3 resultados para gènes nucléaire à faible copie
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Resumo:
Dimensiosis des galbules et/ou teneur en prodelphinidine des aiguilles permettent trés généralement de déterminer les sous-espéces oxycedrus et macrocarpa, respectivement septentrionale-continentale et méridionale-insulaire, du Genévrier oxyeédre Juniperus oxycedrus L. Parcontre, la sous-espéce nord-africaine rufescens (en montagne) ne parah pas distinguable à ces titres de la sous-espéce type. Mais l’étude biochimique plus approfondie d’une (méta)population languedocienne montre l’existence d’un polymorphisme proanthocyanique indépendant de la taille des galbules. Les deux sous-espéces classiquement reconnues pourraient donc n’étre que les formes extremes, homozygotes pour le caractére chimique considéré, d’un méme génóme spécifique. Si les spécimens littoraux (Corse, Majorque, Maghreb) correspondent bien à la pleine expression (= prodelphinidine forte) de ce polymorphisme, certains échantillons «péri-littoraux» (Baléares et Languedoc) trahissent une introgression (actuelle ou ancienne) ayee appartion d’individus hétérozygotes, aux teneurs intermédiaires: des génes «macrocarpa» sont done bien presents au nord de la Méditerranée, méme si le phénoméne n’est pas morphologiquement décelable, et ne mérite pas d’étre formalisé en termes systématiques.
Resumo:
Prenant la flore et la végétation comme des indicateurs du climat local, on fait une analyse abrégée de l'influence atlantique sur quatre montagnes portugaises, s¡tuées au sud du fleuve Tage, en plain domaine méditerranéen. Elles sont distríbuées depuis le nord-est de l‘Alentejo jusqu’a l’extreme sud-ouest du territoire.L'observation des données floristiques a montré que la dominance des espéces méditerrennes est générale, bien que entre un mínimum de 34.0% à S. Mamede et un maximum de 48.9 % à Portel. On a vérifié aussi, en commun, un trés faible degré d'endémisme, lequel atteint la valeur la plus élevée -1.2%-, dans la montagne de Monchique.
Resumo:
El uso de agroquímicos en Argentina se ha fortalecido junto con la expansión agrícola. El objetivo de este trabajo es la elaboración de una metodología para calcular el impacto ambiental que los pesticidas causan en el medio ambiente teniendo en cuenta los siguientes factores: "ecotoxicología": categoría toxicológica, toxicidad en abejas, aves y peces; "Toxicidad humana": carcinogenicidad, neurotoxicidad, alteraciones endocrinas, genotoxicidad y capacidad irritativa; "Comportamiento ambiental": la persistencia en el agua / sedimento, persistencia en el suelo y bioconcentración. Estos factores fueron clasificados como bajo, medio, alto o muy alto, de acuerdo con su nivel de toxicidad. Los resultados indican que los plaguicidas más tóxicos son los insecticidas. La mayoría de los pesticidas utilizados son la toxicidad media (43,75%), seguido de baja y alta toxicidad (21,88%) y, los de muy alta toxicidad (12,5%). La metodología propuesta podría ser utilizada como una herramienta de monitoreo, gestión o educación ambiental.