4 resultados para Morphologie des espèces [zoologie]
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Resumo:
Ten black bears, Ursus americanus Pallas, and three brown bears, U. arctos Linnaeus, were inoculated with rabies virus from naturally infected foxes in Alaska. The bears were more resistant than canine species, requiring at least 1,000 MLD50 of virus for infection. Low titres or negative results were obtained in salivary glands titrated in mice. Clinical course of the disease, post mortem findings, and microscopic lesions are described. Microscopic lesions were more· severe in brown bears, in which the inflammatory response was distinguished by the presence of numerous eosinophils in the perivascular infiltrate and among cells diffusely infiltrating the parenchyma. In both species, inclusion bodies were found only in the Purkinje cells of the cerebellum. Rabies is discounted as a factor in unprovoked attacks by bears on man at high latitudes. The epizootiology of rabies in a region where bears are numerous is discussed, with the conclusion that rabid foxes usually do not excrete sufficient quantities of virus in the saliva to infect bears. German title: Tollwut bei experimentell infizierten Bären, Ursus spp., mit epizootiologischen Anmerkungen German abtract: Zehn Schwarzbären, Ursus americanus Pallas, und drei Braunbären, U. arctos Linnaeus, wurden mit einem von Füchsen in Alaska isolierten Feldstamm des Tollwutvirus infiziert. Die Untersuchungsergebnisse lassen erkennen, daß Bären eine größere Resistenz gegenüber Tollwutinfektion aufweisen als hundeartige Karnivoren, und zwar konnten sie nicht mit weniger als 1000 MLD50 des Tollwutvirus infiziert werden. Das Virus war selten nachweisbar in den Speicheldrüsen der tollwuterkrankten Bären. Klinik und Pathologie der Tollwut bei Bären wurden kurz beschrieben. Die im Gehirn vorkommenden entzündlichen Veränderungen waren bei Braunbären besonders schwer und unterschieden sich durch die Häufigkeit der eosinophilen Leukozyten in den perivasculären und Gewebs-Infiltraten. Bei beiden Arten wurden Einschlußkörperchen nur in den Purkinje-Zellen beobachtet. Die Epizootiologie der Tollwut auf der Alaska-Halbinsel, wo Bären häufig vorkommen, wurde besprochen. Die Ergebnisse deuten an, daß Füchse wenig Virus mit dem Speichel ausscheiden, und selten soviel, daß es für die Infektion von Bären ausreicht. French title: La rage expérimentale chez les ours, Ursus spp., avec observations épizootiologiques French abstract: Dix ours noirs, Ursus americanus Pallas, et trois ours bruns, U. arctos Linnaeus, ont été inoculés avec de virus rabique provenant des renards infectés naturellement dans l'Alaska. Les ours Ont été plus résistants au virus que des espèces canines, et pour produire l'infection chez les ours, au moins 1000 MLD50 ont été requis. La titration des glandes salivaires chez des souris a données des titres peu éléves ou des résultats négatifs. La course clinique de la maladie, les observations des autopsies, et les lésions microscopiques sont decrites. Les lésions microscopiques les plus sévères ont été observées chez les ours bruns, dans lesquels la réponse inflammatoire a été distinguée par la présence de nombreux éosinophiles dans l'infiltration périvasculaire et parmi les cellules infiltrées diffusément dans Ie parenchyme. Chez les deux espèces des ours, des corps d'inclusion ont été trouvés seulement dans les cellules de Purkinje du cervelet. On a discuté l'épizootiologie de la rage dans une région où des ours sont nombreux, avec la conclusion qu'il y a dans la salive des renards rabiques une quantité de virus insuffisante pour infecter les ours. é ó í á ú Spanish title: Rabia en osos, Ursus spp., infectados experimentalmente, con anotaciones epizootológicas Spanish abstract: Diez osos negros, Ursus americanus Pallas, y tres osos pardos, U. arctos Linea, se infectaron con una estirpe campal de virus rábico aislada de zorros en Alasca. Los resultados de la experiencia permiten reconocer que los osos presentan una resistencia mayor frente a la infección rábica que los carnívoros cánidos, pues no se pudieron infectar con menos de 1.000 DML50 de virus rábico. El virus era muy raras veces identificable en las glándulas salivales de los osos enfermos de rabia. Se describen sucintamente la clínica y patología de la rabia en los osos. Las modificaciones inflamatorias en el cerebro eran muy graves en el oso pardo y se distinguían por la frecuencia de los leucocitos eosinófilos en los infiltrados perivasculares e hísticos. En ambas especies solo se hallaron corpúsculos de inclusión en las células de Purkinje. Se discute la epizootología de la rabia en la península de Alasca, donde es frecuente Ia presencia de osos. Los resultados señalan que los zorros eliminan poco virus con la saliva y casi nunca en cantidad tal que fuese suficiente para infectar los osos.
Resumo:
Karyotypes are defined for two nearctic species of marmots, Marmota olympus (2n = 40) and M. vancouverensis (2n = 42), and supplemental information is included on the karyotypes of M. flaviventris, M. monax ochracea, and M. marmota. The six North American species of Marmota (NF = 66) comprise a distinct group as compared with the middle Asian species (NF = 70) for which the karyotypes are known. Karyologic findings and zoogeographic evidence based upon the distribution of two nearctic species of host-specific cestodes indicate that M. broweri, in northern Alaska, is a pre-Würm relict. Its affinities appear to be with the North American caligata-group rather than with the northeastern Siberian M. camtschatica. The occurrence on M. broweri of the Asian flea, Oropsylla silantiewi, has not been explained. Some ecological and behavioral characteristics of M. broweri are briefly described and compared with those of other species. Family groups of M. broweri hibernate together in single winter dens that are plugged at the entrance; copulation takes place before the animals emerge from the winter den, near mid-May; face-glands are utilized in marking of territory. French abstract: Les auteurs définissent les caryotypes de deux espèces néarctiques de marmottes, Marmota olympus (2n=40) et M. vancouverensis (2n=42), et donnent des précisions sur les caryotypes de M. flaviventris, M. monax ochracea et M. marmota. Les six especes de Marmota (NF=66) d'Amérique du Nord forment un groupe distinct des espèces d'Asie centrale (NF=70) dont Ie caryotype est connu. Les données caryologiques et les preuves zoogéographiques basées sur la répartition de deux espèces néarctiques de cestodes spécifiques de I'hôte démontrent que M. broweri, dans l'Alaska septentrional, est une relicte du pré-Würm. Elle semble avoir plus d'affinités avec Ie groupe nord américain de caligata qu'avec M. camtschatica du nord de la Sibérie. La présence sur M. broweri de la puce asiatique, Oropsylla silantiewi, n'est pas expliquée. Quelques caractéristiques écologiques et éthologiques de M. broweri sont décrites brièvement et comparées avec celles d'autres espèces. Les groupes familiaux de M. broweri hibernent dans un meme terrier dont l'entrée est bouchée; la copulation à lieu avant que les animaux sortent de leur abri hivernal, it la mi-mai ; ils se servent de leurs glandes faciales pour marquer leur territoire.
Resumo:
French abstract: La faune des Trématodes Microphallidés d'Alaska étudiée comporte neuf espèces différentes, distribuées en quatre genres: 1° Microphallus oblonga Ching, 1965, M. pygmaeum (Levinsen, 1881) et M. similis (Jaegerskioeld, 1900). 2° Levinseniella (Lev.) propinqua Jaegerskioeld, 1907. 3° Maritrema acadiae (Swales, 1933). M. afanassjewi Belopolskaia, 1952. M. gratiosum Nicoll, 1907. M. megametrios Deblock et Rausch, 1968 et enfin, 4° Pseudospelotrema sp. n° 1. Les caractéristiques morphologiques essentielles de ces Trématodes sont décrites, sauf celles de la dernière espèce citée qui a déjà fait l'objet d'une étude antérieure. English abstract: Microphallid trematodes of nine species, representing four genera, have been studied from birds and mammals collected in Alaska: 1° Microphallus oblonga Ching, 1965, M. pygmaeum (Levinsen, 1881) and M. similis (Jaegerskioeld, 1900). 2° Levinseniella (Lev.) propinqua Jaegerskioeld, 1907. 3° Maritrema acadiae (Swales, 1933), M. afanassjewi Belopolskaia, 1952, M. gratiosum, Nicoll, 1907 and M. megametrios Deblock and Rausch, 1968 and 4° Pseudospelotrema sp. n° 1. Morphological characteristics of these trematodes are described, with the exception of Pseudospelotrema sp. to be considered elsewhere.
Resumo:
Les lecteurs de La Ceppède seront contents de recevoir le livre de Julien Gœury car son étude représente une addition importante aux ouvrages récents sur le poète aixois. Faisant partie de la redécouverte critique des Théorèmes initiée par les travaux de Jean Rousset dans les années 50, L'Autopsie et le théorème jette un nouveau regard sur l'oeuvre laceppédienne en adoptant ce que l'on peut appeler une perspective néo-structuraliste. L'exposé se divise en quatre parties: 1) Morphologie, 2) Anatomie, 3) Physiologie et 4) Psychologie. Une telle répartition suggere le désir de dégager le caractère organique du texte dans le cadre d'une organisation bien schématisée. Concernant la première categorie, Gœury met en exergue la construction générale du texte, signalant au départ “l'architecture extérieure” (23) ainsi que “l'architecture intérieure” (54) dans la composition des livres et des recueils qui édifient l'ouvrage. Ici, le lecteur note l'accent mis sur la signification du frontispice, des pages de titres, et sur d'autres éléments paratextuels. Toujours dans la première partie, Gœury suit l'exemple de plusieurs critiques en examinant l'emploi du sonnet comme mode de discours. L'auteur met en avant des “lois de composition” (141) qui renforcent “l'engagement formel” (151) du texte ainsi que son “architecture phonetique” (157). S'ajoutent à l'examen morphologique des observations sur les différentes formes “d'enjambement” (168) et de “fragmentation” (174) qui se manifestent dans les sonnets.