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After a finite doubling number, normal cells become senescent, i.e. nonproliferating and apoptosis resistant. Because Rel/nuclear factor (NF)-κB transcription factors regulate both proliferation and apoptosis, we have investigated their involvement in senescence. cRel overexpression in young normal keratinocytes results in premature senescence, as defined by proliferation blockage, apoptosis resistance, enlargement, and appearance of senescence-associated β-galactosidase (SA-β-Gal) activity. Normal senescent keratinocytes display a greater endogenous Rel/NF-κB DNA binding activity than young cells; inhibiting this activity in presenescent cells decreases the number of cells expressing the SA-β-Gal marker. Normal senescent keratinocytes and cRel-induced premature senescent keratinocytes overexpressed manganese superoxide dismutase (MnSOD), a redox enzyme encoded by a Rel/NF-κB target gene. MnSOD transforms the toxic O2.- into H2O2, whereas catalase and glutathione peroxidase convert H2O2 into H2O. Neither catalase nor glutathione peroxidase is up-regulated during cRel-induced premature senescence or during normal senescence, suggesting that H 2O2 accumulates. Quenching H2O2 by catalase delays the occurrence of both normal and premature cRel-induced senescence. Conversely, adding a nontoxic dose of H2O2 to the culture medium of young normal keratinocytes induces a premature senescence-like state. All these results indicate that Rel/NF-κB factors could take part in the occurrence of senescence by generating an oxidative stress via the induction of MnSOD.

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La Belgique impose depuis les années 2000 la parité femmes-hommes sur les listes de candidats pour les élections aux différents niveaux de pouvoir (local, régional, fédéral et européen). Cette obligation a accru la féminisation des assemblées pour atteindre entre un quart et un tiers d’élues. Le progrès est donc réel mais la stricte parité reste éloignée. Cet article s’interroge sur les raisons de ce « plafond de verre ». Elles sont à chercher dans la réticence des partis à accorder les premières places sur les listes à des candidates, et encore plus à placer une femme en première position. Dans un scrutin proportionnel de listes semi-ouvertes, la part d’élues s’en trouve automatiquement réduite, surtout lorsque la magnitude des circonscriptions est faible. Parmi les motivations de ces réticences à la parité l’une des plus importantes est la conviction que les candidates seraient de moins bonnes « locomotives électorales » que leurs homologues masculins. Pourtant, et cet article le démontre, ces craintes ne résistent pas à l’épreuve des faits. Une analyse détaillée des résultats électoraux en Belgique montre bien que les femmes ne réalisent pas de moins bonnes performances électorales que les hommes lorsqu’elles sont placées en tête de liste.