2 resultados para Communication publique de la science

em Queensland University of Technology - ePrints Archive


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Reforms to the national research and research training system by the Commonwealth Government of Australia sought to effectively connect research conducted in universities to Australia's national innovation system. Research training has a key role in ensuring an adequate supply of highly skilled people for the national innovation system. During their studies, research students produce and disseminate a massive amount of new knowledge. Prior to this study, there was no research that examined the contribution of research training to Australia's national innovation system despite the existence of policy initiatives aiming to enhance this contribution. Given Australia's below average (but improving) innovation performance compared to other OECD countries, the inclusion of Finland and the United States provided further insights into the key research question. This study examined three obvious ways that research training contributes to the national innovation systems in the three countries: the international mobility and migration of research students and graduates, knowledge production and distribution by research students, and the impact of research training as advanced human capital formation on economic growth. Findings have informed the concept of a research training culture of innovation that aims to enhance the contribution of research training to Australia's national innovation system. Key features include internationally competitive research and research training environments; research training programs that equip students with economically-relevant knowledge and the capabilities required by employers operating in knowledge-based economies; attractive research careers in different sectors; a national commitment to R&D as indicated by high levels of gross and business R&D expenditure; high private and social rates of return from research training; and the horizontal coordination of key organisations that create policy for, and/or invest in research training.

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Aux confluences historiques et conceptuelles de la modernité, de la technologie, et de l’« humain », les textes de notre corpus négocient et interrogent de façon critique les possibilités matérielles et symboliques de la prothèse, ses aspects phénoménologiques et spéculatifs : du côté subjectiviste et conceptualiste avec une philosophie de la conscience, avec Merleau-Ponty ; et de l’autre avec les épistémologues du corps et historiens de la connaissance Canguilhem et Foucault. Le trope prometteur de la prothèse impacte sur les formations discursives et non-discursives concernant la reconstruction des corps, là où la technologie devient le corrélat de l’identité. La technologie s’humanise au contact de l’homme, et, en révélant une hybridité supérieure, elle phagocyte l’humain du même coup. Ce travail de sociologie des sciences (Latour, 1989), ou encore d’anthropologie des sciences (Hakken, 2001) ou d’anthropologie bioculturelle (Andrieu, 1993; Andrieu, 2006; Andrieu, 2007a) se propose en tant qu’exemple de la contribution potentielle que l’anthropologie biologique et culturelle peut rendre à ladecine reconstructrice et que ladecine reconstructrice peut rendre à la plastique de l’homme ; l’anthropologie biologique nous concerne dans la transformation biologique du corps humain, par l’outil de la technologie, tant dans son histoire de la reconstruction mécanique et plastique, que dans son projet d’augmentation bionique. Nous établirons une continuité archéologique, d’une terminologie foucaldienne, entre les deux pratiques. Nous questionnons les postulats au sujet des relations nature/culture, biologie/contexte social, et nous présentons une approche définitionnelle de la technologie, pierre angulaire de notre travail théorique. Le trope de la technologie, en tant qu’outil adaptatif de la culture au service de la nature, opère un glissement sémantique en se plaçant au service d’une biologie à améliorer. Une des clés de notre recherche sur l’augmentation des fonctions et de l’esthétique du corps humain réside dans la redéfinition même de ces relations ; et dans l’impact de l’interpénétration entre réalité et imaginaire dans la construction de l’objet scientifique, dans la transformation du corps humain. Afin de cerner les enjeux du discours au sujet de l’« autoévolution » des corps, les théories évolutionnistes sont abordées, bien que ne représentant pas notre spécialité. Dans le cadre de l’autoévolution, et de l’augmentation bionique de l’homme, la somation culturelle du corps s’exerce par l’usage des biotechnologies, en rupture épistémologique de la pensée darwinienne, bien que l’acte d’hybridation évolutionnaire soit toujours inscrit dans un dessein de maximisation bionique/génétique du corps humain. Nous explorons les courants de la pensée cybernétique dans leurs actions de transformation biologique du corps humain, de la performativité des mutilations. Ainsi technologie et techniques apparaissent-elles indissociables de la science, et de son constructionnisme social.