6 resultados para ingénieurs

em Repositório Científico da Universidade de Évora - Portugal


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A la fin du XIXe siècle, les technologies modernes liées à l'électricité et à ses applications ont été introduites au Portugal sans réel décalage par rapport aux autres pays. Toutefois, jusqu’aux années 1910, malgré plusieurs réformes des instituts industriels et des écoles polytechniques, la formation en électrotechnique était restée insuffisante pour que les ingénieurs portugais puissent acquérir les compétences indispensables à l'installation et l'exploitation des technologies électriques. Même si, depuis la fin du siècle précédent, eu égard à l’importance croissante de l’électricité et de ses applications, on tentait de mettre en place des cours spécifiques. Aussi, pour pallier leurs manques, quelques ingénieurs portugais partaient-ils compléter leur formation dans les principales institutions européeennes comme l'Institut Montefiore, annexé à l'Université de Liège, l’Université de Grenoble ou l’Université de Nancy. C’est seulement en 1911 avec la création de l’Institut Supérieur Technique de Lisbonne et l’année suivante de la Faculté technique de Porto, que les cours de génie électrotechnique ont été introduits au Portugal. L’organisation de l’Institut Supérieur Technique fut confiée à Alfredo Bensaúde qui avait fait ses études supérieures en Allemagne. L’enseignement de l’ingénierie dans ce pays fut alors marqué par le principe : « less theory and more pratice ». On cherchait à former des élèves pour les orienter vers l’industrie Après la première Guerre mondiale, on a pu prendre la mesure de la place des ingénieurs électriciens dans l’économie et la société portugaise avec l’organisation de 4 congrès d’électricité entre 1923 et 1931. Au 1er congrès portugais d’ingénierie en 1931, les ingénieurs électriciens ont joué un rôle déterminant, manifestant ainsi l’importance de cette branche du génie dans la société au XIXe siècle.

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Esta dissertação pretende contribuir para um melhor conhecimento da complexidade das redes de transferência de conhecimentos e técnicas, no domínio da engenharia civil e mais concretamente através dos caminhos-de-ferro, nos séculos XIX e XX. Em Portugal, os caminhos-de-ferro estiveram no cerne de um vasto debate, sobretudo político, concomitante com uma instabilidade crescente no cenário político e uma fase de fragilidade económica. É neste contexto que a Linha do Sul e Sueste vai ser construída (seguida pela sua extensão até Vila Real de Santo António e pela construção do ramal de Portimão, que chegará a Lagos). Este empreendimento é uma clara ilustração da realidade portuguesa de então, no que concerne ao desenvolvimento desta rede de transportes, que nos permite, igualmente, conhecer e compreender quem interveio no processo de construção da linha (os engenheiros, as empresas, entre outros aspectos) e assim determinar quais as influências e transferências técnicas que tiveram lugar; RESUMEE: Cette mémoire attire à la contribution pour une meilleure connaissance de la complexité des réseaux de transfert de techniques et connaissances qui ont eu lieu dans le domaine de l’ingénierie civile, surtout dans les chemins de fer, au XIXème et XXème siècles. Au Portugal, les chemins de fer sont été le cerne d’un très vaste débat, coïncidant avec une croissante instabilité dans le scenario politique et aussi une phase économique fragile. C’est dans ce contexte que la Ligne du Sud et Sud-est va être bâti (suivi par l’extension jusqu’à Vila Real de Santo António et la construction de l’embranchement ferroviaire Portimão). Cette entreprise c’est une illustration claire de la réalité portugaise, en concernant l’implémentation de cette réseau de transport, que nous permettre de comprendre et également bien connaitre qui a intervenu dans le processus de construction de la ligne (les ingénieurs, entreprises, etcetera), ainsi que déterminer les influences et les transferts techniques qui ont eu lieu; ABSTRACT: With this master’s thesis, the aim is to be able to contribute to a better understanding of the complex network of technique’s and knowledge transfers, that took place within the field of civil engineering, in the 19th and 20th centuries, namely on the railways. In Portugal, railways take-up was a wide and ample debate, coinciding with an uprising turmoil on the Portuguese political outskirt and a phase of economic frailty. It’s in this context that the construction of the South and Southeast Line took place (followed, later on, by its extension until Vila Real de Santo António and by the construction of the Portimão’s branch). This enterprise is, as we pretend to prove in this master’s thesis, a clear example of the Portuguese reality, enabling us to understand and to get to know those who intervened in the construction’s process (the engineers and the companies) as well as determining influences and technique transfers that have taken place.

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Nonobstant l’importance de l’exploitation des mines dans l’Empire portugais, la formation en ingénierie minière c’est développé tard dans le pays, ainsi pour surmonter la manque de formation en génie minier, le gouvernement a contracté avec des ingénieurs étrangers et au même temps plusieurs ingénieurs portugais ont complété sa formation à l’étranger. Dans ce texte, après une brève analyse des moyens par lesquels le gouvernent a essayé de créer une formation en mines et métallurgie au Portugal sont analysés les parcours professionnels de quelques ingénieurs portugais qui ont fréquenté l’École des mines de Paris.

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Le présent volume est l’aboutissement éditorial d’un travail sur les patrimoines de l’ingénierie qui s’était initialement concrétisé par la journée d’études internationale du 6 juillet 2012, à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne. Cette journée a été organisée dans le cadre des activités des jeunes chercheurs et doctorants du master Erasmus Mundus TPTI, c’est-à-dire « Techniques, patrimoine, territoires de l’industrie », qui réunit un consortium universitaire international autour de ces questions, en offrant d’intéressantes opportunités d’échanges aux jeunes chercheurs. Les grands ouvrages de génie civil ont eu d’importantes conséquences paysagères et sociales. La mutation du paysage est aussi en lien direct avec la mise en place des grands systèmes techniques et avec l’aménagement des territoires de l’industrie. Ce patrimoine technique suscite un intérêt croissant. Le présent volume interroge les questions de sa protection, sa préservation et de sa valorisation.

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Un regard pluriel sur le patrimoine de l’ingénierie : savoir technique, aménagement du territoire et mutation du paysage Le patrimoine de l’ingénierie : au-delà des travaux publics L’histoire et le patrimoine de l’ingénierie : les enseignements du passé pour améliorer le travail des ingénieurs formés dans le temps présent Approches diversifiées au patrimoine de l’ingénierie

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La construction des chemins de fer portugais a eu, jusqu’en 1891, pour l’objectif principal de combler le retard économique du pays. Par suite de l’échec des entrepreneurs anglais, notamment Morton Petto, ce furent les hommes d’affaires et les capitaux qui jouèrent le rôle majeur, grâce notamment l’intervention des Pereire, puis celle de CIC, principal soutien des initiatives de l’entrepreneur espagnol D. José de Salamanca, enfin la Banque de Paris et des Pays-Bas et la Banque Ottomane. L’influence Saint-simonienne s’exerçait sur les ingénieurs formés à l’École Polytechnique de Lisbonne et bénéficiait la généralisation du modèle français de la concession. À partir des années 1890, ce système entra en crise, favorisant une influence allemand grandissante, tant en terme d’investissement qu’à travers la formation des ingénieurs, notamment ceux de l’Institut Supérieur Technique de Lisbonne, Le reflux des investissements étrangères, à partir de la crise de 1892, poussa l’État dans la voie de la nationalisation en 1899, dans qu’ensuite ne suisse survenir une relance de la construction ferroviaires. Après la Seconde Guerre mondial, les chemins de fer furent confiés à un unique exploitant national, la Compagnie des chemins de fer Portugais.