3 resultados para SELF-CONTROLLED FREQUENCY

em Université de Montréal


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Background and Purpose. This descriptive cohort study investigated a physical therapy program of pelvic-floor neuromuscular electrostimulation (NMES) combined with exercises, with the aim of developing a simple, inexpensive, and conservative treatment for postpartum genuine stress incontinence (GSI). Subjects. Eight female subjects with urodynamically established GSI persisting more than 3 months after delivery participated in the study. The subjects ranged in age from 24 to 37 years (X̅=32, SD=4.2). Methods. This was a descriptive multiple-subject cohort study. Each subject received a total of nine treatment sessions during 3 consecutive weeks, consisting of two 15-minute sessions of NMES followed by a 15-minute pelvic-floor muscle exercise program. Patients also practiced daily pelvic-floor exercises during the 3-week treatment period. The treatment intervention was measured using three separate variables. Maximum muscle contractions (pretraining, during training, and posttraining) were measured indirectly as pressure, using perineometry. Urine loss pretraining and posttraining was measured by means of a Pad test. Self-reported frequency of incontinence was recorded daily throughout the period of the study, using a diary. Data were analyzed using a one-way repeated measures analysis of variance (ANOVA), a Wilcoxon signed-ranks test, and a Friedman two-way ANOVA by ranks. Results. The results indicated that maximum pressure generated by pelvic-floor contractions was greater and both the quantity of urine loss and the frequency of incontinence were lower following the implementation of the physical therapy program. Five subjects became continent, and three others improved. A follow-up survey 1 year later confirmed the consistency of these results. Conclusion and Discussion. The results suggest that the proposed physical therapy program may influence postpartum GSI. Further studies are needed to validate this simple, inexpensive, and conservative physical therapy protocol.

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Cette thèse se compose en deux parties: Première Partie: La conception et la synthèse d’analogues pyrrolidiniques, utilisés comme agents anticancéreux, dérivés du FTY720. FTY720 est actuellement commercialisé comme médicament (GilenyaTM) pour le traitement de la sclérose en plaques rémittente-récurrente. Il agit comme immunosuppresseur en raison de son effet sur les récepteurs de la sphingosine-1-phosphate. A fortes doses, FTY720 présente un effet antinéoplasique. Cependant, à de telles doses, un des effets secondaires observé est la bradycardie dû à l’activation des récepteurs S1P1 et S1P3. Ceci limite son potentiel d’utilisation lors de chimiothérapie. Nos précédentes études ont montré que des analogues pyrrolidiniques dérivés du FTY720 présentaient une activité anticancéreuse mais aucune sur les récepteurs S1P1 et S1P3. Nous avons soumis l’idée qu’une étude relation structure-activité (SARs) pourrait nous conduire à la découverte de nouveaux agents anti tumoraux. Ainsi, deux séries de composés pyrrolidiniques (O-arylmethyl substitué et C-arylmethyl substitué) ont pu être envisagés et synthétisés (Chapitre 1). Ces analogues ont montré d’excellentes activités cytotoxiques contre diverses cellules cancéreuses humaines (prostate, colon, sein, pancréas et leucémie), plus particulièrement les analogues actifs qui ne peuvent pas être phosphorylés par SphK, présentent un plus grand potentiel pour le traitement du cancer sans effet secondaire comme la bradycardie. Les études mécanistiques suggèrent que ces analogues de déclencheurs de régulation négative sur les transporteurs de nutriments induisent une crise bioénergétique en affamant les cellules cancéreuses. Afin d’approfondir nos connaissances sur les récepteurs cibles, nous avons conçu et synthétisé des sondes diazirine basées sur le marquage d’affinité aux photons (méthode PAL: Photo-Affinity Labeling) (Chapitre 2). En s’appuyant sur la méthode PAL, il est possible de récolter des informations sur les récepteurs cibles à travers l’analyse LC/MS/MS de la protéine. Ces tests sont en cours et les résultats sont prometteurs. Deuxième partie: Coordination métallique et catalyse di fonctionnelle de dérivés β-hydroxy cétones tertiaires. Les réactions de Barbier et de Grignard sont des méthodes classiques pour former des liaisons carbone-carbone, et généralement utilisées pour la préparation d’alcools secondaires et tertiaires. En vue d’améliorer la réaction de Grignard avec le 1-iodobutane dans les conditions « one-pot » de Barbier, nous avons obtenu comme produit majoritaire la β-hydroxy cétone provenant de l’auto aldolisation de la 5-hexen-2-one, plutôt que le produit attendu d’addition de l’alcool (Chapitre 3). La formation inattendue de la β-hydroxy cétone a également été observée en utilisant d’autres dérivés méthyl cétone. Étonnement dans la réaction intramoléculaire d’une tricétone, connue pour former la cétone Hajos-Parrish, le produit majoritaire est rarement la β-hydroxy cétone présentant la fonction alcool en position axiale. Intrigué par ces résultats et après l’étude systématique des conditions de réaction, nous avons développé deux nouvelles méthodes à travers la synthèse sélective et catalytique de β-hydroxy cétones spécifiques par cyclisation intramoléculaire avec des rendements élevés (Chapitre 4). La réaction peut être catalysée soit par une base adaptée et du bromure de lithium comme additif en passant par un état de transition coordonné au lithium, ou bien soit à l’aide d’un catalyseur TBD di fonctionnel, via un état de transition médiée par une coordination bidenté au TBD. Les mécanismes proposés ont été corroborés par calcul DFT. Ces réactions catalytiques ont également été appliquées à d’autres substrats comme les tricétones et les dicétones. Bien que les efforts préliminaires afin d’obtenir une enantioselectivité se sont révélés sans succès, la synthèse et la recherche de nouveaux catalyseurs chiraux sont en cours.

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Objective: To assess the effectiveness of 12 weekly physical therapy sessions for urinary incontinence (UI) compared with a control intervention, for reducing the number of UI episodes measured with the 7-day bladder diary, at 3 months and 1 year postrandomization. Methods: A single parallel-group randomized controlled trial was conducted at one outpatient public health center, in postmenopausal women aged 55 years and over with osteoporosis or low bone density and UI. Women were randomized to physical therapy (PT) for UI or osteoporosis education. The primary outcome measure was number of leakage episodes on the 7-day bladder diary, assessed at baseline, after treatment and at 1 year. The secondary outcome measures included the pad test and disease-specific quality of life and self-efficacy questionnaires assessed at the same timepoints. Results: Forty-eight women participated (24 per group). Two participants dropped out of each group and one participant was deceased before 3-month follow-up. Intention-to-treat analysis was undertaken. At 3 months and 1 year, there was a statistically significant difference in the number of leakage episodes on the 7-day bladder diary (3 mo: P = 0.04; 1 y: P = 0.01) in favor of the PT group. The effect size was 0.34 at 1 year. There were no harms reported. Conclusions: After a 12-week course of PT once per week for UI, PT group participants had a 75% reduction in weekly median number of leakage episodes, whereas the control group's condition had no improvement. At 1 year, the PT group participants maintained this improvement, whereas the control group's incontinence worsened.