2 resultados para Début de scolarisation

em Repositório Científico da Universidade de Évora - Portugal


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De La Mort heureuse à Le Premier homme, Camus est l’homme de lettres français dont l’œuvre n’a cessé, d’un siècle à l’autre, d’interpeller et de séduire ses lecteurs dans le monde entier. Cette universalité est due, n’en doutons pas, à une perception acérée de la condition humaine née de l’expérience de la vie, tant de ses joies que de ses misères ; expérience qui se reflète dans un art qui, s’adressant à notre conscience individuelle et collective, nous invite à réfléchir au simple fait d’exister et à nous interroger sur notre place dans l’univers. Aujourd’hui, cent ans après sa naissance, quelle place occupe l’œuvre littéraire de Camus dans la littérature d’expression française et étrangère ? Quel est le bilan littéraire de l’œuvre de Camus ? Quelle est la pertinence et l’actualité de sa pensée en ce début de XXIe siècle ? Simples questions autour desquelles se sont réunis, en novembre 2013, à l’Université d’Évora (Portugal), des chercheurs intéressés par les études camusiennes, lors du Congrès International – Centenaire Albert Camus – Lectures interdisciplinaires ; congrès qui est à l’origine de ce volume. Le centenaire de la naissance d’Albert Camus a donné lieu à de nombreuses manifestations – expositions, débats, colloques, publications – qui toutes témoignent de l’actualité de l’œuvre et de la pensée d’un écrivain, philosophe, homme de théâtre et journaliste qui ont indéniablement marqué le paysage intellectuel mondial de l’après-guerre. Admiré par les uns, critiqué voire même répudié par d’autres – tant de son vivant qu’après sa mort – de par ses idées politiques et ses manifestations de solidarité envers les Français d’Algérie, et plus timidement, envers la population autochtone – Albert Camus est, de fait, l’homme politique que l’on réfère naturellement lorsqu’on aborde la situation politique actuelle en Algérie, mais aussi mondiale, notamment quand il s’agit de radicalismes politico-religieux, sources d’attentats et de nombreuses victimes civiles.

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(Introdução): La rédaction de ce document entre dans le cadre de la dernière étape du parcours du Master TPTI (Technique, Patrimoine, territoire de l’industrie). Piloté par l’université Paris 1 panthéon Sorbonne, en partenariat avec les universités de padou (Italie) et d’Evora (Portugal), le Master TPTI forme à l’expertise des environnements techniques, à la muséalisation du patrimoine et des paysages culturels. Ce parcours (France, Italie et Portugal) nous à permis de découvrir de nouvelles approches dans le domaine de la culture et du patrimoine en général et industriel en particulier. Ces approches nouvelles concernent surtout l’histoire des techniques dispensée à l’université Paris 1 panthéon Sorbonne et sur les paysages culturels de l’industrie dispensés au Portugal. L’histoire des techniques qui paraissait au début confuse nous a permis d’avoir une lecture claire sur la notion anthropologique de la culture. Les régimes de la pensée opératoire caractérisée par le régime de la pratique, de la technique et de la technologique, nous ont permis de comprendre les fondements de l’innovation technique mais aussi le passage de l’oralité à l’écrit. C’est en effet la compréhension des ces régimes qui nous a aidé à mieux saisir la manière dont la technique se manifeste dans les sociétés orales, se maintien et se transmet. Le senegal, qui fait l’objet de notre étude présente une diversité ethnique assez complexe. Chacune de ses ethnies a su, a sa manière inventer sa technique lui permettant de maitriser son environnement, dons une technique bien différente des autres. Si les « lebou » du cap vert ont su inventer l’une des plus anciennes traditions artisanales dans la pêche et les al poulhar, sur l’élevage, les sereer qui font le point focal de notre étude ont marqué le paysage par l’une des civilisations agraires les plus anciennes venues des civilisations du Nil.