2 resultados para Dominants négatifs

em DigitalCommons@University of Nebraska - Lincoln


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While leadership is indisputably one of the most pervasive topics in our society, the vast majority of existing research has focused on leadership as a positive force. Taking a follower- centric approach to the study of leadership, we integrate research on the Romance of Leadership and the dark side of leadership by examining followers’ perceptions of aversive leadership in the context of public high schools. Although Meindl, Ehrlich, and Dukerich (1985) demonstrated that the Romance of Leadership also includes the overattribution of negative outcomes to leaders, subsequent research has failed to explore the implications of this potentially darker side of romanticizing leaders. Specifically, we examine perceptions of principals’ aversive leadership and traditional affective, behavioral, and performance outcomes of followers in a sample of 342 dyads. Followers assessed their principals’ leadership behaviors and self-rated their levels of job satisfaction, self-efficacy, and resistance, while principals assessed their followers’ citizenship behaviors, complaining behaviors, and job performance. Results show that perceptions of aversive leadership are positively related to follower resistance and negatively related to followers’ job satisfaction. In addition, a usefulness analysis revealed that follower-rated variables were significantly related to perceptions of aversive leadership above and beyond leader-rated variables, suggesting that the relationship between negative outcomes and aversive leadership may be more constructed than real. In sum, the tendency to romanticize leadership may also lead to a proclivity to readily misattribute or overattribute blame to leadership as a convenient scapegoat for negative outcomes. Alors que le leadership est incontestablement l’un des thèmes les plus envahissants de notre société, la grande majorité des recherches existantes a porté sur le leadership en tant que force positive. En adoptant une approche centrée sur le suiveur dans l’étude du leadership, nous examinant la perception qu’ont les collaborateurs du leadership insupportable dans le contexte des lycées publics. Quoique Meindl, Ehrlich, et Dukerich (1985) aient montré que la Romance du Leadership inclut aussi la surattribution de résultats négatifs aux leaders, les recherches ultérieures ont méconnu les implications de cet aspect potentiellement plus sombre des leaders idylliques. Nous analysons en particulier sur un échantillon de 342 dyades la perception du leadership répulsif du proviseur et les résultats habituels des collaborateurs en rapport avec l’affectivité, le comportement et les performances. Les collaborateurs ont noté les comportements de leadership de leur proviseur et auto-évalué leur niveau de satisfaction au travail, d’efficience et de résistance, alors que les proviseurs appréciaient les conduites de citoyenneté et de revendication, ainsi que la performance professionnelle. Les résultats montrent que la perception du leadership répulsif est Positivement reliée à la résistance du suiveur et négativement à sa satisfaction professionnelle. En outre, une analyse des plus fructueuses a révélé que les variables évaluées par les collaborateurs étaient significativement en relation avec la perception du leadership répulsif, bien plus qu’avec les variables évaluées par les leaders, ce qui indique que la relation entre les résultats médiocres et le leadership négatif serait plus construite que réelle. Au total, le penchant à l’idéalisation du leadership peut aussi bien conduire à une propension à trop facilement condamner à tort et à travers le leadership qu’à la désignation d’un bouc émissaire tout trouvé pour expliquer de mauvais résultats.

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Ten black bears, Ursus americanus Pallas, and three brown bears, U. arctos Linnaeus, were inoculated with rabies virus from naturally infected foxes in Alaska. The bears were more resistant than canine species, requiring at least 1,000 MLD50 of virus for infection. Low titres or negative results were obtained in salivary glands titrated in mice. Clinical course of the disease, post mortem findings, and microscopic lesions are described. Microscopic lesions were more· severe in brown bears, in which the inflammatory response was distinguished by the presence of numerous eosinophils in the perivascular infiltrate and among cells diffusely infiltrating the parenchyma. In both species, inclusion bodies were found only in the Purkinje cells of the cerebellum. Rabies is discounted as a factor in unprovoked attacks by bears on man at high latitudes. The epizootiology of rabies in a region where bears are numerous is discussed, with the conclusion that rabid foxes usually do not excrete sufficient quantities of virus in the saliva to infect bears. German title: Tollwut bei experimentell infizierten Bären, Ursus spp., mit epizootiologischen Anmerkungen German abtract: Zehn Schwarzbären, Ursus americanus Pallas, und drei Braunbären, U. arctos Linnaeus, wurden mit einem von Füchsen in Alaska isolierten Feldstamm des Tollwutvirus infiziert. Die Untersuchungsergebnisse lassen erkennen, daß Bären eine größere Resistenz gegenüber Tollwutinfektion aufweisen als hundeartige Karnivoren, und zwar konnten sie nicht mit weniger als 1000 MLD50 des Tollwutvirus infiziert werden. Das Virus war selten nachweisbar in den Speicheldrüsen der tollwuterkrankten Bären. Klinik und Pathologie der Tollwut bei Bären wurden kurz beschrieben. Die im Gehirn vorkommenden entzündlichen Veränderungen waren bei Braunbären besonders schwer und unterschieden sich durch die Häufigkeit der eosinophilen Leukozyten in den perivasculären und Gewebs-Infiltraten. Bei beiden Arten wurden Einschlußkörperchen nur in den Purkinje-Zellen beobachtet. Die Epizootiologie der Tollwut auf der Alaska-Halbinsel, wo Bären häufig vorkommen, wurde besprochen. Die Ergebnisse deuten an, daß Füchse wenig Virus mit dem Speichel ausscheiden, und selten soviel, daß es für die Infektion von Bären ausreicht. French title: La rage expérimentale chez les ours, Ursus spp., avec observations épizootiologiques French abstract: Dix ours noirs, Ursus americanus Pallas, et trois ours bruns, U. arctos Linnaeus, ont été inoculés avec de virus rabique provenant des renards infectés naturellement dans l'Alaska. Les ours Ont été plus résistants au virus que des espèces canines, et pour produire l'infection chez les ours, au moins 1000 MLD50 ont été requis. La titration des glandes salivaires chez des souris a données des titres peu éléves ou des résultats négatifs. La course clinique de la maladie, les observations des autopsies, et les lésions microscopiques sont decrites. Les lésions microscopiques les plus sévères ont été observées chez les ours bruns, dans lesquels la réponse inflammatoire a été distinguée par la présence de nombreux éosinophiles dans l'infiltration périvasculaire et parmi les cellules infiltrées diffusément dans Ie parenchyme. Chez les deux espèces des ours, des corps d'inclusion ont été trouvés seulement dans les cellules de Purkinje du cervelet. On a discuté l'épizootiologie de la rage dans une région où des ours sont nombreux, avec la conclusion qu'il y a dans la salive des renards rabiques une quantité de virus insuffisante pour infecter les ours. é ó í á ú Spanish title: Rabia en osos, Ursus spp., infectados experimentalmente, con anotaciones epizootológicas Spanish abstract: Diez osos negros, Ursus americanus Pallas, y tres osos pardos, U. arctos Linea, se infectaron con una estirpe campal de virus rábico aislada de zorros en Alasca. Los resultados de la experiencia permiten reconocer que los osos presentan una resistencia mayor frente a la infección rábica que los carnívoros cánidos, pues no se pudieron infectar con menos de 1.000 DML50 de virus rábico. El virus era muy raras veces identificable en las glándulas salivales de los osos enfermos de rabia. Se describen sucintamente la clínica y patología de la rabia en los osos. Las modificaciones inflamatorias en el cerebro eran muy graves en el oso pardo y se distinguían por la frecuencia de los leucocitos eosinófilos en los infiltrados perivasculares e hísticos. En ambas especies solo se hallaron corpúsculos de inclusión en las células de Purkinje. Se discute la epizootología de la rabia en la península de Alasca, donde es frecuente Ia presencia de osos. Los resultados señalan que los zorros eliminan poco virus con la saliva y casi nunca en cantidad tal que fuese suficiente para infectar los osos.