sont prises en main, notamment en améliorant la qualité des services et le milieu de vie (Commission scolaire Sainte-Croix, École Pierre-Laporte; cours professionnels de ballet classique intégrés à un programme d'études secondaires régulier dans une école publique). Avec la sélection d'un projet éducatif précis dans chaque institution d'enseignement public, nous découvrons maintenant des écoles publiques spécialisées, possédant des personnalités différentes les unes des autres. Or, avec l'inversion de la pyramide des âges, la volonté de redressement des écoles publiques et leurs campagnes de sensibilisation auprès de la population, l'intégration des commissions scolaires, la concurrence existant entre les écoles privées, ces dernières doivent se définir un positionnement clair, net et précis sur l'échiquier concurrentiel. Afin de savoir si les écoles privées secondaires sont conscientes de leur image, nous avons analysé leur matériel promotionnel, c'est-à-dire brochures et dépliants. [...]

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Une hypothèse souvent faite dans les modèles micro-économique est que les différentes firmes dans une industrie particulière offrent toutes un produit homogène. Les consommateurs ne pouvant pas distinguer le produit des différentes firmes, un prix unique s'établit pour ce marché compétitif. Mais dans la réalité, les produits de firmes différentes ne sont quasi jamais des substituts parfaits. Les biens sont souvent différenciés par une ou plusieurs caractéristiques. Une firme ne peut donc pas produire un bien sans considérer les préférences des consommateurs et les produits qui existent déjà sur ce marché. La décision de ne pas produire ou de produire et les caractéristiques que le produit possédera, s'il est produit, est l'objet d'un vrai choix économique de la part des firmes. Lorsque dans un marché des biens sont produits avec plusieurs caractéristiques différentes, on parle alors de biens différenciés. Deux types de différenciation existent : la différenciation horizontale et la différenciation verticale. D'une part, pour la différenciation verticale, tous les consommateurs sont d'accord pour établir le même ordre de préférence sur l'ensemble des caractéristiques pour un prix égal, il y a un ordre naturel sur l'espace des caractéristiques. À ce titre, un exemple souvent utilisé est la qualité. Un consommateur préférera toujours le bien de meilleure qualité. Par contre, le revenu du consommateur et le prix détermineront son choix final. D'autre part, en ce qui concerne la différenciation horizontale, on note qu'en présence d'un ensemble de caractéristiques données et à prix égal le choix optimal d'un consommateur dépendra de son ordre de préférence sur l'ensemble des caractéristiques du produit et cet ordre diffère d'un consommateur à un autre. Pour mieux comprendre la différence entre les deux types de différenciation, nous allons prendre un exemple commun : deux consommateurs se voient offrir la possibilité d'obtenir une voiture gratuitement. Ils ont le choix entre deux voitures qui diffèrent seulement sur la couleur. Dans le cas de différenciation verticale, les deux consommateurs feront le même choix; dans le cas de différenciation horizontale, le choix de chacun des consommateurs ne sera pas nécessairement le même, le choix dépendra de leur préférence respective sur la couleur…