2 resultados para laissez-faire capitalism
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Resumo:
This paper explores the “resource curse” problem as a counter-example of creative performance and innovation by examining reliance on capital and physical resources, showing the gap between expectations and ex-post actual performance became clearer under conditions of economic turmoil. The analysis employs logistic regressions with dichotomous response and predictor variables, showing significant results.Several findings that have use for economic and business practice follow. First, in a transition period, a typical characteristic of successful firms was their reliance on either capital resources or physical asset endowments, whereas the innovation factor was not significant.Second, poor-performing enterprises exhibited evidence of over reliance on both capital and physical assets. Third, firms that relied on both types of resources tended to downplay creative performance. Fourth, reliance on capital/physical resources and adoption of “creative discipline/innovations” tend to be mutually exclusive. In fact, some evidence suggests that firms face more acute problem caused by the law of diminishing returns in troubled times. The Vietnamese corporate sector’s addiction to resources may contribute to economic deterioration, through a downward spiral of lower efficiency leading to consumption of more resources. The “innovation factor” has not been tapped as a source of economic growth. The absence of innovations and creativity has made the notion of “resource curse” become identical to “destructive creation” implemented by ex-ante resource-rich firms, and worsened the problem of resource misallocation in transition turmoil.
Resumo:
L’impact des expositions universelles sur le secteur de la construction du pays d’accueil est triple :elles sont l’occasion de faire la démonstration de la qualité des produits et projets de l’industrie locale ;elles stimulent les investissements dans l’infrastructure nouvelle et les bâtiments autour du site de l’exposition ;et elles représentent un défi prestigieux à relever, celui d’édifier en peu de temps des pavillons d’exception et de les montrer à un public international. L’Expo 58 a attiré 41,5 millions de visiteurs avec ses quelque 250 nouveaux bâtiments. Seuls sept entrepreneurs non belges ont participé aux travaux. Pour le monde belge de la construction, cette première exposition universelle après la Deuxième Guerre mondiale a marqué un moment charnière :elle a dressé un état des lieux de la période de reconstruction et a inauguré une phase de grands travaux de modernisation de l’infrastructure du pays. Mais elle peut aussi être vue comme un franchissement du creux économique de courte durée entre le Miracle belge (1947) et les golden sixties. Les premières initiatives remontent en effet à 1946, époque caractérisée par une réalité économique et politique bien différente de celle de la fin des années cinquante. En 1957-8, le secteur belge de la construction arrivait à peine à faire face à la demande, en particulier en raison de risques de pénurie dans la sidérurgie et d’un manque de main-d’œuvre qualifiée. Les pouvoirs publics ont ainsi échelonné la construction de logements sociaux de manière à la répartir avec les efforts consentis pour l’exposition universelle.