27 resultados para Lymphocytes T CD4 et CD8

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4-1BB (CD137) est un membre de la superfamille TNFR qui est impliqu dans la transmission des signaux de survie aux lymphocytes. TRAF1 est une protine adaptatrice qui est recrute par 4-1BB et autres TNFRs et est caractrise par une expression trs restreinte aux lymphocytes, cellules dendritiques et certaines cellules pithliales. TRAF1 est ncessaire pour lexpansion et la survie des cellules T mmoire en prsence d'agonistes anti-4-1BB in vivo. De plus, TRAF1 est requise en aval de 4-1BB pour activer (phosphoryler) la MAP kinase Erk implique dans la rgulation de la molcule pro-apoptotique Bim. Suite lactivation du rcepteur 4-1BB, TRAF1 et ERK sont impliqus dans la phosphorylation de Bim et la modulation de son expression. Lactivation et la rgulation de TRAF1 et Bim ont un rle important dans la survie des cellules T CD8 mmoires. Dans cette tude, nous avons utilis une approche protomique afin de pouvoir identifier de nouveaux partenaires de liaison de TRAF1. Utilisant cette stratgie, nous avons identifi que LSP1 (Leukocyte Specific Protein 1) est recrut dans le complexe de signalisation 4-1BB de manire TRAF1 dpendante. Une caractrisation plus pousse de linteraction entre TRAF1 et LSP1 a montr que LSP1 lie la rgion unique N-terminal de TRAF1 de faon indpendante de la rgion conserve C-terminal. linstar des cellules T dficientes en TRAF1, les cellules T dficientes en LSP1 ne sont pas capables dactiver ERK en aval de 4-1BB et par consquent ne peuvent pas rguler Bim. Ainsi, TRAF1 et LSP1 cooprent en aval de 4-1BB dans le but dactiver ERK et rguler en aval les niveaux de Bim dans les cellules T CD8. Selon la littrature, le rcepteur 4-1BB nest pas exprim la surface des cellules B murines, mais le rcepteur 4-1BB favorise la prolifration et la survie des cellules B humaines. Cependant, il est important d'tudier l'expression du rcepteur 4-1BB dans les cellules B murines afin de disposer d'un modle murin et de prdire la rponse clinique la manipulation de 4-1BB. En utilisant diffrentes stimulations de cellules B murines primaires, nous avons identifi que le rcepteur 4-1BB est exprim la surface des cellules B de souris suite une stimulation avec le LPS (Lipopolysaccharides). Une caractrisation plus pousse a montr que le rcepteur 4-1BB est induit dans les cellules B murines d'une manire dpendante de TLR4 (Toll Like Receptor 4). Collectivement, notre travail a dmontr que la stimulation avec le LPS induit lexpression du rcepteur 4-1BB la surface des cellules B murines, menant ainsi l'induction de TRAF1. De plus, TRAF1 et LSP1 cooprent en aval de 4-1BB pour activer la signalisation de la Map kinase ERK dans les cellules B murines de manire similaire aux cellules T. Les cellules B dficientes en TRAF1 et les cellules B dficientes en LSP1 ne sont pas en mesure d'activer la voie ERK en aval de 4-1BB et montrent un niveau dexpression du rcepteur significativement diminu compar aux cellules B dune souris WT. Ainsi, TRAF1 et LSP1 sont ncessaires pour une expression maximale du rcepteur 4-1BB la surface cellulaire de cellules B murines et cooprent en aval de 4-1BB afin d'activer la cascade ERK dans les cellules B murines.

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La reconnaissance dun antigne prsent par les cellules prsentatrices dantigne induit la prolifration et la diffrenciation des lymphocytes T nafs en lymphocytes T effecteurs et mmoires. Cette reconnaissance se fait par linteraction du rcepteur des cellules T (TCR) des lymphocytes T et le complexe CMH-peptide prsent la surface des DC. Cependant, des signaux additionnels sont requis, une meilleure activation des lymphocytes T implique des corcepteurs prsents la surface de ces deux types cellulaires. Aprs llimination de lantigne, la plupart des lymphocytes T effecteurs vont mourir. Une petite population de lymphocytes T va persister pour se diffrencier en lymphocytes T mmoires capables de protger lorganisme contre une rinfection. Les signaux qui contrlent le maintien des lymphocytes T mmoires sont encore mal compris. Pour comprendre le rle de la molcule de costimulation 4-1BB dans le maintien des lymphocytes T CD8 mmoires, nous avons mis lhypothse que ltat de phosphorylation de la protine adaptatrice TRAF1, qui se lie 4-1BB, module le maintien des lymphocytes T CD8 mmoires. Ainsi, nous avons montr par des expriences de spectromtrie de masse que TRAF1 sassocie prfrentiellement TBK1 lorsquelle nest pas phosphoryle. Nous avons aussi montr que la prsence de TRAF1 est requise pour stabiliser TBK1 au rcepteur 4-1BB aprs stimulation des lymphocytes T. Par ailleurs, les lymphocytes T CD8 OT-I TRAF1-/- reconstitues avec un mutant phospho-dficient de TRAF1 (S139A) et ensuite diffrencies en lymphocytes T mmoires in vitro induisent une activation de la voie de signalisation NF-B contrairement ceux exprimant la forme phospho-mimtique de TRAF1 (S139D). Ces premires tudes dmontrent limportance de ltat de phosphorylation de TRAF1 en aval de 4-1BB dans les cellules T. Dans la seconde partie, nous avons valu le rle dun autre corcepteur; la neuropiline 1, dans la maturation des DC. A cet effet, nous avons mis lhypothse que linteraction de la neuropiline 1 et ses ligands contribuerait la fonction des DC. Nous avons dmontr que labsence de la neuropiline 1 na pas deffet sur la maturation au LPS des DC. Cependant, la prsence du VEGF (un ligand de Nrp-1) inhibe la maturation des DC drives de la moelle osseuse. Notre tude a dmontr que VEGF inhibe lexpression des molcules de costimulation, la scrtion des cytokines pro inflammatoires et la signalisation TLR4 principalement les voies MAP Kinase et NF-B. Contrairement aux rsultats avec les cellules WT, VEGF nest pas capable daffecter la maturation, la scrtion des cytokines et la signalisation TLR4 des DC Nrp1-Lyz o la neuropiline 1 est dlte. Ainsi, nos rsultats ont dmontr que VEGF inhibe la maturation des DC de faon Nrp1-dpendante. Enfin, lanalyse des molcules partenaires de la neuropiline 1 montre que Nrp1, VEGF et TLR4 se retrouvent dans le mme complexe. Nos rsultats dmontrent que VEGF, en prsence de la neuropiline 1 est capable dinteragir avec TLR4 pour inhiber la maturation des DC. Toutefois, en absence de la neuropiline1, VEGF nest pas capable de recruter TLR4 pour rduire lexpression des molcules de costimulation. Ces tudes sur les corcepteurs pourraient tre importantes dans llaboration de nouvelles approches vaccinales.

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La prsentation antignique par les molcules de classe II du complexe majeur dhistocompatibilit (CMH II) est un mcanisme essentiel au contrle des pathognes par le systme immunitaire. Le CMH II humain existe en trois isotypes, HLA-DP, DQ et DR, tous des htrodimres composs dune chane et dune chane . Le CMH II est entre autres exprim la surface des cellules prsentatrices dantignes (APCs) et des cellules pithliales actives et a pour fonction de prsenter des peptides dorigine exogne aux lymphocytes T CD4+. Loligomrisation et le trafic intracellulaire du CMH II sont largement facilits par une chaperone, la chane invariante (Ii). Il sagit dune protine non-polymorphique de type II. Aprs sa biosynthse dans le rticulum endoplasmique (ER), Ii htro- ou homotrimrise, puis interagit via sa rgion CLIP avec le CMH II pour former un complexe Ii. Le complexe sort du ER pour entamer son chemin vers diffrents compartiments et la surface cellulaire. Chez lhomme, quatre isoformes dIi sont rpertories : p33, p35, p41 et p43. Les deux isoformes exprimes de manire prdominante, Iip33 et p35, diffrent par une extension N-terminale de 16 acides amins porte par Iip35. Cette extension prsente un motif de rtention au rticulum endoplasmique (ERM) compos des rsidus RXR. Ce motif doit tre masqu par la chane du CMH II pour permettre au complexe de quitter le ER. Notre groupe sest intress au mcanisme du masquage et au mode de sortie du ER des complexes Ii. Nous montrons ici que linteraction directe, ou en cis, entre la chane du CMH II et Iip35 dans une structure Ii est essentielle pour sa sortie du ER, promouvant la formation de structures de haut niveau de complexit. Par ailleurs, nous dmontrons que NleA, un facteur de virulence bactrien, permet daltrer le trafic de complexes Ii comportant Iip35. Ce phnotype est mdi par linteraction entre p35 et les sous-units de COPII. Bref, Iip35 joue un rle central dans la formation des complexes Ii et leur transport hors du ER. Ceci fait dIip35 un rgulateur clef de la prsentation antignique par le CMH II.

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Linfection au VIH saccompagne souvent de drgulations du compartiment des lymphocytes B qui nuisent la gnration de rponses efficaces. En effet, dtectes tt aprs linfection, ces drgulations perdurent, ne sont pas totalement restaures par la thrapie, et mnent souvent des manifestations auto-immunes et lymphomes. Une tude longitudinale de notre groupe, effectue avec des cellules mononucles du sang circulant provenant de patients VIH+ avec diffrents types de progression clinique, a dmontr quun niveau lev de BLyS chez des individus VIH+ progresseurs tait associ une drgulation des frquences de populations de cellules B avec augmentation de cellules innes de la zone marginale (MZ) prsentant des caractristiques dimmaturit et dactivation. Au contraire, chez des individus VIH+ non-progresseurs avirmiques ou contrleurs dlite, les niveaux de BLyS taient dans la normale et ce sont les frquences de cellules B MZ plus matures qui taient diminues. La rsistance au VIH pourrait aussi impliquer le contrle de BLyS et son impact sur les cellules B. De ce fait, nous avons pralablement recrut une cohorte de travailleuses du sexe (TS) Cotonou (Bnin) dans laquelle nous avons identifi des femmes qui demeurent srongatives malgr une exposition soutenue au virus. Nous avons mesur les niveaux de BLyS dans le sang et dans les lavages cervico-vaginaux (CVL) de TS VIH- et les avons compars ceux mesurs chez des TS VIH+ et un groupe contrle de non-TS VIH- . Nous avons trouv que les niveaux de BLyS dans le sang et le CVL des TS VIH- taient infrieurs ceux des TS VIH+ et des non-TS VIH-. Le niveau dexpression de BLyS la surface des lymphocytes T, monocytes et cellules dendritiques de TS VIH- tait augment, mais un niveau moindre que les TS VIH+. Chez les TS VIH+, les hauts niveaux de BLyS taient concomitants avec une drgulation du compartiment B caractrise par une hyperglobulinmie, une augmentation de la frquence de populations avec un profil immature/inn et une plus grande proportion de plasmablastes IgG vs IgA. Au contraire, les niveaux infrieurs de BLyS dans le sang des TS VIH- concident avec un compartiment B prserv, rvlant que les lymphocytes B MZ peuvent tre impliqus dans limmunit naturelle au VIH. Ces rsultats dmontrent limportance du contrle des niveaux de BLyS et du maintien de lintgrit du compartiment B dans la rsistance au VIH.

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La thrapie antirtrovirale prvient la transmission mre-enfant du VIH dans plus de 98% des cas lorsquadministre pendant la grossesse, le travail et au nouveau-n. Laccessibilit la thrapie antirtrovirale dans prs de 70% des 1,5 millions cas de grossesses VIH+ dans le monde mne la naissance de plus dun million denfants exposs non infects chaque anne. Le nombre denfants exposs non infects est la hausse ainsi que les proccupations concernant leur sant. En effet, plusieurs groupes ont signal une augmentation de la morbidit et de la mortalit chez les enfants exposs non infects. Lanalyse des donnes rtrospectives de 705 enfants exposs non infects de la cohorte mre-enfant du CMIS a rvl qu 2 mois dge, les enfants ns de mres ayant une charge virale suprieure 1,000 copies dARN / ml avaient une frquence de lymphocytes B significativement plus levs par rapport aux enfants exposs non infects ns de mres ayant une charge virale indtectable. Lobjectif de cette tude est de caractriser ces anomalies. Les lymphocytes, provenant du sang de cordon ombilical et de sang veineux obtenu 6 et 12 mois dge, ont t phnotyps par cytomtrie en flux laide des marqueurs CD3 / CD10 / CD14 / CD16 / CD19 / CD20 / CD21 / CD27 / IgM pour les lymphocytes B et CD4 / CD8 / CD3 / CCR7 / CD45RA pour les lymphocytes T. De plus, afin dtudier les capacits fonctionnelles des lymphocytes B CD19+, la rponse antigne-spcifique au vaccin antittanique a t mesure par marquage avec des ttramres fluorescents de fragment C du toxode ttanique. Nos travaux ont mis en vidence des diffrences statistiquement significatives entre les enfants exposs non-infects (ENI) ns de mres avec une charge virale dtectable comparativement ceux ns de mres avec une charge virale indtectable. la naissance, les enfants ENI ns de mres avec une charge virale dtectable avaient significativement moins de lymphocytes B totaux, plus de lymphocytes B mmoires classiques, activs, plasmablastes et lymphocytes T CD8+ mmoires centrales. 6 mois, ils avaient significativement plus de lymphocytes B nafs et significativement moins de lymphocytes T CD8+ effecteurs mmoires. 12 mois dge, ils avaient significativement plus de lymphocytes B et T CD8+ totaux; significativement moins de lymphocytes T CD4+ totaux et leurs lymphocytes T affichaient un profil significativement plus activ (plus de cellules mmoires). Lanalyse de la rponse antigne-spcifique a rvl une frquence plus lev de lymphocytes B mmoires IgM+ suggrant que les enfants ns de mres avec une virmie dtectable ont plus de mal tablir une mmoire immunitaire efficace face au vaccin antittanique. Nos donnes suggrent quil y a exposition durant le premier trimestre de grossesse la virmie maternelle et que cette exposition impacte le systme immunitaire en dveloppement du ftus. Les mcanismes sous-jacents causant ces anomalies doivent encore tre lucids et lpuisement du compartiment T la naissance et 6 mois reste tre investigu. Dans un pays industrialis o laccs aux soins est facilit, ces anomalies ont des consquences modres mais dans des pays faible et moyen revenu, les consquences peuvent tre beaucoup plus tragiques voir fatales.

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Le VIH infecte les cellules par fusion de sa membrane avec la membrane de la cellule cible. Cette fusion est effectue par les glycoprotines de l'enveloppe (Env) qui sont synthtises en tant que prcurseur, gp160, qui est ensuite cliv en gp120 et gp41. La protine gp41 est la partie transmembranaire du complexe de l'enveloppe et lancre la particule virale alors que la gp120 assure la liaison au rcepteur cellulaire CD4 et corcepteur CCR5 ou CXCR4. Ces interactions successives induisent des changements de conformation dEnv qui alimentent le processus d'entre du virus conduisant finalement l'insertion du peptide de fusion de la gp41 dans la membrane de la cellule cible. La sous-unit extrieure gp120 contient cinq rgions variables (V1 V5), dont trois (V1, V2 et V3) tant capables dempcher ladoption spontane de la conformation lie CD4. Cependant, le rle de rgions variables V4 et V5 vis--vis de ces changements de conformation reste inconnu. Pour tudier leur effet, des mutants de l'isolat primaire de clade B YU2, comprenant une dltion de la V5 ou une mutation au niveau de tous les sites potentiels de N-glycosylation de la V4 (PNGS), ont t gnrs. L'effet des mutations sur la conformation des glycoprotines d'enveloppe a t analys par immunoprcipitation et rsonance de plasmon de surface avec des anticorps dont la liaison dpend de la conformation adopt par la gp120. Ni le retrait des PNGS de la V4 ni la dltion de V5 na affect les changements conformationnels dEnv tels que mesurs par ces techniques, ce qui suggre que les rgions variables V1, V2 et V3 sont les principaux acteurs dans la prvention de ladoption de la conformation li de CD4 dEnv.

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Alors que dnormes efforts sont mis de lavant pour mettre en place des stratgies thrapeutiques contre linfection au VIH-1, il est ncessaire de mieux cerner les dterminants viraux qui aideront lefficacit de celles-ci. En ce sens, une volumineuse littrature scientifique suggre que les anticorps contre le VIH-1 possdant une capacit induire une rponse effectrice dpendante de leur portion Fc puissent jouer un rle important dans la prvention de linfection et dans la progression de la maladie. Cependant, peu dinformation est disponible concernant les dterminants reconnus par ces anticorps et comment le virus sen protge. Le but des travaux prsents dans cette thse est donc dlucider les mcanismes viraux contrlant la reconnaissance des cellules infectes par ces anticorps capables dinduire une rponse effectrice. De par les corrlats de protection identifis au cours de lessai vaccinal RV144, les travaux prsents ici se concentrent sur la rponse cytotoxique dpendante des anticorps (ADCC), puisquil sagit dune rponse effectrice suggre pour avoir jou un rle dans la protection observe dans le RV144, seul essai vaccinal anti-VIH avoir dmontr un certain degr de protection. De plus, plusieurs anticorps capables dinduire cette rponse contre le VIH sont connus pour reconnatre les glycoprotines de surface du virus (Env) dans une conformation dite ouverte, cest--dire la conformation adopte lors de la liaison dEnv avec son rcepteur CD4 (pitopes CD4i). Nous avons mis au point deux techniques in vitro permettant dtudier ces changements de conformation ainsi que leur impact sur la rponse ADCC. Les techniques mises au point, un LISA sur base cellulaire pour mesurer les changements de conformation dEnv ainsi que la mesure de la rponse ADCC par cytomtrie en flux, nous ont permis de dmontrer comment le virus empche lexposition des pitopes dEnv CD4i. Lactivit simultane des protines accessoires virales Nef et Vpu sur le retrait du rcepteur CD4 de la surface des cellules infectes et linhibition du facteur de restriction Ttherine / BST-2 par Vpu contrlent la fois les niveaux dEnv et de CD4 la surface cellulaire et donc modulent linteraction Env-CD4 et ultimement la susceptibilit la rponse ADCC contre les pitopes CD4i reconnus par des anticorps hautement prvalents lors de linfection au VIH. galement, nous dmontrons comment de petits composs mimant la liaison de CD4 sur Env sont capables de forcer lexposition des pitopes CD4i, mme en prsence des protines Nef et Vpu, et donc daugmenter la susceptibilit des cellules infectes la rponse ADCC. Une autre dcouverte prsente ici est la dmonstration que la portion soluble dEnv produite par les cellules infectes peut interagir avec le rcepteur CD4 des cellules non-infectes avoisinantes et induire leur reconnaissance et limination par la rponse ADCC contre Env. Somme toute, la modulation de la rponse ADCC par linteraction EnvCD4 reprsente un important pilier de la relation hte pathogne du VIH-1 de la perspective des rponses Fc-dpendantes. Les travaux prsents dans cette thse ont le potentiel dtre utiliss dans llaboration de nouvelles stratgies antivirales tout en largissant les connaissances fondamentales de cette interaction hte pathogne.

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Streptococcus suis est un important pathogne porcin et humain, causant mningites et septicmies. Des tudes suggrent que S. suis dispose de facteurs de virulence, notamment sa capsule polysaccharidique (CPS), qui lui permettent de moduler les fonctions des cellules dendritiques (DCs), situes linterface entre limmunit inne et adaptative. Les difficults dvelopper un vaccin efficace suggrent aussi une altration de la voie T dpendante. Lobjectif gnral du projet tait dvaluer leffet de S. suis sur lactivation des cellules T CD4+ ainsi que sur la capacit de prsentation antignique des DCs. Nous avons tudi dans un modle murin in vivo la rponse T CD4+ mmoire lors dinfections primaire et secondaire. Une faible rponse mmoire centrale a t obtenue, suggrant que la rponse adaptative gnre contre S. suis est limite. tant donn limportance du complexe majeur dhistocompatibilit (MHC) de classe II dans la prsentation antignique, nous avons valu in vitro et in vivo lexpression de ces molcules chez les DCs. Une modulation de lexpression du MHC-II par S. suis a t observe. Lanalyse de la transcription de gnes impliqus dans la rgulation transcriptionnelle et post-transcriptionnelle du MHC-II nous permet de suggrer que S. suis rgule la baisse la synthse de nouvelles molcules et favorise leur dgradation lysosomale. Cette stratgie, dans laquelle la CPS ne jouerait quun rle partiel, permettrait S. suis dchapper la rponse adaptative T dpendante. Les rsultats de cette tude fourniront de nouvelles perspectives dans la comprhension de la rponse adaptative lors de linfection par S. suis.

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CD73 est un ecto-enzyme qui a t associ la suppression de l'immunit anti-tumorale. Ses valeurs pronostiques et thrapeutiques ont t mises de l'avant dans plusieurs types de cancer. La premire hypothse du projet est que l'expression de CD73 dans la tumeur prdit le pronostic des patients atteints du cancer de la prostate. L'expression de CD73 a t tudie par immunofluorescence dans des chantillons de tumeur. Puis, des analyses univaries et multivaries ont t conduites pour dterminer si l'expression de CD73 permet de prdire la rcidive biochimique des patients. Nous avons dtermin que CD73 prdit indpendamment le pronostic des patients atteints du cancer de la prostate. De plus, nous avons dtermin que son expression dans le tissu normal adjacent ou dans la tumeur prdit diffremment la survenue de la rcidive biochimique. La deuxime hypothse est que l'inhibition de CD73 permet d'amliorer l'efficacit d'un vaccin thrapeutique contre le cancer de la prostate. L'effet d'un vaccin de type GVAX a t tudi dans des souris CD73KO ou en combinaison avec un anticorps ciblant CD73. Nous avons observ que l'efficacit du vaccin tait augmente dans les souris o CD73 tait absent. Cependant, la combinaison avec l'anti-CD73 n'a pas permis d'amliorer l'efficacit.

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