3 resultados para Quil-a

em QUB Research Portal - Research Directory and Institutional Repository for Queen's University Belfast


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Protection against Fasciola hepatica in goats immunized with Peroxiredoxin (Prx) was assessed. The experimental trial consisted of three groups of seven animals: group 1 were unimmunized and uninfected, group 2 were immunized with adjuvant only and group 3 were immunized with recombinant Prx in adjuvant (immunized and infected). Immunization with Prx in Quil A adjuvant, group 3, induced a reduction in fluke burden of 33.04% when compared to adjuvant control, group 2, although this difference was not significant. The hepatic gross and microscopical morphometric study revealed lower damage in the Prx-immunized compared to group 2 (p

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Micro-and nanoparticles prepared front the biodegradable and biocompatible polymers poly(lactide-co-glycolide) (PLGA) and polymetylmethacrylate (PMMA) have been successfully used as immunopotentiating antigen delivery systems. In our study, this approach was used to improve polyclonal antibody production to clenbuterol (CBL), a model hapten. PLGA and PMMA nanoparticles were loaded with either CBL alone or with a clenbuterol-transferrin conjugate (CBL-Tfn) and administered subcutaneously to mice. PLGA nano-particles were administered with or without the saponin adjuvant Quil A. The anti-CBL titres present in experimental sera were determined by an enzyme immunoassay (ELISA). CBL-Tfn-loaded PLGA nanoparticles co-administered with Quil A had obvious advantages immmunologically over the currently used method of raising antibodies to CBL (the positive control). The combined adjuvanticity of Quil A and PLGA nanoparticles resulted in a positive response in all four of the mice tested and in higher antibody titles than were seen in the positive control group. Furthermore, the sustained release of immunogen from the nanoparticles permitted a reduction in immunizing frequency over the 15-week study period.

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Cette communication a pour objectif de présenter et d’analyser les résultats d’une enquête portant sur l’accord sujet-verbe en français contemporain. Dans le domaine de l’accord sujet-verbe, bien que dans la plupart des cas le locuteur n’ait pas le choix de l’accord – c’est–à-dire qu’il n’y a qu’un accord possible – il existe néanmoins des contextes dans lesquels on peut trouver une variation entre l’accord singulier et le pluriel (cf. Corbett 2006 ; Grevisse 1993 ; Riegel et al 1994). Cette variation est souvent liée à une discordance entre le nombre syntaxique et le nombre sémantique. C’est le cas de certaines expressions de quantité, comme dans les exemples suivants : Singulier : « On a affaire à une minorité qui fait la loi à l’université » (Ouest France, 23-24 mai 2009, p.13) Pluriel : « Un petit millier de producteurs allemands, français et belges se sont déplacés, hier, à Bruxelles […] » (Ouest France, 26 mai 2009, p.3) Cette variation nous offre plusieurs pistes de recherche : dans une perspective linguistique, elle peut nous aider à mieux comprendre comment interagissent les différents facteurs linguistiques qui ont une influence sur l’accord, et dans une perspective sociolinguistique, elle représente un nouveau domaine à explorer pour l’étude sociolinguistique de la variation grammaticale en français, ce qui reste jusqu’à présent relativement peu étudiée. Nous traitons dans cette communication de la perspective sociolinguistique, c'est-à-dire les facteurs externes tels que l’âge, le sexe, et le niveau d’éducation du locuteur qui jouent un rôle dans l’accord sujet-verbe avec les expressions de quantité. Nous considérons en particulier la variation sexolectale : dans un premier temps, nous examinons les résultats de quelques études précédentes de la variation morphosyntaxique en français contemporain par rapport à l’influence du sexe du locuteur. Nous en concluons que les Principes élaborés par Labov (1990) pour décrire la variation sexolectale en anglais semblent être moins valables pour le cas du français de la France ; ou bien, qu’ils ne s’appliquent pas de façon simpliste. Dans un deuxième temps, nous présentons les résultats de nôtre étude, et nous voyons que pour nôtre projet aussi, les résultats pour la variation sexolectale ne s’expliquent pas facilement dans le cadre des Principes de Labov (1990).