4 resultados para Immunoprophylaxis and Therapy
em Université de Montréal
Resumo:
Aims There is scant information on pelvic floor muscle training (PFMT) adherence barriers and facilitators. A web-based survey was conducted (1) to investigate whether responses from health professionals and the public broadly reflected findings in the literature, (2) if responses differed between the two groups, and (3) to identify new research directions. Methods Health professional and public surveys were posted on the ICS website. PFMT adherence barriers and facilitators were divided into four categories: physical/condition, patient, therapy, and social-economic. Responses were analyzed using descriptive statistics from quantitative data and thematic data analysis for qualitative data. Results Five hundred and fifteen health professionals and 51 public respondents participated. Both cohorts felt “patient-related factors” constituted the most important adherence barrier, but differed in their rankings of short- and long-term barriers. Health professionals rated “patient-related” and the public “therapy-related” factors as the most important adherence facilitator. Both ranked “perception of PFMT benefit” as the most important long-term facilitator. Contrary to published findings, symptom severity was not ranked highly. Neither cohort felt the barriers nor facilitators differed according to PFM condition (urinary/faecal incontinence, pelvic organ prolapse, pelvic pain); however, a large number of health professionals felt differences existed across age, gender, and ethnicity. Half of respondents in both cohorts felt research barriers and facilitators differed from those in clinical practice. Conclusions An emphasis on “patient-related” factors, ahead of “condition-specific” and “therapy-related,” affecting PFMT adherence barriers was evident. Health professionals need to be aware of the importance of long-term patient perception of PFMT benefits and consider enabling strategies.
Resumo:
Introduction : Les adolescents avec déficiences physiques en transition vers la vie adulte éprouvent des difficultés à établir une participation sociale optimale. Cette étude explore les retombées d'un programme de cirque social sur la participation sociale de ces jeunes selon leur point de vue et celui de leurs parents. Méthode : Étude qualitative exploratoire d’orientation phénoménologique. Neuf personnes avec déficiences physiques, âgées de 18 et 25 ans, ont participé au programme pendant neuf mois. Données recueillies : perceptions de leur qualité de participation sociale à partir d’entrevues semi-structurées en pré, mi-temps et post-intervention avec les participants et un de leurs parents. Le guide d’entrevue validé est ancré sur le Modèle du développement humain- Processus de production du handicap - 2 (HDM-PPH2). L’enregistrement audio des entretiens a été transcrit en verbatim. Le contenu a été analysé avec le logiciel Nvivo 9 à travers une grille de codage préalablement validée (co-codage, codage-inverse). Résultats : Corpus de 54 entrevues. L’âge moyen des jeunes était de 20,0 ± 1,4 années et de 51 ± 3,6 années pour les parents. Selon tous, la participation sociale des jeunes adultes a été optimisée, surtout sur le plan de la communication, des déplacements, des relations interpersonnelles, des responsabilités et de la vie communautaire. La perception de soi et les habiletés sociales, également améliorées, ont favorisé une plus grande auto-efficacité. Conclusion : Cette étude soutient donc le potentiel du cirque social comme approche novatrice et probante en réadaptation physique pour cette population, et appuie la pertinence d’autres études rigoureuses mesurant les diverses retombées possibles et identifiées.
Resumo:
But: La perte unilatérale du cortex visuel postérieur engendre une cécité corticale controlatérale à la lésion, qu’on appelle hémianopsie homonyme (HH). Celle-ci est notamment accompagnée de problèmes d’exploration visuelle dans l’hémichamp aveugle dus à des stratégies oculaires déficitaires, qui ont été la cible des thérapies de compensation. Or, cette perte de vision peut s’accompagner d’une perception visuelle inconsciente, appelée blindsight. Notre hypothèse propose que le blindsight soit médié par la voie rétino-colliculaire extrastriée, recrutant le colliculus supérieur (CS), une structure multisensorielle. Notre programme a pour objectif d’évaluer l’impact d’un entraînement multisensoriel (audiovisuel) sur la performance visuelle inconsciente des personnes hémianopsiques et les stratégies oculaires. Nous essayons, ainsi, de démontrer l’implication du CS dans le phénomène de blindsight et la pertinence de la technique de compensation multisensorielle comme thérapie de réadaptation. Méthode: Notre participante, ML, atteinte d’une HH droite a effectué un entraînement d’intégration audiovisuel pour une période de 10 jours. Nous avons évalué la performance visuelle en localisation et en détection ainsi que les stratégies oculaires selon trois comparaisons principales : (1) entre l’hémichamp normal et l’hémichamp aveugle; (2) entre la condition visuelle et les conditions audiovisuelles; (3) entre les sessions de pré-entraînement, post-entraînement et 3 mois post-entraînement. Résultats: Nous avons démontré que (1) les caractéristiques des saccades et des fixations sont déficitaires dans l’hémichamp aveugle; (2) les stratégies saccadiques diffèrent selon les excentricités et les conditions de stimulations; (3) une adaptation saccadique à long terme est possible dans l’hémichamp aveugle si l’on considère le bon cadre de référence; (4) l’amélioration des mouvements oculaires est liée au blindsight. Conclusion(s): L’entraînement multisensoriel conduit à une amélioration de la performance visuelle pour des cibles non perçues, tant en localisation qu’en détection, ce qui est possiblement induit par le développement de la performance oculomotrice.
Resumo:
Objective: Our aim was to identify moderators of the effects of a cognitive behavioral group-based prevention program (CB group) and CB bibliotherapy, relative to an educational brochure control condition and to one another, in a school-based effectiveness randomized controlled prevention trial. Method: 378 adolescents (M age ¼ 15.5, 68% female) with elevated depressive symptoms were randomized in one of three conditions and were assessed at pretest, posttest, and 6-month follow-up. We tested the moderating effect of three individual (baseline depressive symptoms, negative attributional style, substance use), three environmental (negative life events, parental support, peer support), and two sociodemographic (sex, age) characteristics. Results: Baseline depressive symptoms interacted with condition and time. Decomposition indicated that elevated baseline depressive symptoms amplified the effect of CB bibliotherapy at posttest (but not 6-month follow-up) relative to the control condition, but did not modify the effect of CB group relative to the control condition or relative to bibliotherapy. Specifically, CB bibliotherapy resulted in lower posttest depressive symptoms than the control condition in individuals with elevated, but not average or low baseline symptoms. We found no interaction effect for other putative moderators. Conclusions: Our findings suggest that bibliotherapy is effective only in participants who have elevated depressive symptoms at baseline. The fact that no study variable moderated the effects of CB group, which had a significant main effect in reducing depressive symptoms relative to the control condition, suggests that this indicated prevention intervention is effective for a wide range of adolescents.