2 resultados para 335.58
em DI-fusion - The institutional repository of Université Libre de Bruxelles
Resumo:
The neutron multidetector DéMoN has been used to investigate the symmetric splitting dynamics in the reactions 58.64Ni + 208Pb with excitation energies ranging from 65 to 186 MeV for the composite system. An analysis based on the new backtracing technique has been applied on the neutron data to determine the two-dimensional correlations between the parent composite system initial thermal energy (EthCN) and the total neutron multiplicity (νtot), and between pre- and post-scission neutron multiplicities (νpre and νpost, respectively). The νpre distribution shape indicates the possible coexistence of fast-fission and fusion-fission for the system 58Ni + 208Pb (Ebeam = 8.86 A MeV). The analysis of the neutron multiplicities in the framework of the combined dynamical statistical model (CDSM) gives a reduced friction coefficient β = 23 ± 2512 × 1021 s-1, above the one-body dissipation limit. The corresponding fission time is τf = 40 ± 4620 × 10-21 s. © 1999 Elsevier Science B.V. All rights reserved.
Resumo:
L’impact des expositions universelles sur le secteur de la construction du pays d’accueil est triple :elles sont l’occasion de faire la démonstration de la qualité des produits et projets de l’industrie locale ;elles stimulent les investissements dans l’infrastructure nouvelle et les bâtiments autour du site de l’exposition ;et elles représentent un défi prestigieux à relever, celui d’édifier en peu de temps des pavillons d’exception et de les montrer à un public international. L’Expo 58 a attiré 41,5 millions de visiteurs avec ses quelque 250 nouveaux bâtiments. Seuls sept entrepreneurs non belges ont participé aux travaux. Pour le monde belge de la construction, cette première exposition universelle après la Deuxième Guerre mondiale a marqué un moment charnière :elle a dressé un état des lieux de la période de reconstruction et a inauguré une phase de grands travaux de modernisation de l’infrastructure du pays. Mais elle peut aussi être vue comme un franchissement du creux économique de courte durée entre le Miracle belge (1947) et les golden sixties. Les premières initiatives remontent en effet à 1946, époque caractérisée par une réalité économique et politique bien différente de celle de la fin des années cinquante. En 1957-8, le secteur belge de la construction arrivait à peine à faire face à la demande, en particulier en raison de risques de pénurie dans la sidérurgie et d’un manque de main-d’œuvre qualifiée. Les pouvoirs publics ont ainsi échelonné la construction de logements sociaux de manière à la répartir avec les efforts consentis pour l’exposition universelle.