7 resultados para Maximal Voluntary Contraction

em Université de Montréal


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La déchirure de la coiffe des rotateurs est une des causes les plus fréquentes de douleur et de dysfonctionnement de l'épaule. La réparation chirurgicale est couramment réalisée chez les patients symptomatiques et de nombreux efforts ont été faits pour améliorer les techniques chirurgicales. Cependant, le taux de re-déchirure est encore élevé ce qui affecte les stratégies de réhabilitation post-opératoire. Les recommandations post-chirurgicales doivent trouver un équilibre optimal entre le repos total afin de protéger le tendon réparé et les activités préconisées afin de restaurer l'amplitude articulaire et la force musculaire. Après une réparation de la coiffe, l'épaule est le plus souvent immobilisée grâce à une écharpe ou une orthèse. Cependant, cette immobilisation limite aussi la mobilité du coude et du poignet. Cette période qui peut durer de 4 à 6 semaines où seuls des mouvements passifs peuvent être réalisés. Ensuite, les patients sont incités à réaliser les exercices actifs assistés et des exercices actifs dans toute la mobilité articulaire pour récupérer respectivement l’amplitude complète de mouvement actif et se préparer aux exercices de résistance réalisés dans la phase suivante de la réadaptation. L’analyse électromyographique des muscles de l'épaule a fourni des évidences scientifiques pour la recommandation de beaucoup d'exercices de réadaptation au cours de cette période. Les activités sollicitant les muscles de la coiffe des rotateurs à moins de 20% de leur activation maximale volontaire sont considérés sécuritaires pour les premières phases de la réhabilitation. À partir de ce concept, l'objectif de cette thèse a été d'évaluer des activités musculaires de l'épaule pendant des mouvements et exercices qui peuvent théoriquement être effectués au cours des premières phases de la réhabilitation. Les trois questions principales de cette thèse sont : 1) Est-ce que la mobilisation du coude et du poignet produisent une grande activité des muscles de la coiffe? 2) Est-ce que les exercices de renforcement musculaire du bras, de l’avant-bras et du torse produisent une grande activité dans les muscles de la coiffe? 3) Au cours d'élévations actives du bras, est-ce que le plan d'élévation affecte l'activité de la coiffe des rotateurs? Dans notre première étude, nous avons évalué 15 muscles de l'épaule chez 14 sujets sains par électromyographie de surface et intramusculaire. Nos résultats ont montré qu’avec une orthèse d’épaule, les mouvements du coude et du poignet et même quelques exercices de renforcement impliquant ces deux articulations, activent de manière sécuritaire les muscles de ii la coiffe. Nous avons également introduit des tâches de la vie quotidienne qui peuvent être effectuées en toute sécurité pendant la période d'immobilisation. Ces résultats peuvent aider à modifier la conception d'orthèses de l’épaule. Dans notre deuxième étude, nous avons montré que l'adduction du bras réalisée contre une mousse à faible densité, positionnée pour remplacer le triangle d’une orthèse, produit des activations des muscles de la coiffe sécuritaires. Dans notre troisième étude, nous avons évalué l'électromyographie des muscles de l’épaule pendant les tâches d'élévation du bras chez 8 patients symptomatiques avec la déchirure de coiffe des rotateurs. Nous avons constaté que l'activité du supra-épineux était significativement plus élevée pendant l’abduction que pendant la scaption et la flexion. Ce résultat suggère une séquence de plan d’élévation active pendant la rééducation. Les résultats présentés dans cette thèse, suggèrent quelques modifications dans les protocoles de réadaptation de l’épaule pendant les 12 premières semaines après la réparation de la coiffe. Ces suggestions fournissent également des évidences scientifiques pour la production d'orthèses plus dynamiques et fonctionnelles à l’articulation de l’épaule.

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Aims To compare magnetic resonance imaging (MRI) of the pelvic floor musculature (PFM), bladder neck and urethral sphincter morphology under three conditions (rest, PFM maximal voluntary contraction (MVC), and straining) in older women with symptoms of stress (SUI) or mixed urinary incontinence (MUI) or without incontinence. Methods This 2008–2012 exploratory observational cohort study was conducted with community-dwelling women aged 60 and over. Sixty six women (22 per group), mean age of 67.7 ± 5.2 years, participated in the study. A 3 T MRI examination was conducted under three conditions: rest, PFM MVC, and straining. ANOVA or Kruskal–Wallis tests (data not normally distributed) were conducted, with Bonferroni correction, to compare anatomical measurements between groups. Results Women with MUI symptoms had a lower PFM resting position (M-Line P = 0.010 and PC/H-line angle P = 0.026) and lower pelvic organ support (urethrovesical junction height P = 0.013) than both continent and SUI women. Women with SUI symptoms were more likely to exhibit bladder neck funneling and a larger posterior urethrovesical angle at rest than both continent and MUI women (P = 0.026 and P = 0.008, respectively). There were no significant differences between groups on PFM MVC or straining. Conclusions Women with SUI and MUI symptoms present different morphological defects at rest. These observations emphasize the need to tailor UI interventions to specific pelvic floor defects and UI type in older women.

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Aims The purpose of this study was to examine the effect of a pelvic floor muscle (PFM) rehabilitation program on incontinence symptoms, PFM function, and morphology in older women with SUI. Methods Women 60 years old and older with at least weekly episodes of SUI were recruited. Participants were evaluated before and after a 12-week group PFM rehabilitation intervention. The evaluations included 3-day bladder diaries, symptom, and quality of life questionnaires, PFM function testing with dynamometry (force) and electromyography (activation) during seven tasks: rest, PFM maximum voluntary contraction (MVC), straining, rapid-repeated PFM contractions, a 60 sec sustained PFM contraction, a single cough and three repeated coughs, and sagittal MRI recorded at rest, during PFM MVCs and during straining to assess PFM morphology. Results Seventeen women (68.9 ± 5.5 years) participated. Following the intervention the frequency of urine leakage decreased and disease-specific quality of life improved significantly. PFM function improved significantly: the participants were able to perform more rapid-repeated PFM contractions; they activated their PFMs sooner when coughing and they were better able to maintain a PFM contraction between repeated coughs. Pelvic organ support improved significantly: the anorectal angle was decreased and the urethrovescial junction was higher at rest, during contraction and while straining. Conclusions This study indicated that improvements in urine leakage were produced along with improvements in PFM co-ordination (demonstrated by the increased number of rapid PFM contractions and the earlier PFM activation when coughing), motor-control, pelvic organ support.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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