2 resultados para maintien des contacts
em Repositório Científico da Universidade de Évora - Portugal
Resumo:
(Introdução): Après une formation en architecture, la participation au Master TPTI a été une occasion précieuse pour acquérir de nouvelles connaissances, théoriques et pratiques, en rapport avec l'histoire, le patrimoine et l’environnement dans son sens le plus large. Ces dimensions ont souvent été d’un grand apport pour bien des oeuvres et interventions architecturales et leur ont permis de convaincre et de s’imposer au temps. Elles occupent également une place devenue de plus en plus importante dans la réflexion sur bien des sujets dont la gestion territoriale et l’exploitation des ressources naturelles. Leur considération favorise des approches intégrées et est même indispensable pour toute oeuvre ou intervention visant la durabilité. Elle est, en tout cas, indispensable pour l’étude d’un thème comme celui des friches liées à l’exploitation des ressources naturelles, que nous tentons d’aborder dans ce mémoire à travers le cas des carrières de grès-calcaire des environs de la ville de Korba, en Tunisie. En effet, par ses enseignements variées et pluridisciplinaires, le Master TPTI, nous a offert une ouverture sur l'histoire et l'anthropologie des techniques ainsi que la conservation, la gestion et la valorisation du patrimoine industriel, historique et culturel. En plus des séminaires et des contacts directs avec des professionnels de différents domaines et pays, une place importante a été accordée aux visites de terrains. A tout cela s'ajoute une mobilité de spécialité, qui dans notre cas, a eu lieu au Département d'Economie à l'Université d'Alicante. Le premier volet de ce mémoire sera consacré au projet personnel qui traite, comme évoqué plus haut, des carrières de Korba et ses environs. Il est le fruit d'un travail au cours duquel nous avons essayé, sur les deux années du Master, de tirer profit des différents enseignements dispensés afin d’enrichir notre réflexion sur le thème.
Resumo:
(Introdução): La rédaction de ce document entre dans le cadre de la dernière étape du parcours du Master TPTI (Technique, Patrimoine, territoire de l’industrie). Piloté par l’université Paris 1 panthéon Sorbonne, en partenariat avec les universités de padou (Italie) et d’Evora (Portugal), le Master TPTI forme à l’expertise des environnements techniques, à la muséalisation du patrimoine et des paysages culturels. Ce parcours (France, Italie et Portugal) nous à permis de découvrir de nouvelles approches dans le domaine de la culture et du patrimoine en général et industriel en particulier. Ces approches nouvelles concernent surtout l’histoire des techniques dispensée à l’université Paris 1 panthéon Sorbonne et sur les paysages culturels de l’industrie dispensés au Portugal. L’histoire des techniques qui paraissait au début confuse nous a permis d’avoir une lecture claire sur la notion anthropologique de la culture. Les régimes de la pensée opératoire caractérisée par le régime de la pratique, de la technique et de la technologique, nous ont permis de comprendre les fondements de l’innovation technique mais aussi le passage de l’oralité à l’écrit. C’est en effet la compréhension des ces régimes qui nous a aidé à mieux saisir la manière dont la technique se manifeste dans les sociétés orales, se maintien et se transmet. Le senegal, qui fait l’objet de notre étude présente une diversité ethnique assez complexe. Chacune de ses ethnies a su, a sa manière inventer sa technique lui permettant de maitriser son environnement, dons une technique bien différente des autres. Si les « lebou » du cap vert ont su inventer l’une des plus anciennes traditions artisanales dans la pêche et les al poulhar, sur l’élevage, les sereer qui font le point focal de notre étude ont marqué le paysage par l’une des civilisations agraires les plus anciennes venues des civilisations du Nil.