Les derniers écueils vers la parité aux élections régionales en Belgique

La Belgique impose depuis les années 2000 la parité femmes-hommes sur les listes de candidats pour les élections aux différents niveaux de pouvoir (local, régional, fédéral et européen). Cette obligation a accru la féminisation des assemblées pour atteindre entre un quart et un tiers d’élues. Le progrès est donc réel mais la stricte parité reste éloignée. Cet article s’interroge sur les raisons de ce « plafond de verre ». Elles sont à chercher dans la réticence des partis à accorder les premières places sur les listes à des candidates, et encore plus à placer une femme en première position. Dans un scrutin proportionnel de listes semi-ouvertes, la part d’élues s’en trouve automatiquement réduite, surtout lorsque la magnitude des circonscriptions est faible. Parmi les motivations de ces réticences à la parité l’une des plus importantes est la conviction que les candidates seraient de moins bonnes « locomotives électorales » que leurs homologues masculins. Pourtant, et cet article le démontre, ces craintes ne résistent pas à l’épreuve des faits. Une analyse détaillée des résultats électoraux en Belgique montre bien que les femmes ne réalisent pas de moins bonnes performances électorales que les hommes lorsqu’elles sont placées en tête de liste.

Green parties in Europe

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Parliamentary party loyalty and party family: the missing link?

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La sociologie électorale des libéraux francophones

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Pourquoi l'extrême droite progresse en Europe

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80 ans après le succès de Léon Degrelle. La relève des faux prophètes

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L'ascension du PTB

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Introduction

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Conclusion: Green parties in Europe: Which family ties?

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Party Members’ Preferences and the Changing Nature of Party Representation: Does Representation Change when Parties become Mini-Republics?

Giovanni Sartori famously wrote that political parties do not need to be mini-republics, yet today parties in many parliamentary democracies are moving in this direction by giving their members direct votes over important decisions, including selecting party leaders and settling policy issues. This paper explores some of the implications of these changes. It asks whether the addition of membership rights affects the types of members who are attracted: do we find a bigger gap between the preferences of party members and of party voters in parties that are more plebiscitary, as literature on members' motivations might lead us to expect? The paper examines this question both cross-sectionally and longitudinally using opinion data from the European Social Survey and newly-available party organizational data from the Political Party Database project.

Là où l'extrême droite ne perce pas

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