4 resultados para présentation croisée par CMH I

em DigitalCommons@University of Nebraska - Lincoln


Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Heligmosomoides johnsoni sp. noy. is described from the cecum of the heather vole, Phenacomys intermedius Merriam, from the Olympic Mountains, Washington. The absence of longitudinal cuticular ridges dorsally separates H. johnsoni from species of Heligmosomoides other than H. hudsoni (Cameron, 1937), which occurs in varying lemmings, Dicrostonyx spp., and from which H. johnsoni is distinguished by its longer spicules, form of the dorsal ray, and other characters. Both Phenacomys and Dicrostonyx have a specialized cecum, with long villi around which the nematodes are found tightly coiled. The zoogeography of heligmosomid nematodes in Phenacomys is briefly discussed. French abstract: On décrit Heligmosomoides johnsoni sp. nov. parasite du caecum du rongeur néarctique, Phenacomys intermedius Merriam, des Montagnes Olympiques de Washington. L'absence de crêtes cuticulaires sur la face dorsaIe sépare H. johnsoni des autres Heligmosomoides à I'exception d'H. hudsoni (Cameron, 1937) qui se trouve chez Dicrostonyx spp., et duquel H. johnsoni se distingue par ses spicules plus longs, par la forme différente de la côte dorsale et par d'autres caractères. Phenacomys et Dicrostonyx ont un caecum spécialisé, muni de villosités allongées, autour desquelles les nématodes s'enroulent étroitement. La zoogéographie des nematodes héligmosomes chez Phenacomys est discutée.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Not more than four species of cestodes of the genus Echinococcus Rudolphi, 1801, are recognized as valid. The larval stage of at least three of them is able to develop in man, causing respective types of hydatid disease. Accurate characterization of these cestodes, including both larval and adult stages, is essential for identification, upon which depends development of methods for preventing infection of man and domestic animals. Because morphological characteristics of the larval cestodes may be modified according to the species of host in which they develop, identification should be based upon taxonomic characters of specimens from the respective natural hosts, which can be identified by means of ecological investigations in endemic areas in combination with controlled infection of experimental animals. The morphological and biological characteristics of the known species are discussed, and the two species most important to public health and economically--E. granulosus (Batsch, 1786) and E. multilocularis Leuckart, 1863--are distinguished. French résumé: Trois espèces de cestodes du genre Echinococcus Rudolphi, 1801 ont été identifiées: E. granulosus (Batsch, 1786); E. multilocularis Leuckart, 1863; et E. oligarthrus (Diesing, 1863). On n'a pas encore déterminé avec certitude s'il fallait leur adjoindre E. patagonicus Szidat, 1960. Ce dernier mis à part, tous ces ténias sont connus pour provoquer chez l'homme des formes spécifiques d'échinococcose hydatique; l'infestation par les larves de E. granulosus est également fréquente chez les ongulés domestiques et la répartition de ce cestode est presque cosmopolite. E. multilocularis est très largement répandu dans l'hémisphère nord, tandis que E. oligarthrus ne se trouve que dans le centre et le sud de I'Amérique. Pour définir des critères morphologiques qui permettent de distinguer avec précision les différentes espèces d'Echinococcus, il convient de prendre les spécimens sur leurs hôtes naturels, sinon l'évolution du stade strobilaire se trouve habituellement retardée et le stade larvaire présente une gamme étendue de variations morphologiques. Pour identifier les hôtes naturels, il faut étudier l'écologie dans les zones d'éndemicité, ainsi que les manifestations de l'infection contrôlée chez des animaux d'expérience. Le stade strobilaire des ténias peut présenter plusieurs caractères spécifiques importants qui concernent notamment la taille, le nombre et la répartition des testicules, la position du pore génital dans les segments gravides, la forme de l'utérus gravide et, dans certains cas, la taille et la forme des crochets du rostre. La structure de la larve normalement développée est caractéristique de chacune des trois espèces relativement bien connues. Les caractéristiques biologiques jouent également un rôle important dans la différenciation de ces cestodes. Au stade larvaire, le laps de temps nécessaire au développement des scolex infectants est directement fonction de la durée de vie de l'hôte intermédiaire. La larve de E. multilocularis présente des scolex infectants dès le deuxième ou le troisième mois, alors qu'ils n'apparaissent qu'au bout d'un ou deux ans chez la larve de E. granulosus. Un tableau donne la liste comparative des caractéristiques taxonomiques qui permettent de faire la distinction entre ces deux espèces.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Ten black bears, Ursus americanus Pallas, and three brown bears, U. arctos Linnaeus, were inoculated with rabies virus from naturally infected foxes in Alaska. The bears were more resistant than canine species, requiring at least 1,000 MLD50 of virus for infection. Low titres or negative results were obtained in salivary glands titrated in mice. Clinical course of the disease, post mortem findings, and microscopic lesions are described. Microscopic lesions were more· severe in brown bears, in which the inflammatory response was distinguished by the presence of numerous eosinophils in the perivascular infiltrate and among cells diffusely infiltrating the parenchyma. In both species, inclusion bodies were found only in the Purkinje cells of the cerebellum. Rabies is discounted as a factor in unprovoked attacks by bears on man at high latitudes. The epizootiology of rabies in a region where bears are numerous is discussed, with the conclusion that rabid foxes usually do not excrete sufficient quantities of virus in the saliva to infect bears. German title: Tollwut bei experimentell infizierten Bären, Ursus spp., mit epizootiologischen Anmerkungen German abtract: Zehn Schwarzbären, Ursus americanus Pallas, und drei Braunbären, U. arctos Linnaeus, wurden mit einem von Füchsen in Alaska isolierten Feldstamm des Tollwutvirus infiziert. Die Untersuchungsergebnisse lassen erkennen, daß Bären eine größere Resistenz gegenüber Tollwutinfektion aufweisen als hundeartige Karnivoren, und zwar konnten sie nicht mit weniger als 1000 MLD50 des Tollwutvirus infiziert werden. Das Virus war selten nachweisbar in den Speicheldrüsen der tollwuterkrankten Bären. Klinik und Pathologie der Tollwut bei Bären wurden kurz beschrieben. Die im Gehirn vorkommenden entzündlichen Veränderungen waren bei Braunbären besonders schwer und unterschieden sich durch die Häufigkeit der eosinophilen Leukozyten in den perivasculären und Gewebs-Infiltraten. Bei beiden Arten wurden Einschlußkörperchen nur in den Purkinje-Zellen beobachtet. Die Epizootiologie der Tollwut auf der Alaska-Halbinsel, wo Bären häufig vorkommen, wurde besprochen. Die Ergebnisse deuten an, daß Füchse wenig Virus mit dem Speichel ausscheiden, und selten soviel, daß es für die Infektion von Bären ausreicht. French title: La rage expérimentale chez les ours, Ursus spp., avec observations épizootiologiques French abstract: Dix ours noirs, Ursus americanus Pallas, et trois ours bruns, U. arctos Linnaeus, ont été inoculés avec de virus rabique provenant des renards infectés naturellement dans l'Alaska. Les ours Ont été plus résistants au virus que des espèces canines, et pour produire l'infection chez les ours, au moins 1000 MLD50 ont été requis. La titration des glandes salivaires chez des souris a données des titres peu éléves ou des résultats négatifs. La course clinique de la maladie, les observations des autopsies, et les lésions microscopiques sont decrites. Les lésions microscopiques les plus sévères ont été observées chez les ours bruns, dans lesquels la réponse inflammatoire a été distinguée par la présence de nombreux éosinophiles dans l'infiltration périvasculaire et parmi les cellules infiltrées diffusément dans Ie parenchyme. Chez les deux espèces des ours, des corps d'inclusion ont été trouvés seulement dans les cellules de Purkinje du cervelet. On a discuté l'épizootiologie de la rage dans une région où des ours sont nombreux, avec la conclusion qu'il y a dans la salive des renards rabiques une quantité de virus insuffisante pour infecter les ours. é ó í á ú Spanish title: Rabia en osos, Ursus spp., infectados experimentalmente, con anotaciones epizootológicas Spanish abstract: Diez osos negros, Ursus americanus Pallas, y tres osos pardos, U. arctos Linea, se infectaron con una estirpe campal de virus rábico aislada de zorros en Alasca. Los resultados de la experiencia permiten reconocer que los osos presentan una resistencia mayor frente a la infección rábica que los carnívoros cánidos, pues no se pudieron infectar con menos de 1.000 DML50 de virus rábico. El virus era muy raras veces identificable en las glándulas salivales de los osos enfermos de rabia. Se describen sucintamente la clínica y patología de la rabia en los osos. Las modificaciones inflamatorias en el cerebro eran muy graves en el oso pardo y se distinguían por la frecuencia de los leucocitos eosinófilos en los infiltrados perivasculares e hísticos. En ambas especies solo se hallaron corpúsculos de inclusión en las células de Purkinje. Se discute la epizootología de la rabia en la península de Alasca, donde es frecuente Ia presencia de osos. Los resultados señalan que los zorros eliminan poco virus con la saliva y casi nunca en cantidad tal que fuese suficiente para infectar los osos.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Les lecteurs de La Ceppède seront contents de recevoir le livre de Julien Gœury car son étude représente une addition importante aux ouvrages récents sur le poète aixois. Faisant partie de la redécouverte critique des Théorèmes initiée par les travaux de Jean Rousset dans les années 50, L'Autopsie et le théorème jette un nouveau regard sur l'oeuvre laceppédienne en adoptant ce que l'on peut appeler une perspective néo-structuraliste. L'exposé se divise en quatre parties: 1) Morphologie, 2) Anatomie, 3) Physiologie et 4) Psychologie. Une telle répartition suggere le désir de dégager le caractère organique du texte dans le cadre d'une organisation bien schématisée. Concernant la première categorie, Gœury met en exergue la construction générale du texte, signalant au départ “l'architecture extérieure” (23) ainsi que “l'architecture intérieure” (54) dans la composition des livres et des recueils qui édifient l'ouvrage. Ici, le lecteur note l'accent mis sur la signification du frontispice, des pages de titres, et sur d'autres éléments paratextuels. Toujours dans la première partie, Gœury suit l'exemple de plusieurs critiques en examinant l'emploi du sonnet comme mode de discours. L'auteur met en avant des “lois de composition” (141) qui renforcent “l'engagement formel” (151) du texte ainsi que son “architecture phonetique” (157). S'ajoutent à l'examen morphologique des observations sur les différentes formes “d'enjambement” (168) et de “fragmentation” (174) qui se manifestent dans les sonnets.