2 resultados para Période Sensori-Moteur

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The research project takes place within the technology acceptability framework which tries to understand the use made of new technologies, and concentrates more specifically on the factors that influence multi-touch devices’ (MTD) acceptance and intention to use. Why be interested in MTD? Nowadays, this technology is used in all kinds of human activities, e.g. leisure, study or work activities (Rogowski and Saeed, 2012). However, the handling or the data entry by means of gestures on multi-touch-sensitive screen imposes a number of constraints and consequences which remain mostly unknown (Park and Han, 2013). Currently, few researches in ergonomic psychology wonder about the implications of these new human-computer interactions on task fulfillment.This research project aims to investigate the cognitive, sensori-motor and motivational processes taking place during the use of those devices. The project will analyze the influences of the use of gestures and the type of gesture used: simple or complex gestures (Lao, Heng, Zhang, Ling, and Wang, 2009), as well as the personal self-efficacy feeling in the use of MTD on task engagement, attention mechanisms and perceived disorientation (Chen, Linen, Yen, and Linn, 2011) when confronted to the use of MTD. For that purpose, the various above-mentioned concepts will be measured within a usability laboratory (U-Lab) with self-reported methods (questionnaires) and objective indicators (physiological indicators, eye tracking). Globally, the whole research aims to understand the processes at stakes, as well as advantages and inconveniences of this new technology, to favor a better compatibility and adequacy between gestures, executed tasks and MTD. The conclusions will allow some recommendations for the use of the DMT in specific contexts (e.g. learning context).

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L’impact des expositions universelles sur le secteur de la construction du pays d’accueil est triple :elles sont l’occasion de faire la démonstration de la qualité des produits et projets de l’industrie locale ;elles stimulent les investissements dans l’infrastructure nouvelle et les bâtiments autour du site de l’exposition ;et elles représentent un défi prestigieux à relever, celui d’édifier en peu de temps des pavillons d’exception et de les montrer à un public international. L’Expo 58 a attiré 41,5 millions de visiteurs avec ses quelque 250 nouveaux bâtiments. Seuls sept entrepreneurs non belges ont participé aux travaux. Pour le monde belge de la construction, cette première exposition universelle après la Deuxième Guerre mondiale a marqué un moment charnière :elle a dressé un état des lieux de la période de reconstruction et a inauguré une phase de grands travaux de modernisation de l’infrastructure du pays. Mais elle peut aussi être vue comme un franchissement du creux économique de courte durée entre le Miracle belge (1947) et les golden sixties. Les premières initiatives remontent en effet à 1946, époque caractérisée par une réalité économique et politique bien différente de celle de la fin des années cinquante. En 1957-8, le secteur belge de la construction arrivait à peine à faire face à la demande, en particulier en raison de risques de pénurie dans la sidérurgie et d’un manque de main-d’œuvre qualifiée. Les pouvoirs publics ont ainsi échelonné la construction de logements sociaux de manière à la répartir avec les efforts consentis pour l’exposition universelle.