2 resultados para Grandeurs en mesure

em Repositório Científico da Universidade de Évora - Portugal


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A cidade de Kanchipuram, no Estado de Tamilnadu, sul da Índia, é sinónimo de templos hindus, mas também do sari em seda. A migração de comunidades de tecelão para esta cidade começou durante o reinado da Dinastia Chola nos Séculos 8-13 d. C. Anteriormente, o pano de seda foi considerado como tecido dos Deuses e os tecelões satisfizeram as necessidades religiosas do templo da cidade. Paulatinamente, um tecido de seda torna-se, tanto um tecido dos "mortais", como dos Deuses, e houve um aumento da procura dos têxteis em seda, especialmente, do sari em seda. A particularidade dos tecelões de Kanchipuram reside na sua técnica complicada de tecelagem e nos ricos motivos que são uma expressão da paixão do tecelão. Nosso trabalho de investigação centra-se nas técnicas de tecelagem e no seu produto final - o sari - para destacar a sua singularidade. Neste contexto, quero propor um projecto de documentação dos motivos do sari, para ilustrar um dos principais meios de valorização desta tradição de tecelagem que remonta a vários séculos. RÉSUMÉ: La ville de Kanchipuram, située dans l'état du Tamilnadu, dans le sud de l'Inde, fait souvent écho aux temples hindous mais également au sari en soie. Les tisserands ont migré à l'époque Chola (850- 1279 ap.J.C.) pour répondre aux besoins religieux de la ville car au départ, la soie était un tissu destiné à I 'usage des dieux. Au fur et à mesure, la soie est devenue aussi bien un tissu destiné aux 'mortels' qu'aux dieux. Ces tisserands ont connu par la suite, une forte demande, plus particulierement, pour les saris en soie. La particularité des tisserands de la ville de Kanchipuram réside dans sa technique laborieuse de tissage et dans les motifs élaborés parle billet desquels s'exprime la passion du tisserand dans sa tâche. Le présent mémoire s'attache à la technique de tissage et à son produit final - le sari - pour mettre en valeur son unicité. Dans ce cadre, je propose un projet de documentation des motifs des saris pour illustrer un des vecteurs clés de valorisation de cette tradition de tissage qui remonte à plusieurs siecles. ABSTRACT: The city of Kanchipuram, located in the State of Tamilnadu in southern India, is synonymous with Hindu temples and silk saris. The migration of weaver communities to the city started during the Chola reign (81 131 centuries A.D). Early on, silk was considered the cloth of the gods and these weavers met the needs of the temple city by producing silk textiles for religious use. Gradually, silk became a cloth as much for the 'mortais' as for the gods and demand increased for silk textiles, especially saris. The importance of Kanchipuram weaving lies in its complex techniques and rich motifs as expressions of the. weaver’s passion. This text examines the weaving techniques popularly known as the korvai technique, as well as the saris produced using this technique. ln addition, it attempts to catalogue certain motifs woven into the saris as a first step in promoting and valorizing the cultural richness of an art dating back several centuries.

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A la fin du XIXe siècle, les technologies modernes liées à l'électricité et à ses applications ont été introduites au Portugal sans réel décalage par rapport aux autres pays. Toutefois, jusqu’aux années 1910, malgré plusieurs réformes des instituts industriels et des écoles polytechniques, la formation en électrotechnique était restée insuffisante pour que les ingénieurs portugais puissent acquérir les compétences indispensables à l'installation et l'exploitation des technologies électriques. Même si, depuis la fin du siècle précédent, eu égard à l’importance croissante de l’électricité et de ses applications, on tentait de mettre en place des cours spécifiques. Aussi, pour pallier leurs manques, quelques ingénieurs portugais partaient-ils compléter leur formation dans les principales institutions européeennes comme l'Institut Montefiore, annexé à l'Université de Liège, l’Université de Grenoble ou l’Université de Nancy. C’est seulement en 1911 avec la création de l’Institut Supérieur Technique de Lisbonne et l’année suivante de la Faculté technique de Porto, que les cours de génie électrotechnique ont été introduits au Portugal. L’organisation de l’Institut Supérieur Technique fut confiée à Alfredo Bensaúde qui avait fait ses études supérieures en Allemagne. L’enseignement de l’ingénierie dans ce pays fut alors marqué par le principe : « less theory and more pratice ». On cherchait à former des élèves pour les orienter vers l’industrie Après la première Guerre mondiale, on a pu prendre la mesure de la place des ingénieurs électriciens dans l’économie et la société portugaise avec l’organisation de 4 congrès d’électricité entre 1923 et 1931. Au 1er congrès portugais d’ingénierie en 1931, les ingénieurs électriciens ont joué un rôle déterminant, manifestant ainsi l’importance de cette branche du génie dans la société au XIXe siècle.