21 resultados para Adam, C., dit Adam le Jeune, 18th cent.


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La participation, tout comme la compétence, sont deux notions souvent prisées dans notre société actuelle. Qui n'a pas connu de sollicitations autour de lui afin de participer soit à la communauté chrétienne, soit aux services de santé, aux services municipaux ou à un club quelconque. Ou encore qui n'a pas été appelé à viser l’excellence par la publicité, par les divers logos retenus par certaines entreprises. En éducation, le phénomène est bien présent et prend sa source dans des origines non lointaines. En effet, c'est avec le rapport Parent (1963) qu'on s'est vraiment penché sur la nécessité d'impliquer les parents à la vie de l’école. On a d'abord commencé par accorder le droit de vote à toutes personnes majeures et non seulement aux propriétaires fonciers. […]

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Dans un contexte d'égalité des chances en éducation pour tous les enfants, il s'avère important d'adapter l'école aux besoins éducatifs de sa clientèle. Dans cette optique, des relations respectueuses avec les parents sont essentielles. Ces rapports sont encore plus importants pour les élèves de minorités ethniques qui représentent une nouvelle clientèle avec des besoins diversifiés auxquels l'école doit s'ajuster rapidement. Or, selon plusieurs enquêtes menées à Montréal, les parents d'élèves de minorités ethniques participent moins que les parents québécois de vieille souche. Il est important d'en savoir plus sur les raisons de cette faible participation et sur la situation de leur participation en général. Quelle est donc la situation de la participation des parents de minorités ethniques? Comment perçoivent-ils la participation à la vie de l'école? Comment l'école réagit-elle devant la diversité culturelle de sa clientèle? Comment se présente cette situation dans les écoles de Sherbrooke? À cause de l'existence des élèves de minorités ethniques, l'école à Sherbrooke n'échappe pas à ce problème. Même si leur nombre est restreint, ils ont toutefois des besoins spéciaux qui correspondent à leur culture respective. Et si l'on se fie à la croissance des élèves de minorités ethniques à l'école française, leur nombre croîtra également à Sherbrooke. Cela sera d'autant plus intéressant qu'un sondage récent a été réalisé par la Commission Scolaire Catholique de Sherbrooke sur les perceptions et les attentes des parents face aux écoles qu'elle dessert. On a besoin de cerner également le point de vue des parents de minorités ethniques concernant plusieurs aspects touchés par ce sondage ayant un lien avec la participation des parents. C'est dans le cadre de cette problématique que s'inscrit cette étude qui a pour but principal de recueillir la perception des parents de minorités ethniques au sujet de leur participation à la vie de l'école. Notre recherche est à notre connaissance la première visant un tel but. Ce mémoire comporte trois parties. La première expose l'énoncé de la problématique qui consiste à décrire, à partir d'un inventaire des écrits, la situation de la participation des parents en général et en particulier celle des parents de minorités ethniques au sujet de leur conception de l'éducation, des modes de participation à la vie de l'école, et de l'encadrement de leurs enfants. La deuxième partie présente la méthode de recherche qui a permis la réalisation de cette étude auprès des parents de minorités ethniques à Sherbrooke. La troisième partie porte sur l'analyse et l’interprétation des résultats obtenus lors de la collecte des données.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Depuis le début du 20e siècle, plusieurs chercheurs (assez originaux il va s'en dire), provenant de disciplines différentes, ont exploré cette avenue de l'humour en démontrant certaines théories concernant son impact en intervention. De la psychanalyse à la sexologie en passant par la philosophie et la thérapie, pour n'en nommer que quelques-uns, tous ont mis leur grain de sel dans cet engrenage humoriste. Ainsi, dans le milieu hospitalier, on croit que les professionnels de la santé hésitent à utiliser l'humour avec les patients. Le contexte sérieux de la souffrance, l'image respectable du professionnel et la question du conservatisme religieux inhérent à la pratique infirmière constituent les trois facteurs expliquant ce fait. En psychanalyse, Freud (1929) indique que l'humour implique un processus de total défoulement. Bergson (1940), quant à lui, après l'avoir défini comme étant un geste social, nous explique que par l'humour, l'être humain réussit à se dégager émotivement de la dure réalité de l'existence, et en arrive, tout comme le mentionne la sexologue Claire Bouchard (1993), à dédramatiser les situations difficiles. Fry (1987) affirme pour sa part que le paradoxe fait partie intégrante de l'humour, et ce, dans le monde entier. Certains médecins, dont le Dr Drouin concluent quant à eux que l'humour, enfin le rire, en favorisant la synchronisation des deux hémisphères cérébraux, permet à l'humain de prendre des décisions à la fois logiques et intuitives. Et qu'en est-il de l'humour en lien avec la créativité ? Si pour Koestler (1964) l'humour constitue un type de créativité, Freud (1929) le relie au processus créateur par leur base commune, c'est-à-dire, le fantasme du retour à l’enfance. Le service social ne sera pas en reste, car aussi curieux, insolite et surtout paradoxal que cela puisse paraître aux yeux de certains, cet essai porte sur l'humour en protection de la jeunesse. Est-il possible ou illusoire de penser que cet outil qu'est l'humour peut contribuer, entre autres, à créer ou améliorer la relation de confiance entre l'intervenant et le client, et ce, dans le contexte tout à fait particulier qu'est la protection de la jeunesse ? À ce sujet, nous avons donné la parole à huit personnes (quatre clients et quatre intervenants) rattachés au Centre jeunesse de l'Estrie. Au terme de ces entrevues, nous avons analysé plusieurs éléments qui ont particulièrement capté notre attention. Nous avons relevé l’importance pour les intervenants de savoir doser l'humour. Nous avons donc défini quatre types de dosage l'humour, dont un dosage qualitatif, un dosage temporel, un dosage humaniste, et enfin, un dosage quantitatif. Nous avons également relevé un type de rapport à l'humour différent d'un participant à l'autre. Certains mettent ainsi l'emphase sur la complicité, d'autres sur le pouvoir que l'on peut obtenir par l'humour. Ah! Le pouvoir! L'humour implique donc, dans certaines situations une prise de pouvoir négative, mais aussi, et heureusement, dans certains cas, une prise de pouvoir positive. De même, l'humour procure à l'occasion une forme de protection positive ou négative (fuite) à son utilisateur, qu'il soit intervenant ou client. Enfin, ce qui ressort principalement de cette recherche exploratoire, c'est combien les participants, autant les clients que les intervenants ont un immense besoin d'humour dans leur vie. C'est une survie pour les clients face à ce qu'ils vivent par rapport à la protection de la jeunesse et à leur situation familiale, et pour les intervenants qui évitent entre autres l’épuisement professionnel.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

L'évaluation du personnel éducateur en centre d'accueil peut être qualifiée sans ambages de délicate et ce, dans tous les centres d'accueil du réseau des Affaires Sociales du Québec. L'édification d'un système d'évaluation cohérent fait l'objet de recherches constantes au niveau de chaque institution du Québec ainsi que de l'Association des Centres d'Accueil du Québec (A.C.A.Q.). Le ministère des Affaires Sociales a déjà produit de nombreux guides à cette fin, mais aucun finalement n'a réussi à faire l'unanimité. Nous avons eu de nombreuses discussions à ce sujet avec les responsables et les éducateurs du centre d'accueil concerné dans le présent texte; toujours nous nous sommes heurté à des prises de positions très éloignées les unes des autres. C'est donc pour cette raison que nous avons choisi le présent sujet comme objet de cet essai. Notre but principal, dans la présentation de cet essai, est donc d'analyser un système d'évaluation qui n'est pas à la hauteur de nos attentes. Nous ferons, par la suite, des recommandations pour un système renouvelé et nous présenterons d'ailleurs un nouveau système d'évaluation du personnel éducateur en centre d'accueil. Toutefois, nos présentations s'arrêtent là puisque, pour le moment du moins, nous serons dans l'impossibilité de l'appliquer, donc de juger de son adéquacité. […]

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La formule coopérative constitue un instrument de développement privilégié par certains gouvernements et organismes de coopération internationale. De 1976 à 1985, le Conseil de la coopération du Québec (C.C.Q.), par le biais de son service international, est intervenu dans de nombreux projets coopératifs dans des pays en développement. En 1985, le C.C.Q. abandonnait ces activités qui furent transférées à un nouvel organisme: la Société de coopération pour le développement international (SOCODEVI). La Société de développement international Desjardins (S.D.I.D.), œuvre également à l'étranger depuis 1970, particulièrement dans le secteur de l'épargne et du crédit. En outre, quelques autres organismes collaborent à des projets coopératifs bien qu'ils ne privilégient pas ce secteur d'intervention. Ces divers organismes font régulièrement appel à des consultants experts et à des coopérants pour intervenir auprès des coopératives dans des pays en développement. Les premiers remplissent des mandats ponctuels alors que les seconds travailleront sur place pour une période minimale de deux ans dans la plupart des cas. Ces coopérants doivent faire preuve avant tout de compétence professionnelle, mais également de connaissances sur la coopération internationale et du coopératisme et posséder certaines qualités personnelles. Avant leur départ pour l'étranger, ils prennent part à un programme de formation devant les préparer à affronter les réalités du milieu où ils seront appelés à oeuvrer. Ce programme couvre différents aspects: la problématique du développement, la coopération internationale, le pays d'intervention, le coopératisme, etc... Notre intérêt pour l'éducation coopérative comme objet de cet essai résulte d'une demande de SOCODEVI à l'effet de concevoir un document de formation devant être utilisé dans le cadre d'un programme de formation s'adressant à des personnes en provenance de ses sociétés membres. Notre tâche ayant été limitée, en définitive, à la conception d'un document de référence, il nous apparaissait intéressant, à partir de là, de concevoir entièrement une session de formation sur le coopératisme; d'autant plus que ce type d'activité ne semble pas exister chez ces organismes de coopération internationale. Nous présentons donc une session de formation au coopératisme s'adressant à de futurs coopérants qui en ont une connaissance très limitée. Avant de toucher le noeud de ce travail, il nous sera cependant utile, dans un premier temps, de situer les principaux organismes de coopération internationale qui pourraient avoir besoin de ce type de formation. Dans une deuxième partie, nous aborderons les aspects théoriques sur lesquels nous nous baserons pour ensuite construire un modèle d'éducation coopérative constituant un plan général guidant la conception et le déroulement d'activités de formation. C'est à partir de ce modèle que nous présenterons, dans un quatrième temps, une session complète d'éducation coopérative destinée à de futurs coopérants. Ensuite, nous évaluerons cette session par rapport aux aspects théoriques de base et aux principes soutenant notre modèle. Pour conclure, nous proposerons un outil qui, croyons-nous, pourrait permettre d'entretenir la réflexion des coopérants tout au long de leur intervention et d'enrichir la littérature coopérative sur les pratiques dans différents pays en développement. Il s'agit du "diagnostic coopératif".

Relevância:

50.00% 50.00%

Publicador:

Resumo:

Qui n'a jamais demandé à un jeune enfant: "Que feras-tu lorsque tu seras grand?", ou encore à une personne nouvellement rencontrée: "Que faites-vous dans la vie"? Faire quelque chose c'est travailler, avoir un métier, exercer une profession. Toute la jeunesse est axée sur l'éventualité d'un travail. L'âge adulte est "destiné" à s'acquitter, au sein de la société, à un rôle utile qui sera, nous l'espérons tous, valorisant. "Le travail c'est la santé!", comme le dit l'adage. Alors pourquoi ne pas faire quelque chose de beau, de grandiose? Au début de la vie de travail tous les espoirs sont permis. Quoi qu'il en soit, la vision sociale favorise tout de même les activités qui seront empreintes de productivité, d'utilité, de rapidité, etc. En fait, toute la vie est construite vers un devenir de travailleuse et de travailleur à part entière. Alors qu'advient-il lorsque nous nous retirons de la vie de travail? Que se produit-il lorsque la santé, l'esprit, la perte de motivations et d'intérêts et même la société font en sorte que la personne est classée "inapte à travailler''. Mais attention, l'utilisation du terme "inaptitude" ne signifie pas que la personne a perdu tous ses moyens, malgré que cela peut être le cas, mais plutôt qu'il est temps de se retirer, de laisser sa place "aux plus jeunes". La joie, la peine, l'euphorie, le désespoir sont autant d'émotions paradoxales que l'individu à la retraite peut ressentir. La vie de travail, presqu'adulée auparavant, est dès lors perçue soit avec du regret ou encore avec une libération de contraintes. La personne peut transposer son nouvel état comme à une rédemption ou, paradoxalement, comme un gouffre qui s'ouvre sous ses pieds. Dans un cas comme dans l'autre, cette dernière se retrouve trop souvent devant un fait accompli et elle ne sait trop comment "organiser'' son espace et son temps. Dès lors, comment compléter la transition du monde du travail vers celui de la retraite? Nous voulons par cet essai, bien modestement nous l'avouons, répondre à cette question. Comme professionnelle de l'orientation nous sommes sensible à la qualité de vie au travail de la personne. Cependant, nous ne croyons pas qu'il est possible de dissocier la vie professionnelle d'une personne de sa vie personnelle. Alors donc, nous sommes convaincue que les professionnelles et professionnels de l'orientation se doivent de lier les diverses facettes de la vie de leurs clientes et clients. Ceci s'avère encore plus vraisemblable lorsque l'objet de nos intérêts se portent sur le départ du monde du travail, c'est-à-dire la transition entre le travail et la retraite. C'est donc suite à de nombreuses lectures et de nombreux questionnements que nous suggérons un cheminement lors de cette transition. Tout d'abord nous examinons la vision sociale portée sur la retraite et comment cette dernière influence la vie pendant cette transition. Par la suite, nous établirons la problématique inhérente à cette traversée. Problématique pouvant paraître simple à première vue, mais qui est en fait un enchevêtrement de sentiments, d'émotions, de désirs et de buts individualisés permettant des regroupements certes, dans laquelle persiste une complexité issue de sa propre nature. Troisièmement, diverses théories du développement psychologique, psychosocial et vocationnel seront résumées pour nous permettre d'établir les assises de notre vision de la transition travail-retraite. Cette spécification rend possible l'établissement de la perception théorique de la vieillesse et du vieillissement et supporte les pensées pour éviter qu'elles ne deviennent que des idéologies. Les théories décrites nous amènent à en retenir une, celle de Bridges (1980), qui introduit les notions de deuil, de bilan et de projet. En effet, les périodes d'achèvement, de zone neutre et de commencement ou création sont, à notre avis, le coeur d'une transition comme celle de la retraite. Nous élaborerons plus longuement sur l'implication de ces phases pendant la transition et du rôle pour les conseillères et conseillers d'orientation, pour finalement présenter un programme préliminaire, servant d'assise à un programme de formation. Nous croyons que l'établissement des objectifs, du format, des séquences d'apprentissage, du matériel pédagogique, des méthodes et des stratégies d'évaluation peut être grandement utile pour toutes professionnelles ou pour tous professionnels désirant construire une situation éducative favorisant le passage du monde complexe du travail vers celui, souvent encore plus complexe, de la retraite.